•   <o:p> </o:p>

    Maîtres de Poste dans le département de <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName> vers 1818<o:p></o:p>

    Route Royale  n° 8 de Paris à Antibes :

     NOAILLY à <st1:PersonName productid="La Pacaudière" w:st="on">La Pacaudière</st1:PersonName>, GIRARD-GODINIERE à Saint-Germain Lespinasse, DEAL à Roanne, FLANDRE à Saint-Symphorien-de-Lay, VIAILLY au Pin Bouchain (Commune de Chirassimont).

    Route Royale n° 99  de Roanne è Clermont :

    GIROUD à Villemontais, PERRET, à Saint-Just-en-Chevalet.

    Route Royale n° 106 de Lyon à Toulouse :

    BLACHEYRE à Rive-de-Gier, DESJOYAUX à Saint-Chamond, VINANT à Saint-Etienne.

    Route Royale n° 107 de Lyon à Bordeaux :

    BLEIN à Saint-Barthelemy-l'Estrat, GAITTE Antoine à Feurs, GAITTE Blaise à Boën et Saint-Thurin, SIMON à Noirétable.

    Route Départementale n° 1 de Montbrison à Lyon :

    VINCELET à Montbrison, BLANC à Bellegarde.


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    Routes et chemins dans le département de <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> vers 1818

    <o:p> </o:p>
     Le département est traversé par six routes royales dont une de première et cinq de troisième classe, c'est le décret du 16 décembre 1811 qui a établi la classification actuelle des routes.

    <o:p> </o:p>Les routes départementales y sont au nombre de cinq ( décret du 7 janvier 1813) On compte en outre 6 chemins principaux non encore classés, mais susceptible par leur utilité d'entre portés au nombre des routes départementales.

    L'entretien des routes royales de première classe est en entier à la charge du trésor. Il est pourvu à celui des routes de troisième classe par le gouvernement et le département. Celui-ci est chargé seul des routes départementales.

    <o:p> </o:p>ROUTES ROYALES<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Route n° 8, de Paris à Antibes ( 1° classe) dans le décret de classification. Cette route est désignée sous le nom de route de Paris à Rome par Nice. Cette route importante, l'une des plus fréquentées du royaume, traverse du nord au midi tout l'arrondissement de Roanne sur une longueur de <st1:metricconverter productid="58 165 mètres" w:st="on">58 165 mètres</st1:metricconverter> ( 11 lieues 3/5). Elle entre dans le département de <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> par celui de l'Allier, à Saint-Martin d'Estreaux, passe les communes de <st1:personname productid="La Pacaudière" w:st="on">La Pacaudière</st1:personname>, Changy, Saint-Germain-l'Espinasse, Roanne, L'Hôpital (commune de Saint-Cyr-de-Favières), Saint-Symphorien-de-Lay et Pin Bouchain (Commune de Chirassimont) limite du  département du Rhône.

    La partie de Saint-Martin d'Estréaux à <st1:personname productid="La Pacaudière" w:st="on">La Pacaudière</st1:personname> ne doit être considérée que comme un chemin provisoire qui sera remplacé par un nouveau trajet projeté depuis longtemps.

    Cette route à quatre relais de poste, elle est divisée en six cantons (décret du 16 décembre 1811). Son entretien, entièrement  à la charge du Trésor, exige une somme annuelle de 50 000 francs.

    <o:p> </o:p>Route n° 99 de Roanne à Clermont ( 3° classe). Elle commence à Roanne traverse une partie de cet arrondissement sur une longueur de <st1:metricconverter productid="33 672 mètres" w:st="on">33 672 mètres</st1:metricconverter> ( 6 lieues 4/5). Elle passe par Villemontais, Saint-Just-en-Chevalet et va rejoindre Chabreloche le département du Puy De Dôme. Cette route est montée de 3 relais de poste, elle est peu fréquentée par les voyageurs qui venant de Paris, ont le choix d'une plus belle route par Moulins et peuvent s'ils viennent de Lyon, prendre la route 107, qui conduit à Bordeaux par Feurs. Les voitures l'ont aussi abandonnée à cause de ses pentes rapides ; elle est divisée en trois cantons. Son entretien annuel est de 7200 francs.

    <o:p> </o:p>Route n° 102 de Roanne au Rhône ( 3° classe). L'ouverture de cette route la plus importante de toutes celles qui traversent le département, fut demandée par le Conseil général dans la session de l'An XIII (1805) et le Gouvernement l'ordonne par une loi du 12 mai 1806, qui appelait à contribuer à la dépense les départements de <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> de l'Ardèche, de <st1:personname productid="la Drome" w:st="on">la Drome</st1:personname> et du Vaucluse.

    Elle commence au hameau de l'Hôpital sur la route n° 8 de Paris à Antibes, à environ deux lieues de Roanne, et doit parcourir dans le département du Nord au Midi, une longueur de <st1:metricconverter productid="105 785 mètres" w:st="on">105 785 mètres</st1:metricconverter> (21 lieues) à savoir : <st1:metricconverter productid="24 186 mètre" w:st="on">24 186 mètre</st1:metricconverter> dans l'arrondissement de Roanne, <st1:metricconverter productid="34 508 mètres" w:st="on">34 508 mètres</st1:metricconverter> dans celui de Montbrison, <st1:metricconverter productid="47 089 mètres" w:st="on">47 089 mètres</st1:metricconverter> dans celui de Saint-Étienne.

    Elle passe par Feurs, Saint-Etienne, Bourg Argental et va se terminer au de delà de cette dernière ville sur la limite du département de  l' Ardèche. De ce point jusqu'au Rhône la distance est encore de 21 583 ( cette partie est achevée), de sorte que la longueur totale de la route dans les deux départements est de <st1:metricconverter productid="127 366 mètres" w:st="on">127 366 mètres</st1:metricconverter> soit environ 25,5 lieues.

    Mais le département de <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> est encore bien éloigné de jouir des avantages que lui promet cette importante communication, puisque, sur une longueur de 21 lieues que la route doit avoir sur son territoire, les parties achevées ou en construction ne s'étendent pas au delà de 7 lieues (<st1:metricconverter productid="34 348 mètres" w:st="on">34 348 mètres</st1:metricconverter>) dont <st1:metricconverter productid="22 385 mètres" w:st="on">22 385 mètres</st1:metricconverter> dans l'arrondissement de Roanne, et <st1:metricconverter productid="12 963 mètres" w:st="on">12 963 mètres</st1:metricconverter> dans celui de Saint-Etienne, de sorte q u'il est encore à construire une étendue de 14 lieues ou <st1:metricconverter productid="70537 mètres" w:st="on">70537 mètres</st1:metricconverter> qui par approximation coûteraient : 1 800 000 francs cette somme est effrayante et si d'une part, on considère les besoins et la position du trésor qui ne lui permettront peut entre pas de pouvoir de longtemps à ses dépense extraordinaires ; de l'autre, la situation du département, dont les charges déjà excessives et accrues encore par deux occupations militaires, peuvent mettre obstacles aux vœux des habitants, on peut craindre que l'achèvement de cette route soit encore bien éloigné, si l'on réfléchit sur l'utilité de cette communication pour le commerce et l'agriculture du département ; si sous des rapports plus généraux, on fait attention que cette route par cela seul qu'elle sera plus courte que celle qui passe à Lyon, ceci résulte de calculs positifs. La distance jusqu'à Roanne, depuis le Rhône à l'endroit ou la route dont nous parlons vient joindre celle n° 8 de Paris à Antibes, est , en suivant cette deuxième route et passant par Lyon, de 30 lieues 2/5. Or par la nouvelle route cette même distance n'étant plus que de 27 lieues et demie, il y a économie d'environ 5 heures, peux devenir la voie de communication la plus fréquentée pour les relations commerciales du midi vers le centre et le nord de <st1:personname productid="la France" w:st="on">la France</st1:personname>, et vivifier ainsi toutes les parties du département qu'elle est destinée à parcourir, il est permis de penser que le zèle des habitants de <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname>, pour leur pays, sollicité par leur propre insert les détermineras à fournir les moyens que l'on ne peut guère espérer du gouvernement malgré sa sollicitude paternelle pour tous les objets qui se rattachent au  bien public.

    Un emprunt, dont l'intérêt serait payé et le capital successivement remboursé au moyen d'un péage paraît le mode le plus propre à conduire promptement à l'achèvement de la route en question ; et nous avons calculé, par exemple, qu'une somme de 750 000 francs pourrait entre remboursée en 13 ans, intérêt et capital, par les seuls produits, 1°, d'un droit de péage établi sur les parties de la route déjà achevées et viables, 2°, d'une imposition extraordinaire, et ad hoc de deux centimes par francs que le département pourrait voter.

    <o:p></o:p>Route 104 de Lyon à Beaucaire (3° classe). Cette route n'est encore qu'un projet au moins pour le département de <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname>, elle doit avoir <st1:metricconverter productid="9600 mètres" w:st="on">9600 mètres</st1:metricconverter> ( 2 lieues) de longueur dans l'arrondissement de Saint-Étienne, et passer par Chavanay et Saint pierre le bœuf d'ou elle rentrera dans le département de l'Ardèche, elle ne formera qu'un seul canton.

    <o:p></o:p>Route n° 106 de Lyon à Toulouse ( 3° classe). Elle traverse de l'Est à L'Ouest l'arrondissement de Saint-Etienne, pour une longueur de <st1:metricconverter productid="4004 mètres" w:st="on">4004 mètres</st1:metricconverter> (8 lieues) elle passe par Rive-de-Gier, Saint-Chamond, Saint-Etienne et Firminy. Très fréquentée  jusqu'à Saint-Etienne en raison du commerce et de l'industrie de la contrée, elle est à peu près abandonnée dans le surplus de son développement ; aussi le service de la poste n'y est-il monté que jusqu'à Saint-Etienne. Le reste de la route, tracé en pays de montagnes à besoin pour être viable, de réparation que jusqu'ici l'état des finances du Trésor du département n'a pas permis de faire, elle est divisée en 4 cantons. Son entretien annuel demande une somme de 25 000 francs.

    <o:p></o:p>Route n° 107 de Lyon à Bordeaux ( 3° classe). Elle traverse de l'Ouest à l'Est l'étendue de l'arrondissement de Montbrison, sur une longueur de <st1:metricconverter productid="65 715 mètres" w:st="on">65 715 mètres</st1:metricconverter> (13 lieues 1/7) et passe par Saint-Martin l'Estra, Feurs (bac sur <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname>), Poncin (bac sur le Lignon) Boën, Saint-Thurin et Noirétable, d'ou elle entre ensuite dans le département du Puy de dôme, tracée entre le pied de la montagne et la vallée profonde que parcourt le Lignon, elle n'a pas toute la largeur nécessaire. Elle est montée de 5 relais de poste et divisée en 5 cantons. Son entretien est évaluée à la somme annuelle de 40 000 francs. Un chemin vicinal partant de Montbrison vient joindre cette route de Boën.

    <o:p> </o:p>

    ROUTES DEPARTEMENTALES<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Route n° 1 de Lyon à Montbrison  par Chazelles : Cette route dont la longueur dans le département est de <st1:metricconverter productid="29 376 mètres" w:st="on">29 376 mètres</st1:metricconverter> (6 lieues) traverse une partie de l'arrondissement de Montbrison, en passant par Chazelles, Bellegarde et Montrond (bac sur <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname>). Elle est montée de 2 relais et divisée en 2 cantons son entretien annuel est de 11000 francs.

    <o:p></o:p>Route n° 2 de Montbrison à Saint-Etienne : Sa longueur est de <st1:metricconverter productid="230500 mètres" w:st="on">230500 mètres</st1:metricconverter> (4 lieurs 7/10) elle joint dans le bois de <st1:personname productid="la Fouillouse" w:st="on">la Fouillouse</st1:personname> à <st1:metricconverter productid="13878 mètres" w:st="on">13878 mètres</st1:metricconverter> (2 lieues 4/5) de distance de Saint-Etienne, la route n° 100 de Roanne au Rhône.

    Elle passe par Sury et traverse un peu avant Andrézieux, <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> que l'on passe sur un bac. Cette utile communication est actuellement en confection dans la partie située entre la rive droite de <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> et le bois de <st1:personname productid="la Fouillouse" w:st="on">la Fouillouse</st1:personname> la seule qui reste a construire. Elle est divisée en 2 cantons ; son entretien annuel demande 8000 francs.

    <o:p> </o:p>Route n° 3 de Montbrison à Roanne par Feurs : Cette route commence à <st1:metricconverter productid="2750 mètres" w:st="on">2750 mètres</st1:metricconverter> de Montbrison, sur la route départementale n° 1 et parcourt ensuite jusqu'à Feurs une longueur de <st1:metricconverter productid="17 000 mètres" w:st="on">17 000 mètres</st1:metricconverter> (3 lieues 2/5). A Feurs, elle s'embranche avec la route royale n° 100 de Roanne au Rhône, la distance de Feurs à Roanne est de <st1:metricconverter productid="38 650 mètres" w:st="on">38 650 mètres</st1:metricconverter> (7lieues 7/10). Elle ne forme qu'un seul

    canton. Cette route n'est pas encore en état de viabilité. On se sert en attendant pour aller jusqu'à Feurs d'un chemin vicinal qui va joindre la route après le village de Champ.

    <o:p></o:p>Route n° 4 de <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> à <st1:personname productid="la Saône" w:st="on">la Saône</st1:personname> par Charlieu : Elle commence à Roanne est parcourt dans cet arrondissement jusqu'à la limite du département du Rhône, une distance de <st1:metricconverter productid="230586 mètre" w:st="on">230586 mètre</st1:metricconverter> (4 lieues 7/10). Cette route destinée principalement aux transports des vins du Beaujolais, à besoin d'une restauration complète, et n'est point à l'état d'entretien. Elle est divisée en 2 cantons, et n'a aucun relais de Poste.

    <o:p></o:p>Route n° 5 de Montbrison par Ambert : Sa longueur est de <st1:metricconverter productid="17 856 mètre" w:st="on">17 856 mètre</st1:metricconverter> (3 lieues et demie) elle ne forme qu'un canton. Au surplus , la communication de Montbrison à Clermont ne souffre pas du mauvais état de cette route, puisque les rapports avec cette ville ont lieu par un grand chemin vicinal qui va joindre à Boën la route royale n° 107 de Lyon à Bordeaux par clermont.

    <o:p> </o:p>

    GRANDS CHEMINS NON CLASSES<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Chemin de Montbrison à Roanne par Boën : Ce chemin dont la longueur est de <st1:metricconverter productid="550360 mètres" w:st="on">550360 mètres</st1:metricconverter> (11 lieues) rencontre à Boën la route royale n° 107, de Lyon à Bordeaux par Clermont ; il a été pendant longtemps, et il est à peu près encore la seule communication suivie de Roanne au chef lieu du département, mais  lorsque la route n° 100 de Roanne au Rhône, sera ouverte jusqu'à Feurs, sa jonction dans cette ville avec la route départementale n° 3, lui vaudra sans doute la préférence des voyageurs, et il est probable qu'alors le se chemin ne sera plus fréquenté que par les habitants des communes voisines. Toutefois, la partie de Montbrison à Boën, toujours utile pour la communication avec la route qui conduit à Clermont mériterait d'être élevée au rang des routes départementales elle comprend une longueur de <st1:metricconverter productid="16 000 mètres" w:st="on">16 000 mètres</st1:metricconverter> (3 lieues 1/5).

    <o:p> </o:p>Chemin de Saint-Just-sur-Loire à Saint-Etienne : Avant l'ouverture de la dernière portion de la route départementale n°2, ce chemin était la seule communication de Saint-Etienne avec Montbrison. Aujourd'hui il ne sert qu'au transport de la houille extraite des mines de Saint-Etienne, et qu'on amène sur <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> pour être embarquée. Sa longueur est de <st1:metricconverter productid="14 683 mètres" w:st="on">14 683 mètres</st1:metricconverter> (3 lieues).

    <o:p></o:p>Chemin de Saint-Chamond au Rhône : Route qui comprend une étendue de <st1:metricconverter productid="23 290 mètres" w:st="on">23 290 mètres</st1:metricconverter> (4 lieues 2/5) dont une partie seulement est en état de viabilité complète.

    Ce chemin utile pour le transport au Rhône des bois que produit le  Mont Pilat ne l'est pas moins pour l'introduction des vins du Rhône dans l'arrondissement de Saint-Etienne. On s'occupe de son achèvement.

    <o:p></o:p>Chemin de Roanne à Ville-Franche (Rhône) par Thisy : Longueur <st1:metricconverter productid="16 300 mètres" w:st="on">16 300 mètres</st1:metricconverter>, ce chemin nécessaire aux relations de l'arrondissement de Roanne avec celui de Ville-Franche n'est pas achevé sur toute sa longueur.

    <o:p></o:p>Chemin de <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> au Puy par Saint-Bonnet-le-Château : Ce chemin commence sur la départementale n° 2, à peu de distance après Sury, et comprend une étendue de <st1:metricconverter productid="36 427 mètres" w:st="on">36 427 mètres</st1:metricconverter> (7 lieues 1/4) presque toute en pays de montagne. Il est destiné à établir la communication des arrondissements de Roanne et Montbrison avec le département de <st1:personname productid="la Haute-Loire" w:st="on">la Haute-Loire</st1:personname>, sans passer par Saint-Etienne. Son entière confection exigerait une somme considérable.

    <o:p></o:p>Chemin de Roanne à Digoin par Marcigny (Saône et Loire) : Route non encore ouverte et qui doit s'étendre sur une longueur de <st1:metricconverter productid="17 940 mètre" w:st="on">17 940 mètre</st1:metricconverter> (3 lieues 3/5). Ce sera la communication de l'arrondissement de Roanne avec l'ancien Charolais et l'ancienne Bourgogne.

    <o:p> </o:p>

    PRINCIPAUX PASSAGES D'EAUX

    -         15 sur <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname>

    -         2 sur le Lignon

    -         1 sur le Rhône

    <o:p> </o:p>

    Sur <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> : 2 à Saint-Paul-en-Cornillon, 1 à Saint-Victor-sur-Loire, 1 à Saint-Rambert, 1 à Andrèzieux, 1 à Veauche, 1 Crantilleux, 1 à Montrond-les-Bains ( route départementale n° 2) ,1 à Saint-Laurent-<st1:personname productid="la Conche" w:st="on">la Conche</st1:personname>, 1 à Feurs (Route Royale n° 107, 2 sur le territoire de Nervieux, 1 à Aiguilly, 1 à Cordelle, 1 à Pouilly-sous-Charlieu.

    <o:p> </o:p>

    Sur le Lignon : 1 à Poncins (Route Royale n° 107), 1 à Cleppé.

    <o:p> </o:p>

    Sur le Rhône :1 à Saint-Pierre-de-Bœuf

    <o:p> </o:p>

    Pont en construction sur <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> à Roanne : Ce pont bâtit en pierres de Saint-Maurice, présente une longueur de <st1:metricconverter productid="191 mètres" w:st="on">191 mètres</st1:metricconverter>. Il est formé de 7 arches surbaissées au tiers, de <st1:metricconverter productid="23,80 mètres" w:st="on">23,80 mètres</st1:metricconverter> d'ouverture chacune. La première adjudication fut passée en 1789 ; les fondations furent faites en 1803. Les travaux suspendus ensuite n'ont été repris qu'en 1810. Les arches sont toutes fermées, on a commencé le couronnement des piles et des culées. L'achèvement de cette construction, et  le creusement du nouveau lit qui doit conduire le fleuve sous le pont exigera encore une somme de 1 200 000 francs. En attendant on passe <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> à Roanne sur un pont charpentier.


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    <o:p> </o:p>

    Saint-Symphorien-de-Lay<o:p></o:p>

    Tome 2 :  Du 18° siècle……………………….A <st1:personname productid="la Restauration" w:st="on">la Restauration</st1:personname>

    <o:p> </o:p>Par une équipe locale : G. Fouillant – P. Bissuel – J. et N. Broisin – L. Croce – C. Désormière – A. Devis – J.G. Girardet – B. Hugues – T. et Mte.  Jacquet – N. Jusselme – B. Lacroix –     M. et C. Marcellin -J.C. et M.L. Perrin – A. et M.J. Piot - I. Pignard – J.P. Rey

    <o:p> </o:p>Dessin de G. Patay.

    <o:p> </o:p>

    <st1:personname productid="La Pr←face" w:st="on">La Préface</st1:personname> :<o:p></o:p>

    « Les historiens de chez nous » :

    <o:p> </o:p>

                                                     … réussissent à faire du neuf avec de l’ancien, en dénichant, dans les archives de nouvelles informations ou anecdotes de notre histoire. Ainsi dans ces pages nous annoncent-ils le projet « fou », dessinait paraît-il par Léonard de Vinci, de relier <st1:personname productid="la Sa￴ne" w:st="on">la Saône</st1:personname> et <st1:personname productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:personname> en traversant nos collines par un canal ! Et pourquoi pas par une autoroute ?

    <o:p> </o:p>Et ceci n’est qu’une richesse de ce livre ouvert sur le dix-huitième et la première moitié du dix-neuvième siècle, nous invitant à réviser cette période-clé de notre passé.

    <o:p> </o:p>Car si nos racines puisent leur sève dans tous les temps de notre histoire, il est un fait que les siècles évoqués dans ces pages sont un creuset où se sont forgés beaucoup des fondements de nos temps modernes. Par exemple l’émergence et le perfectionnement des savoir-faire liés au tissage ancrés dans la tradition de la laine et du chanvre tissés dans les boutiques des fermes favorisant le développement du coton puis la mousseline dévoilée par nos voisins tarariens. A l’ère industrielle qui ainsi s’annonçait, les entrepreneurs et aménageurs de l’époque ont aussi ouvert la voie par les plus grands travaux routiers qui aient été entrepris depuis l’époque romaine : la « mise au gabarit dix-huitième » de <st1:personname productid="la Voie Royale" w:st="on">la Voie Royale</st1:personname> puis dans les années 1820, le projet du nouveau tracé (pour l’époque) de <st1:personname productid="la RN" w:st="on">la RN</st1:personname> 7…Sans oublier <st1:personname productid="la R←volution" w:st="on">la Révolution</st1:personname> et le Premier Empire qui, au-delà des évènements tragiques qui les ont accompagnés, ont amené la naissance de nos communes, avec parfois de savantes « pirouettes » quand en peu de temps il fallait faire allégeance successivement à l’empereur, puis au roi, puis à l’empereur, puis au roi…Les anecdotes, délibérations municipales, concertations sur les projets routiers, évoquées ou retracées dans ce livre, révèlent surtout combien ces pages de la « grande histoire «  de notre pays ont été vécues avec intensité dans la région de St-Symphorien-de-Lay.

    <o:p> </o:p>Merci donc aux historiens des Chemins du Passé qui par leur passion, leurs recherches, leurs écrits, savent si bien nous intéresser à notre histoire…et qui, grâce aux repères historiques qu’ainsi ils vous donnent, nous aident à envisager avec modestie, mais aussi une part de rêve notre aventure humaine locale.

                                         Claude Janin (Maire de Fourneaux) Président de <st1:personname productid="la COPLER" w:st="on">la COPLER</st1:personname>

    <o:p> 
    </o:p>Format de l’ouvrage 210 x 297

    <o:p style="font-weight: bold;"> </o:p>2° tome d’une série de 3<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>Année 2005<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>335 pages, de nombreux dessins et reproductions en noir et blanc de documents anciens, cartes et plans, quelques pages en couleurs, table des matières, glossaires des termes utiliser, petite bibliographie locale. 

    <o:p> </o:p>

    Pour plus de renseignements écrire  à : Chemins du Passé<o:p></o:p>

                                                                    6, rue de l'ancienne poste<o:p></o:p>

                                                                    42470 Saint-Symphorien-de-Lay

    <o:p> </o:p>

    Avertissement : A la demande de nos lecteurs habituels, nous avons effectué le tirage de notre étude en photocopies « laser » en pages recto. Ainsi  peut-on utiliser pratiquement les versos pour y inscrire ou placer des notes complémentaires et personnelles, des photos, cartes et autres documents.<o:p></o:p>

    En procédant ainsi les  prix de nos ouvrages sont calculés au plus juste afin qu’une personne au chômage, étudiante ou en retraite puisse les acheter.<o:p></o:p>

    D’autre part jusqu’à un passé très proche, la mise en place et la reliure étaient effectuées par une association de jeunes handicapés (des changements sont en cours).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Pour faciliter la lecture, les textes sont en pleine page (pas de colonne).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>La taille des polices de caractères est soit de 12 ou de 14 (pensons à ceux qui portent des lunettes.)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>La frappe des articles étant faite par plusieurs collaborateurs les polices de caractères peuvent être différentes d’un sujet à l’autre mais l’avantage est de briser la monotonie uniforme des textes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Une expédition par <st1:personname productid="la Poste" w:st="on">la Poste</st1:personname> est un peu plus onéreuse surtout si l’ouvrage comporte un grand nombre de pages.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>


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    VENDRANGES<o:p></o:p>

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    </o:p>Arrondissement de Roanne
    Canton de Saint-Symphorien-de-Lay
    Superficie (ha)……...  111
    Population (hab.)…...  226
    Recensement : 1999
    Habitants : les Vendrangeois 
    Surnom : les Casseroles
    Altitude : <st1:metricconverter productid="490 m" w:st="on">490 m</st1:metricconverter>
    Code Postal : 42590

    <o:p> </o:p>HISTORIQUE : Enfermé autrefois dans une enceinte dont on trouve  encore des traces tout autour du village au XIXème siècle. Au début du XVIIème siècle il y avait du côté nord un chapelet fortifié composé de plusieurs salles qui communiquaient entre elles et avec l'église. Elles sont mentionnées en 1660 dans une visite pastorale de l'Archevêque de Lyon Camille de Neuville. La tour qui flanque l'église devait certainement faire partie de ce système de fortification. Village pittoresque situé  sur le début de la "Route Bleue" RN 82, qui mène à Saint-Etienne, en haut de la célèbre  et dangereuse "côte" à qui elle a donné son nom.

    <st1:PersonName productid="LA FOIRE AUX" w:st="on">LA FOIRE AUX</st1:PersonName> PILLOTS ou Foire au Poussins (Une foire née d'une source)

    <o:p> </o:p>La foire dite de <st1:PersonName productid="la Saint Barnabé" w:st="on">la Saint Barnabé</st1:PersonName>  est l'une des plus anciennes du département de <st1:PersonName productid="la Loire. Elle" w:st="on">la Loire. Elle</st1:PersonName> date du Moyen-Age, elle ne connut pas d'interruption.

    <o:p> </o:p>Elle est née à cause d'une source, dédiée à Saint Genest, patron de la paroisse. Réputée guérir la goutte et la sciatique, la source, qui ne tarissait jamais et ne gelais jamais, attirait des foules durant le Moyen-Age, XV°, XVI°, XVII°, XVIII° siècle, venues du Roannais du Forez, du Velay, du Lyonnais, du Bourbonnais, d'Auvergne…

    On ajouta bientôt à la  réputation de guérir la goutte et la sciatique, celle de guérir les maladies des yeux. Ce qui augmenta encore le nombre des pèlerins.

    <o:p> </o:p>Ils venaient particulièrement le 11 juin. Sous la conduite du curé se déroulaient prières et processions jusqu'à la source où l'on se frottait les yeux, ou les membres malades, avec de l'eau. L'après-midi était consacré à manger, à boire, à danser.

    Très vite, ces énormes populations de pèlerins qui venaient à pied, et demeuraient un ou deux jours, attirèrent des marchands de toutes sortes. Les affaires étant bonnes pour ces derniers, une véritable foire se développa.

    On amena bientôt du gros bétail et beaucoup de petites volailles, en particulier des poussins. De là, la réputation de foire aux "pillots" s'établit, aussi solide que celle de la source de Saint Genest.

    <o:p> </o:p>Parallèlement, la vie des pèlerins ne gagna pas en vertu. On faisait ripailles, on buvait, on se battait, on se volait, et il y eut même des crimes dans les granges.

     Au XVIII° siècle, l'archevêque de Lyon prit alors la décision d'interdire ce pèlerinage.

    La foire continue de plus belle et pendant longtemps, les visiteurs, guidés par la tradition des anciens, se rendirent encore à l'église prier Saint Genest et à la source se frotter les yeux et remplir des bouteilles d'eau

    Dans les années 50, cette pieuse habitude disparut et l'eau se perdit dans l'herbe.

    <o:p> </o:p>

     Fin de l'historique : Louis Ranvier 1835-1922 médecin pathologiste et du système nerveux termina ses jours dans cette localité. La municipalité pour dynamiser, le village vient de mettre en service un magasin multiservices et l'auberge qui s'y attache porte le nom de "Pierre des quatre curés" rappelant une particularité de la commune  et une vieille légende

    EGLISE SAINT GENEST<o:p></o:p><o:p>
    </o:p>

    Architecte Boisson de  Roanne (construction) 1837

    Architecte Durand de  Roanne (nouveau clocher) 1861

    <o:p></o:p>  La première église dont la plus ancienne mention connue est 1224, subsiste partiellement dans l’église actuelle : dans la nef centrale, la tour en façade.

    <o:p> </o:p>Au XV°siècle, aménagement de <st1:PersonName productid="la Chapelle" w:st="on">la Chapelle</st1:PersonName> de <st1:PersonName productid="la Vierge" w:st="on">la Vierge</st1:PersonName> à droite du Chœur, de style gothique avec voûte sur croisée d’ogives.

    <o:p> </o:p>En 1829, devenue trop petite pour contenir la population qui c’est accrue, elle est agrandie par l’adjonction de <st1:PersonName productid="la Chapelle" w:st="on">la Chapelle</st1:PersonName> des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie sur le bas-côté sud, par l’architecte Boisson, dans le style néo-gothique ; style qui au XIX° siècle, s’est inspiré du gothique du Moyen-Age (emploi de la voûte sur croisée d’ogives qui entraîne des conséquences sur la structure de l’église : report des poussées sur les supports d’angle, allègement des murs, agrandissement des fenêtres).

    <o:p> </o:p>De 1860 à 1861, le clocher menaçant de s’effondrer, est reconstruit en même temps qu’un nouveau chœur par l’architecte Durand.

    <o:p> </o:p>L’église est placée sous le vocable de Saint-Genest martyr de Rome dès le XII° siècle : « Saint-Giney de Vendranges »
    <o:p>
    </o:p>La tour flanquée sur la façade occidentale de l'église devait faire partie  des anciennes fortifications du village.

    <o:p> </o:p>DANS L’EGLISE :

    Retable de <st1:PersonName productid="la Vierge" w:st="on">la Vierge</st1:PersonName><o:p></o:p>

    XVII siècle

    <o:p>
    </o:p>Autel de <st1:PersonName productid="la Vierge" w:st="on">la Vierge</st1:PersonName>, bois peint et doré. Devant orné du monogramme de Marie "MA" : première et dernière lettre du nom de "Maria"

    Sur le fronton du retable, colombe du Saint-esprit.

    La statue de <st1:PersonName productid="la Vierge" w:st="on">la Vierge</st1:PersonName> à l'enfant, début du 19° siècle avec des vêtements partiellement en tulle collé, avec cabochon de métal

    <o:p> </o:p>

    Autel de Saint Genest<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>chêne - frêne - noyer

    menuisier BURDIN de <st1:PersonName productid="La Bénissons Dieu" w:st="on">La Bénissons Dieu</st1:PersonName> (Loire ) 1830.

    <o:p> </o:p>Autel privilégié par le pape PIE VIII ; spécialement consacré à la célébration des messes pour les morts afin qu'ils bénéficient de l'indulgence plénière ou de la remise de la  peine que doit subir le défunt pour ses péchés.

    Orné d'un cœur incrusté.

    Retable avec tableau, huile sur toile : St Genest tenant la palme du martyre ; à ses pieds, un violon rappelant son métier de comédien et sa qualité de protecteur des ménestrels.

    <o:p> </o:p>La vitrine du trésor de l'église

    <o:p> </o:p>

    Tableau du "Sacré Cœur"

     huile sur toile, de Gamen du Pasquier, de Paris, 1838. Jésus montrant son cœur sanglant et flamboyant, symbole de son amour pour les hommes ; sa main droite porte la trace du clou de sa crucifixion

    <o:p> </o:p>

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    <st1:PersonName productid="La Madone" w:st="on">La Madone</st1:PersonName> :<o:p></o:p> Sur la route de Saint-Priest-la-Roche, <st1:PersonName style="font-weight: normal;" productid="la Vierge" w:st="on">la Vierge</st1:PersonName> domine le village pour mieux le protéger.

    <o:p> 
     </o:p>Pierre des quatre curés

    Sur la route en descendant de Neulise à Saint-Jodard

    <o:p> </o:p>La pierre se trouve au lieu dit "Coulouvras" au fond d'une dépression près d'un petit ruisselet.

     Elle sert de limite à 4 communes, dont on aperçoit les clochers, Vendranges - Neulise - Saint-Priest-la-Roche et Saint-Jodard.

    <o:p> </o:p> La légende veut que les curés des quatre paroisses se donnent rendez-vous à cet endroit le Lundi de Pentecôte pour discuter de leurs problèmes, loin des oreilles indiscrètes et en particulier celles de leurs « bonnes. »<o:p></o:p>
    Cette rencontre se termine par un repas champêtre toujours arrosé de bonnes bouteilles.

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    Saint-Symphorien-de-Lay<o:p></o:p>

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    Des origines……………………… au 18° siècle

    <o:p> </o:p>Par une équipe locale : G. Fouillant – P. Bissuel – J. et N. Broisin – L. Croce – C. Désormière – A. Devis – J.G. Girardet – B. Hugues – T. Jacquet – N. Jusselme – B. Lacroix –J.C. et M.L. Perrin –I. Pignard.

    <o:p> </o:p>Dessin de G. Patais.

    <o:p> </o:p><st1:personname productid="La Préface" w:st="on">La Préface</st1:personname> :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Une équipe de notre village, passionnée d’histoire locale, s’est attelée récemment à la lourde tâche de reconstituer son histoire et celle de ses principaux hameaux.

    <o:p> </o:p>Dans ce premier volume qui couvre la période allant des origines jusqu’au XVIIIème siècle nous pouvons découvrir tout ce qui a fait la vie de Saint-Symphorien de Lay au fil des siècleS.

    <o:p> </o:p>La réalisation de cet ouvrage, particulièrement bien documenté à certainement nécessité un travail important de la part de ses auteurs.

    <o:p> </o:p>Je souhaite donc que le plus grand nombre de nos compatriotes puisse le découvrir pour en apprécier la qualité et pour remercier ainsi ceux à qui nous le devons.

                                                                                         Le Maire

                                                                                 Alain GIRARDET

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    Format de l’ouvrage 210 x 297

    <o:p> </o:p>   1° tome d’une série de 3<o:p></o:p>

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        270 pages, de nombreux dessins et reproductions en noir et blanc de documents anciens, cartes et plans, quelques pages en couleurs, table des matières, glossaires des termes utiliser, références bibliographiques, petite bibliographie locale. 

    <o:p> </o:p>Pour plus de renseignements écrire  à : Chemins du Passé<o:p></o:p>

                                                                    6, rue de l'ancienne poste<o:p></o:p>

                                                                    42470 Saint-Symphorien-de-Lay

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    Avertissement : A la demande de nos lecteurs habituels, nous avons effectué le tirage de notre étude en photocopies « laser » en pages recto. Ainsi  peut-on utiliser pratiquement les versos pour y inscrire ou placer des notes complémentaires et personnelles, des photos, cartes et autres documents.<o:p></o:p>

    En procédant ainsi les  prix de nos ouvrages sont calculés au plus juste afin qu’une personne au chômage, étudiante ou en retraite puisse les acheter.<o:p></o:p>

    D’autre part jusqu’à un passé très proche, la mise en place et la reliure étaient effectuées par une association de jeunes handicapés (des changements sont en cours).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Pour faciliter la lecture, les textes sont en pleine page (pas de colonne).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>La taille des polices de caractères est soit de 12 ou de 14 (pensons à ceux qui portent des lunettes.)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>La frappe des articles étant faite par plusieurs collaborateurs les polices de caractères peuvent être différentes d’un sujet à l’autre mais l’avantage est de briser la monotonie uniforme des textes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Une expédition par <st1:personname productid="la Poste" w:st="on">la Poste</st1:personname> est un peu plus onéreuse surtout si l’ouvrage comporte un grand nombre de pages.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>BONNE LECTURE<o:p></o:p>

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