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Fontaine miraculeuse de Saint Fortunat<o:p></o:p>
En bas du village au lavoir
<o:p> </o:p>Le lavoir et sa source intarissable d'eau claire dans laquelle se reflète la statue blanche, abritée dans son édicule de Saint-Fortunat, poète latin né à Trévise ver l'an 600, Evêque de Poitiers, fêté le 14 décembre.
Jadis un pèlerinage spécial contre les troubles de la locomotion était organisé. Les mamans y conduisaient leur enfant ayant du mal ou du retard pour marcher.
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LES MOULINS
<o:p> </o:p>Sur les 980 kilomètres de parcours entre le Gerbier de Jonc et lOcéan, la Loire arrose douze kilomètres de rives cordelloises. De tout temps, elle fit partie intégrante de la vie du village et de ses habitants.
Quelle est lorigine de son nom ? Selon les uns, ce mot « Loire », en latin « Liger » viendrait dun terme très ancien qui servait à désigner les pirogues creusées dans un tronc darbre : « lignum gereus » par les premiers navigateurs ou qui ferait allusion à des trains de bois. Selon les autres, ce nom serait à attribuer aux Ligures, venus dEurope Orientale en Gaule.
En 27-26 avant Jésus-Christ, Tibulle nous dit delle « La Loire dont les ondes bleuâtres arrosent le pays du blond Carnute . » Pour nos ancêtres, cétait une masse deau quils ne pouvaient franchir que grâce aux 3 bac de Pizay, de Presles et dAllat ( et ce jusquà la construction du pont de Presles en septembre 1889) lorsquils désiraient aller sur lautre rive à Bully, St-Paul-de-Vézelin, St-Polgues ou St-Maurice. Cétait aussi cette eau qui, sans arrêt, faisait « tictaquer » les trois moulins connus sur le territoire de la commune de Cordelle et qui eurent pour noms : Lignebonne (au XIII° siècle) Presles et Allat ; moulins indispensables pour moudre ce « bled-seigle » amené par les paysans à dos dâne depuis les hameaux les plus lointains du village, après des heures de marche, sur les chemins pierreux et accidentés mais avec la joie du retour, à lidée de pétrir et de cuire une bonne fournée.
Que reste-il de lhistoire de ces 3 moulins ?
Moulin de Lignebonne
Il faut remonter au mois davril de lan 1299 pour retrouver les premières traces de ce moulin de « Lignybonne » qui se situait sur la rive droite de la Loire au Nord du ruisseau de la Poussette (Pausères à cette époque) qui délimite les communes de Cordelle et de St-Priest-la-Roche. Il appartenait à Pierre de Seignens qui lavait pris à Jocerand Charsala, chevalier.
En 1369, J. Stevenon, répond pour son « moulin de Lignibonna sur la Loire. »
De Lignebonne montait un chemin en direction de Saint-Cyr-de-Favières. Cest aussi près de ce moulin ou près des ruines quil en restait, que se situait le port de Lignebonne, mentionné sur la carte de Cassini en 1750. Ce port deviendra le Port Bourdon. A peu de distance, mais sur la rive gauche, se trouvait le Port Pisay relié à la rive cordelloise par un bac.
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Moulin du Port puis du Pont de Presles
Le moulin que nous avons connu sest arrêté définitivement de tourner en février 1975, au décès de son propriétaire, Claudius Delorme. Celui-ci était le dernier de toute une lignée de meuniers qui se succédèrent de père en fils, et ce, depuis leur ancêtre meunier le plus lointain : François Delorme, originaire de Saint-Priestr-la-Roche. Cétait en 1839. Il mourut quatre fils : Jean Marie (1868-1889), Jean (1856), Germain (1859-1886), et autre Jean (1860), ensuite ce sera Michel (1889-1896) puis Pierre (1884-1918), tous les deux fils de Jean-Marie ; puis lorsquil fut en âge de prendre la succession Claudius Delorme (1935-1975) fils de Pierre.
Avant la famille Delorme, qui régna comme « meunier du Port, puis du Pont de Presles » pendant plus de 135 ans, nous trouvons la famille Giraud : de 1786 à 1807 pour Claude Giraud, de 1806 à 1819 pour Jean et Antoine jusquen 1837-1839.
En remontant encore dans le temps, grâce aux archives de lEtat-Civil nous apprenons que jusquau 26 avril 1753, jour de son décès, Jean Vernay était « fermier et meunier du moulin de Prelle » puis se fut Pierre Baudinat qui fut meunier au Port de Presles de 1762 à 1769.
Cest pendant le règne de cette famille Giraud que le moulin dont nous ignorons son ancienneté, fut transformé pour faire le bâtiment tel que nous lavons connu. Cétait en 1813, date gravée sur la poutre supérieure de la porte dentrée donnant sur le chemin de halage, chemin qui continuait en aval en direction de Sablonnière puis du moulin dAllat.
Longtemps ce moulin « tourna » grâce à lénergie fournit par une roue hydraulique. Lorsquelle fut pourrie, on la remplaça par une turbine qui, à son tour, ne résista pas à la poussée des eaux. En 1969, il fut équipé dun moteur au fuel, hélas dun prix de revient beaucoup plus onéreux, comparé à lénergie gratuite fournie par la Loire, lorsquil y avait suffisamment deau.
Jusquen 1980, laménagement intérieur du moulin était resté pratiquement le même depuis son arrêt définitif. On pouvait encore y voir une paire de meules que Claudius Delorme utilisait, les derniers temps, pour fabriquer de la nourriture destinée au bétail et un appareil à cylindres pour la farine panifiable. A létage, linstallation modernisée de 1950, était en très bon état.
Dans le cadre du nettoyage des gorges, avant la mise en eau du barrage de Villerest, le moulin sera démoli au mois de février 1982, seules les deux meules seront sauvées et montées au bourg, et installées à lentrée du terrain de sports.
Ce moulin du Pont de Presles était peut-être le successeur du moulin Lemonarque où en 1665, les frères Paparel proposaient de débarquer voyageurs et marchandises pour les transporter au port de Roanne par voie de terre. Voici le passage du texte de lépoque : « Touchant la navigation de la rivière de Loire, au-dessus de Roanne, on a examiné par la visite des lieux, quil serait impossible de la rendre navigable depuis Saint-Maurice jusqu-à Roanne, éloignés de 2 lieux lun de lautre tant à cause des piliers dun ancien pont situés au-dessous sudict St-6 Maurice, que de plusieurs rochers, notamment celluy appelé le Perron qui est à demy-lieu au-dessous de St Maurice. Ainsi, il faudrait que la navigation aboutit près le moulin Lemonarque vis à vis de Cordelle, du costé de lisle de Roanne. Et il ny aurait quun charroi pendant deux lieux dans un très beau chemin et presque toujours en descendant »
Lexpression « du côté de lisle de Roanne » le situe bien sur la rive droite puisque à cette époque la Loire coulait encore à lemplacement du port du canal de Roanne.
Par contre, aucun détail complémentaire nous interdit de penser quil pouvait se trouver à la Sablonnière, là où aboutissait un chemin venant de Roanne par Cordelle et Presles et doù partait un autre chemin en direction dAllat et de Joeuvre.
Cette anse abritée à la Sablonnière, devait faciliter lamarrage des barques et permettre ainsi le chargement de produitS locaux tels que les vins en fûts des Côtes de Cordelle, qui seront vendus jusquà Paris, le bois de chauffage, la pierre à chaux exploitée dans la carrière du Verdier.
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Le moulin dAllat<o:p></o:p>
Il ne restai que quelques ruines de ce moulin lorsque dans le courant de lété 1982, le bulldozer chargé du nettoyage des gorges de la Loire est venu les pousser dans le fleuve. Seule la pierre de la meule est demeurée là, bien apparente, attendant dêtre noyée sous des dizaines de mètres deau de la Loire, retenue par le barrage de Villerest.
Depuis fort longtemps ce moulin dAllat, sans doute très ancien et situé à quelques 4 à 500 mètres en aval de la chapelle du même nom, avait cessé de « tictaquer ».
Le plus ancien propriétaire connu semble avoir été Mathieu de la Mure. En 1591, ses héritiers le vendirent à Jean Blanchardon. En 1726, le meunier était sans doute un nommé Claude Denis. En effet dans sa « Chronique de St Maurice sur Loire » Madame Bonnard écrit :
« Le 26 juin 1726, veille de saint Pierre, je fus à Roanne avec Claude Denis de Cordelle, meunier de vers Rôlat ( ??) phonétiquement de vers Allat qui demeurait chez nous depuis la Notre Dame de mars pour se faire panser une jambe où il avait gardé mal depuis Noël, il en sortit sept petits os. »
En 1750, un certain Rondier en fut propriétaire, par la suite il appartint à la famille Pousset
De 1751 à 1857, la famille Millet lexploita en tant que meunier. La ferme dhabitation se situait à proximité immédiate mais un peu au-dessus pour être à labri des crues trop fréquentes de la Loire.
Le dernier meunier dAllat aurait été François Vaudier en 1894.
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LANE ET <st1:PersonName productid="LA SOURCE" w:st="on">LA SOURCE</st1:PersonName><o:p></o:p>
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Où se trouvait cette source ? A lextrême sud-est du territoire de notre commune. On pouvait y accéder par le chemin de halage longeant la rive droite de <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName>, puis en empruntant le chemin qui remontait le ruisseau dit « <st1:PersonName productid="La Poussette" w:st="on">La Poussette</st1:PersonName> », lequel est la limite naturelle entre Cordelle et Saint-Priest-la-Roche.
A <st1:metricconverter productid="1 kilomètre" w:st="on">1 kilomètre</st1:metricconverter> de <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName> se dressaient jusquau printemps de 1982, 3 bâtiments, 1 hangar couvert et la villa du directeur, le tout disposé autour dune cour.
Leau de la source jaillissait là, par pulsions, dune fente existant dans un puissant dyke de porphyre quartzifère, à la température constante de 9° centigrades avec un débit régulier (même par les plus grandes sécheresses) de <st1:metricconverter productid="10 000 litres" w:st="on">10 000 litres</st1:metricconverter> par jour.
Mais voici lhistoire de cette petite source deau minérale. Chacun sait que le moindre événement survenant dans nos pays de campagne sentourait toujours dune auréole de légende.
Ce fut le cas pour lorigine de cette source « Victoire » qui sourdissait sur la limite des communes de Cordelle et de St-Priest, néanmoins sur le territoire de la première citée.
On raconte dans le pays Cordellois, quune paysanne prénommée Victoire possédait un âne. Jusque-là rien dexceptionnel, quand on saura que ces bêtes de somme devaient en ce temps-là être plus nombreuses sur le territoire de notre commune que ne le seront jamais les tracteurs ! Dailleurs notre pays était surnommé le pays des ânes. Par ailleurs, ce fameux âne était une « fine bouche » puisquil avait toujours par habitude daller se désaltérer au même « creux ». Tenter de le faire sabreuver ailleurs savérait inutile. Il refusait systématiquement toute autre boisson que celle quil avait découverte. Il sen trouva fort bien, car soit disant, il ne fut jamais malade et mourut fort vieux.
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<st1:PersonName productid="LA SOURCE" w:st="on">LA SOURCE</st1:PersonName> « VICTOIRE »
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Où se trouvait cette source ? A lextrême sud-est du territoire de notre commune. On pouvait y accéder par le chemin de halage longeant la rive droite de <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName>, puis en empruntant le chemin qui remontait le ruisseau dit « <st1:PersonName productid="La Poussette" w:st="on">La Poussette</st1:PersonName> », lequel est la limite naturelle entre Cordelle et Saint-Priest-la-Roche.
A <st1:metricconverter productid="1 kilomètre" w:st="on">1 kilomètre</st1:metricconverter> de <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName> se dressaient jusquau printemps de 1982, 3 bâtiments, 1 hangar couvert et la villa du directeur, le tout disposé autour dune cour.
Leau de la source jaillissait là, par pulsions, dune fente existant dans un puissant dyke de porphyre quartzifère, à la température constante de 9° centigrades avec un débit régulier (même par les plus grandes sécheresses) de <st1:metricconverter productid="10 000 litres" w:st="on">10 000 litres</st1:metricconverter> par jour.
Mais voici lhistoire de cette petite source deau minérale. Chacun sait que le moindre événement survenant dans nos pays de campagne sentourait toujours dune auréole de légende.
Ce fut le cas pour lorigine de cette source « Victoire » qui sourdissait sur la limite des communes de Cordelle et de St-Priest, néanmoins sur le territoire de la première citée.
On raconte dans le pays Cordellois, quune paysanne prénommée Victoire possédait un âne. Jusque-là rien dexceptionnel, quand on saura que ces bêtes de somme devaient en ce temps-là être plus nombreuses sur le territoire de notre commune que ne le seront jamais les tracteurs ! Dailleurs notre pays était surnommé le pays des ânes. Par ailleurs, ce fameux âne était une « fine bouche » puisquil avait toujours par habitude daller se désaltérer au même « creux ». Tenter de le faire sabreuver ailleurs savérait inutile. Il refusait systématiquement toute autre boisson que celle quil avait découverte. Il sen trouva fort bien, car soit disant, il ne fut jamais malade et mourut fort vieux.
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</o:p>En 1839, le docteur J.B. Arthaud de Viry, médecin roannais, fut sans doute le premier à analyser cette eau minérale qui constituait un véritable élixir de jouvence pour notre Maître Aliboron.
Le propriétaire Millet avait construit un petit puits carré de <st1:metricconverter productid="2 mètres" w:st="on">2 mètres</st1:metricconverter> de côté et de <st1:metricconverter productid="0,60 m" w:st="on">0,60 m</st1:metricconverter> de profondeur destiné à recueillir cette eau. La « Fontaine Millet » était née. Les gens dalentour pouvaient ainsi venir y puiser à leur gré. A cette époque, on disait de cette eau quelle était froide (15°), peu abondante (son débit : <st1:metricconverter productid="11 litres" w:st="on">11 litres</st1:metricconverter> par minute) et quelle ne laissait échapper que quelques rares bulles dacide carbonique à des intervalles assez éloignés.
Par son goût, elle rappelait leau de Saint-Alban, mais déposait une proportion plus forte dhydrate de fer. Dautre part, il nétait guère probable, vu sa situation et son débit, quelle puisse jamais être utilisée.
Les analyses effectuées révélèrent également que leau recueillie à cet endroit du sol cordellois renfermait entre autres : de lacide carbonique, des bicarbonates de soude, de potasse, de chaux, de magnésie, du chlorure de sodium, de lalumine, de la silice, des traces de fer.
LAcadémie de Médecine de Paris et <st1:PersonName productid="la Faculté" w:st="on">la Faculté</st1:PersonName> de Lyon approuvèrent ces résultats et lEtat, par arrêté du 29 août 1865, donna son autorisation pour lexploitation de cette source.
La société Grange jeune et Cie, qui exploitait la source effectua un captage plus profond et plus organisé en construisant un grand puits en ciment dune profondeur de <st1:metricconverter productid="3 mètres" w:st="on">3 mètres</st1:metricconverter>.
Dans un rapport quil faisait le 12 février 1866, devant la faculté de Médecine de Lyon, Monsieur Glénard, directeur de lEcole de Médecine vantait le mérite de cette production naturelle et déclarait que « leau minérale de cette source est une eau fraîche, limpide, dune saveur acidulée, très agréable, sans arrière goût amer ou salé, présentant tous les caractères des eaux alcalines gazeuses. En raison de ses importants principes magnétiques et sodiques, lemploi quotidien de cette eau légère, résolutive sans inconvénient convient tout particulièrement aux personnes que leurs occupations privent dexercice et dans les cas de congestions abdominales, dentérites et de maladies de lestomac »
Dans la région, et cela depuis fort longtemps, cette eau avait la renommée de posséder des qualités cicatrisantes et résolutives. Il nétait pas rare de voir les paysans venir de très loin pour laver leurs coupures et leurs plaies ; celles-ci se résorbant et se cicatrisant très rapidement.
Vers <st1:metricconverter productid="1880, M" w:st="on">1880, M</st1:metricconverter>. Forest nouveau propriétaire, essayait daméliorer cette exploitation, en créant un petit établissement de bains moitié briques et moitié bois. Composée dun hangar équipé de trois baignoires installées dans des cabines de sapin, cette mini-station thermale avait une fréquentation de 150 baigneurs en moyenne par an. Par ailleurs, <st1:metricconverter productid="16 000 litres" w:st="on">16 000 litres</st1:metricconverter> deau étaient vendus annuellement sous forme de boisson ( <st1:metricconverter productid="10 000 litres" w:st="on">10 000 litres</st1:metricconverter> sur place, au détail, plus 6 000 autres litres expédiés).<o:p> </o:p>
En 1903 la source de Font-Poussette ou Victoire appartenait à M.M. Gaudron et Scolary. Mais léloignement de toute agglomération et les difficultés des communications firent que lexploitation devint difficilement rentable et cessa avant la guerre de 14-18.
Néanmoins, le maire de Cordelle estimait que « dans ce site sauvage mais idéal, sur les bords de <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName>, une Société et un bon hôtel avec bains seraient certain de prospérer »
Puis létablissement fut mis en vente et adjugé à M. Vigouroux.
A cette époque-là, un certain Brun, qui fut aussi gérant, créa même une guinguette. Chaque fin de semaine, les jeunes des environs sy retrouvaient pour danser. On sy amusait bien et les gorges de <st1:PersonName productid="La Poussette" w:st="on">la Poussette</st1:PersonName> résonnaient des cris des garçons et des filles qui venaient au bal, de Cordelle et de Saint-Priest en empruntant les coursières à travers bois.
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A la fin de lannée 1941, la station redémarrait sous la direction, dune nouvelle entreprise qui sintitulera « Société des Eaux Minérales de St-Priest-la-Roche.
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En 1946, son gérant était M. Jacques Gautheron. Linstallation sétait modernisée. Leau captée et amenée dans un réservoir de <st1:metricconverter productid="6 m3" w:st="on">6 m3</st1:metricconverter> était pompée dans dautres cuves, puis amenée à des machines qui assuraient la mise en bouteilles, le capsulage, létiquetage. Dautres activités complémentaires existaient également : lavage et rinçages des bouteilles en retour, stockage, expédition, service commercial. A la vente de leau minérale avaient été adjointes dans les dernières décennies, la fabrication et la vente de limonade et de sodas.
Noublions pas de préciser que cette eau minérale ne décomposait pas le vin et permettait de présenter des boissons claires et agréables. On la retrouvait couramment sur les tables régionales ; elle était même exportée en Afrique (Egypte) et en Amérique.
Cette société des Eaux Minérales de St-Priest-la-Roche fut dirigée entre autres par M. Pharabet.
Son dernier gérant sera M. Henri Bidault jusquen 1975, date de sa fermeture définitive.
Le site a disparu dans la mise en eau du barrage de Villerest.
2 commentaires -
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Mémoire <o:p></o:p>
en Images<o:p></o:p>
ENTRE FOREZ ET BEAUJOLAIS<o:p></o:p>
Saint-Symphorien-de-Lay
Et son Canton
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</o:p>Auteurs : Collectif<o:p></o:p>Format 165 x 235 <o:p></o:p>
127 pages, 200 documents photographiques dont 150 reproductions de cartes postales du début du XX° siècle Noir et blanc.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>Dépôt légal juin 2000<o:p></o:p>
<o:p></o:p>Editions Alan SUTTON<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>Depuis plus de 30 ans les Chemins du Passé collectionnent les traces des événements qui ont marqué le sud-est du Pays Roannais.<o:p></o:p>
Sous limpulsion de leur créateur Antonin Bécaud, ils ont attaché une grande importance aux photographies, notamment à celles choisies par les éditeurs de cartes postales Aussi ont-ils réalisé cet ouvrage, témoin de lensemble du « siècle de la photographie » à travers les thèmes aussi divers que le miracle du tissage, lapparition du chemin de fer, la renaissance de la vie religieuse <o:p></o:p>
La sélection des 200 documents de ce recueil sera dun grand intérêt pour les lecteurs attentifs à lévolution de ce territoire convoité par les provinces du Forez et du Beaujolais autant que dominé par la capitale lyonnaise.<o:p></o:p>
Les Chemins du Passé, Groupe culturel régional dhistoire locale, de recherches et danimation touristique, sont nés à lombre du Relais Royal de <st1:personname productid="la Tête Noire." w:st="on">la Tête Noire.</st1:personname><o:p></o:p>
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Pour plus de renseignements écrire à : Chemins du Passé<o:p></o:p>6, rue de l'ancienne poste<o:p></o:p>
42470 Saint-Symphorien-de-Lay
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