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    Saint-Symphorien-de-Lay<o:p></o:p>

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    LE  RELAIS POSTE DE LA « TÊTE NOIRE » (Rénové)<o:p></o:p>

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    Auteur : Hugues Bernard<o:p></o:p>

    ·        Format 210 x 297<o:p></o:p>

    ·        42 pages, nombreuses photographies N et B, dessins..<o:p></o:p>

    ·        Années 2004  <o:p></o:p>

    ·        Tirages 15 exemplaires (ouvrage non commercialisé)<o:p></o:p>

    ·        Reliure : spirale<o:p></o:p>

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     Ce fascicule traite avec de nombreuses photographies les travaux de la  rénovation et de l’aménagement du relais dans les années 1994 -1995.<o:p></o:p>

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    Cet ouvrage comme beaucoup d’autres sera consultable dès la réouverture (date à fixer) de notre Centre d’études à Saint-Symphorien-de-lay

    Avertissement : A la demande de nos lecteurs habituels, nous avons effectué le tirage de notre étude en photocopies « laser » en pages recto. Ainsi  peut-on utiliser pratiquement les versos pour y inscrire ou placer des notes complémentaires et personnelles, des photos, cartes et autres documents.

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    Pour faciliter la lecture, les textes sont en pleine page (pas de colonne).<o:p></o:p>

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    ATTELAGES : LENTE EVOLUTION VERS PLUS DE CONFORT<o:p></o:p>

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    Le Carrosse<o:p></o:p>

    En 1599, le premier carrosse, méritant vraiment cette appellation, rapporté d’Italie par François de Bassompierre, le favori d’Henri IV, entrait dans Paris où il fit sensation. Les grands seigneurs de la cour voulurent tous avoir semblable voiture, puis les ministres, les seigneurs de plus petite noblesse le clergé et finalement la mode passa jusqu’à la riche bourgeoisie.<o:p></o:p>

    Le véhicule, utilisé plus d’un siècle auparavant par Isabeau de Bavière lors de son entrée solennelle dans la capitale, n’était encore en dépit de l’abondance des peintures et du luxe des garnitures, du somptueux harnachement des chevaux, qu’un chariot ! Chariot royal peut-être, mais néanmoins une caisse posée à même les essieux supportant tous les cahots des mauvais chemins. De plus il n’existait pas encore de train avant pivotant ! Inutile de souligner que prendre un virage dans ces conditions représentait une opération délicate, lente et périlleuse ! Il fallait beaucoup d’espace pour tourner.<o:p></o:p>

    Un progrès fut accompli au début du XV° siècle avec l’invention en Hongrie d’un premier système de suspension encore très rudimentaire. Des poteaux de bois, les moutons étaient fixés verticalement sur les essieux à proximité de chacune des roues et reliés à la caisse par des chaînes (plus tard par des courroies de cuir, les soupentes), les deux essieux étant réunis en leur centre par une poutre en bois, la flèche, qui passait sous la caisse : celle-ci, dès lors, était désolidarisée des roues et les voyageurs ne ressentaient plus tous les chocs. Première amorce de confort ! Le « coche branlant » était né. Le mot « coche » viendrait d’ailleurs du hongrois par l’intermédiaire de l’allemand.<o:p></o:p>

    En 1457, la reine Marie d’Anjou, femme de Charles VII, recevait de Hongrie ce coche qui éveilla la curiosité des Français… sans plus ! Il en fut tout autrement en Italie, alors en pleine effervescence artistique, culturelle, technique ; au temps de Michel-Ange et de Léonard de Vinci, du mathématicien Léonard de Pise et du physicien Porta ! Les Italiens se mirent à l’ouvrage et firent construire des coches. Dès 1525, on en comptait déjà une soixantaine à Milan. Vers 1450, pour remédier aux inconvénients provenant du  fait que les lanières de cuir se distendaient inégalement, provoquant le déséquilibre de la caisse, les Italiens eurent l’idée de poser des crics à l’arrière de la voiture, qui permettaient de régler la tension des courroies.<o:p></o:p>

    Une nouvelle étape fut franchie et un important progrès réalisé au XV° siècle grâce à l’invention de l’avant-train tournant qui rendait la voiture plus maniable.<o:p></o:p>

    En 1550, il n’y avait encore que trois coches aussi perfectionnés dans Paris. Ce coche n’avait que des rideaux de cuir pour se protéger du froid. La voiture dans laquelle Henri IV fut assassiné en 1610 n’était qu’un coche au confort très relatif, seuls sa décoration et ses coussins intérieurs le différenciaient du coche populaire. Le mot « carrosse » est employé pour la première fois  en 1574 et très souvent pour désigner ce qui n’est encore qu’un « coche ». Selon Roubo, il ne faudrait attribuer le nom de « carrosse » qu’à une voiture à caisse suspendue par des ressorts, équipée d’un avant train tournant, munie de portières et de glaces.<o:p></o:p>

    Au cours du XVII° siècle, des progrès techniques ont rendu ce carrosse plus maniable et plus sur. Les roues antérieures sont devenues plus petites, la flèche c’est allongée pour ce terminer en « col de cygne » avant de s’attacher sur le train avant. Le siège du cocher, en s’éloignant de la caisse, s’est abaissé offrant davantage de vision aux passagers.<o:p></o:p>

    Enfin, vers la fin du siècle, aux pièces de bois, les moutons, se substituent des ressorts en fer, d’abord verticaux, suspension à <st1:PersonName productid="la Dalesme" w:st="on">la Dalesme</st1:PersonName>, qui, par la suite se courbèrent en « C », jusqu’à la fin du XIX° siècle. En 1818 apparurent des ressorts en forme d’ellipse, à pincette.<o:p></o:p>

    Dès que parut le carrosse, le coche fut vite abandonné. Néanmoins, on ne comptait pas plus de 12 carrosses à Paris sous Henri IV…mais déjà 310 en 1658 et 14 000 en 1722… en dépit des interdits royaux, à l’égard des célibataires, par exemple, qui demeurèrent lettre morte comme les condamnations tonitruantes du clergé s’élevant contre la vanité des propriétaires de carrosses. Ces voitures furent en effet sous Louis XIV d’un luxe inouï. Des ornemanistes tel Jean Bérain ont fourni des modèles. Ce n’était que caisses en bois surabondamment sculptées, dorées, ornées de fines peintures comme sur les chaises à porteurs, vrais tableaux dus aux plus grands artistes, notamment au XVIII° siècle lorsque laque et vernis Martin vinrent augmenter les possibilités de décor. L’intérieur, gainé de damas, de velours, agrémenté de rideaux, de draperies de soie brodée, de brocart rehaussé de passementerie… n’était pas moins fastueux.<o:p></o:p>

     Louis XIV, pour le voyage possédait un carrosse tel un wagon-salon, où l’on pouvait manger, dormir au besoin. Celui de <st1:PersonName productid="la Grande Mademoiselle" w:st="on">la Grande Mademoiselle</st1:PersonName> lorsqu’elle se promenait au Cours la reine, était « couvert partout, sur le cuir, de velours rouge cramoisi cloué à des clous dorés »<o:p></o:p>

    L’ambassadeur de Pologne arrivait à Paris en carrosse « couvert d’argent massif.»<o:p></o:p><o:p> </o:p>

    On assiste à une surenchère de luxe et d’un luxe qui s’étale avec une insolente ostentation, pas seulement chez les grands. « Il n’était pas épicier enrichi ou fournisseur adroit qui ne fit couvrir le sien (carrosse) d’ornement et d’armoiries » écrit Pierre Rousseau (auteur de « Histoire des transports ».)

    Le carrosse ne fut pas accueilli par tous avec un égal enthousiasme. Conseillers et avocats au Parlement, habitués à leur mule, virent d’un mauvais œil cette voiture qui effrayait leur monture. A partir de 0620, le nombre de carrosses augmentant sans cesse, la circulation dans Paris devint très difficile. Imaginez un instant les embarras de la circulation lorsque les carrosses allaient dans tous les sens et qu’à ces lourds véhicules traînés par deux, quatre, six, voire huit chevaux s’ajoutaient les chaises à porteurs, les vinaigrettes, les chariots de marchandises au milieu d’un tohu-bohu causé par des disputes antre valets, cochers… et vous aurez une vague idée de la vision apocalyptique d’un étranger débarquant dans notre capitale au début du XVIII° siècle.

    Sous Louis XV et Louis XVI le carrosse s’allégea et gagna en grâce et raffinement avec ses panneaux peints, ses lignes qui, suivant l’évolution générale des styles, passèrent des chantournements, courbes et contre-courbes à la sobriété inspirée de l’antique.

    Le carrosse survécut comme voiture d’apparat, sans subir de grands changements, le véhicule de Napoléon I° ne différait guère de celui de Louis XIV.

    Aujourd’hui en France le carrosse n’a plus sa place que dans les musées.

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    CHIRASSIMONT

    <o:p> </o:p>Auteurs : G. Fouillant – N. Jusselme – P. Bissuel – P. Dutel –A. et  P. Lacroix – B. Rochereux – P. Valois.
    dessins : G. Patay.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Format 210 x 290<o:p>
    </o:p>390 pages, nombreux croquis, dessins, et reproductions d’actes officiels.<o:p></o:p>
    Quelques pages en couleurs<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Années 2003 – 2004  (Nouvelle version enrichie et complétée,  d’un ouvrage édité en 1984  et aujourd’hui épuisé.)

    <o:p> </o:p>La longue préface de 1984 et de l’abbé J. CANARD.

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    <o:p></o:p>Les remerciements de Gabriel FOUILLANT :

    <o:p> </o:p> «  Plusieurs lecteurs ayant demandé la réédition de l’ « Histoire de Chirassimont et ses alentours » publié en 1984, nous avons mis à jour cette ancienne étude et fait appel à de jeunes amis de la génération suivante pour présenter notre village à l’orée de l’an 2000 ;<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Nous disons notre chaleureuse reconnaissance : <o:p></o:p>

    -         A celles et à ceux qui nous ont activement aidés pour la première étude de 1984 : G. Patay – J. Canard – C. Jusselme – J. Neyrand – A. Fustier – M. Roche – J. Gilbert – E. Thimonier – L. Valois – M. Dupin – N. Jusselme – A. Bécaud – F. Chaize – Monsieur le chamoine Jomand – les Pères Brunelin et Véricel –Thérèse de Salmard.<o:p></o:p>

    -         A Pierre Bissuel et Noël Jusselme qui ont participé à la révision et correction de ce même travail.<o:p></o:p>

    -         A l’équipe qui a coordonné la finale : « Chirassimont à l’aube du 3ème millénaire » dans les quarante dernières pages de la présente édition : P. Dutel – A. et P. Lacroix –B. Rochereux – P. Valois. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Grâce à eux, notre village, où il fait bon vivre, garde fidèlement la mémoire de nos valeureux ancêtres. »<o:p></o:p>

                                                                Gabriel FOUILLANT

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    Pour plus de renseignements écrire  à : Chemins du Passé<o:p></o:p>

                                                                    6, rue de l'ancienne poste

      42470 Saint-Symphorien-de-Lay

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    Avertissement : A la demande de nos lecteurs habituels, nous avons effectué le tirage de notre étude en photocopies « laser » en pages recto. Ainsi  peut-on utiliser pratiquement les versos pour y inscrire ou placer des notes complémentaires et personnelles, des photos, cartes et autres documents.<o:p></o:p>

    En procédant ainsi les  prix de nos ouvrages sont calculés au plus juste afin qu’une personne au chômage, étudiante ou en retraite puisse les acheter.<o:p></o:p>

    D’autre part jusqu’à un passé très proche, la mise en place et la reliure étaient effectuées par une association de jeunes handicapés (des changements sont en cours).<o:p></o:p>

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    Pour faciliter la lecture, les textes sont en pleine page (pas de colonne).<o:p></o:p>

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    La taille des polices de caractères est soit de 12 ou de 14 (pensons à ceux qui portent des lunettes.)<o:p></o:p>

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    La frappe des articles étant faite par plusieurs collaborateurs les polices de caractères peuvent être différentes d’un sujet à l’autre mais l’avantage est de briser la monotonie uniforme des textes.<o:p></o:p>

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    Une expédition par <st1:personname productid="la Poste" w:st="on">la Poste</st1:personname> est un peu plus onéreuse surtout si l’ouvrage comporte un grand nombre de pages.<o:p></o:p>


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    L’illustration représente la dernière ruine restante aujourd’hui et le site tel qu’il était dans les années 1900<o:p></o:p>

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    Ruines du château du Verdier<o:p></o:p>

    Ruines XIII° siècle
    Cailloux de <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName>

    A partir de Cordelle sur la route pour joindre le Château de <st1:PersonName productid="la Roche" w:st="on">la Roche</st1:PersonName>, au lieu dit le Verdier<o:p></o:p>

    <o:p>
    </o:p> Situait sur un promontoire dominant la rive droite de <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName>, la forteresse se composait  d'une tour rectangulaire qui est actuellement de <st1:metricconverter productid="12 mètres" w:st="on">12 mètres</st1:metricconverter> de hauteur. Elle était réunie à une tour ronde par un rempart de <st1:metricconverter productid="27 mètres" w:st="on">27 mètres</st1:metricconverter> de longueur et de <st1:metricconverter productid="7 mètres" w:st="on">7 mètres</st1:metricconverter> de hauteur. De la tour ronde, détruite par la foudre en 1923, il ne reste que sa base. Sa hauteur initiale a pu être estimé à environ <st1:metricconverter productid="21 mètres" w:st="on">21 mètres</st1:metricconverter>. Les amorces de remparts que l'on pouvait voir sur cette tour suggèrent un plan quadrilatère de la forteresse.

    La partie la plus intéressante est le donjon carré posé au sud de la tour rectangulaire et à laquelle il était réuni par un rempart de <st1:metricconverter productid="7 mètres" w:st="on">7 mètres</st1:metricconverter> de hauteur et de <st1:metricconverter productid="16 mètres" w:st="on">16 mètres</st1:metricconverter> de longueur. Ce donjon a <st1:metricconverter productid="7,65 mètres" w:st="on">7,65 mètres</st1:metricconverter> de côté et ses mur ont <st1:metricconverter productid="1,40 mètre" w:st="on">1,40 mètre</st1:metricconverter> d'épaisseur. Il n'a

    plus que <st1:metricconverter productid="7 mètres" w:st="on">7 mètres</st1:metricconverter> de hauteur mais, lors de son arasement en 1830, sa hauteur était de <st1:metricconverter productid="21 mètres" w:st="on">21 mètres</st1:metricconverter>.

    <o:p> </o:p>C'est en mars 1265, qu'un certain "donzeau" Guillaume acquit de Jean Jusses la terre de Verdier. Un texte de 129 mentionne la grangia de viridario, c'est à dire une simple exploitation agricole.

    <o:p> </o:p>Guillaume de Verdier était un homme d'armes du comtes de Forez. Il semble issu de ces paysans fieffés, nombreux sur les limites du Forez. Son père avait du se distinguer pendant les guerres entre Beaujeu et Forez et accéder à la noblesse.
    <o:p></o:p>Guillaume devenu chevalier en 1279, ne cessa d'augmenter sa fortune et acquit des terres, biens et droits , dans les paroisses de Cordelle, Bully, Néronde et Balbigny.

    <o:p> </o:p>
    A sa mort, en 1292, il laissa à son fils Guillaume II des revenus confortables et une noblesse assise.

    <o:p> </o:p>Guillaume II, plus ambitieux que son père,  concentra ses achats sur Cordelle. Il entra au service du roi. IL devint sergent d'armes en 1296. En 1300, il est Bailly royal de Velay, Vivarais et Gévaudan et en 1301 de Viennois et Valentinois.<o:p>
    </o:p>C'est alors  un grand personnage qui obtint du comte de Forez l'autorisation de construire, à la place de sa grange du Verdier, une forteresse avec fossés, tours et remparts crénelés. Il s'intitulera dès lors seigneur de Cordelle et du Verdier, ayant acquis aussi la juridiction dans la paroisse de Cordelle.

    <o:p> </o:p>En 1323, il devint chevalier. Il augmenta continuellement ses biens autour de son domaine en achetant des terres qu'il payait des prix hors de proportions. La seigneurie du Verdier correspondait à une seigneurie de premier ordre, telle celle de Roanne.

    Après contrôle des comptes des baillages royaux, il apparu que notre Guillaume du Verdier puisait dans le trésor royal. Arrêté, il est relâché à condition de renoncé à la sauvegarde royale sur ses biens du Forez. Le comte Guy II en profita pour se faire céder les droits de fiefs.  A la mort de Guillaume en 1335, le comte mis la main sur le Verdier et offrit au roi la somme qu'il réclamait , soit <st1:metricconverter productid="668 livres" w:st="on">668 livres</st1:metricconverter>.

    <o:p> </o:p>En 1344, Guy VII fit faire de grosses réparations au château et l'aménagea si bien qu'il rendit digne de son séjour et de la princesse de Bourbon son épouse qui y accoucha en 1345 d'Odile de Forez.

    <o:p> </o:p>A la mort de Guy VII en 1361, da veuve Jeanne de Bourbon donna la seigneurie du Verdier  en arrière-fief à Jean de Changy, se réservant les droits d'hommage et de justice.

    <o:p> </o:p>Les héritiers de Jean de Changy tenaient encore le Verdier en arrière-fief en 1505. Cette famille s'éteignit vers 1530 car elle n'est plus mentionnée dans les titres de l'époque.

    <o:p> </o:p>En 1561, Pierre et Jean de <st1:PersonName productid="la Mure" w:st="on">la Mure</st1:PersonName>, co-seigneur de Chantois (sur Bully), achetèrent la "maison du Verdier avec cave et cour".

     Pendant les guerre de Religion, Mathieu de <st1:PersonName productid="la Mure" w:st="on">La Mure</st1:PersonName>, seigneur de Bienavant et de Changy, commandant du Fort de Verdier et Jean de <st1:PersonName productid="la Mure" w:st="on">La Mure</st1:PersonName>, son oncle, occupèrent le château et empêchèrent à plusieurs reprises les protestants de pénétrer en Roannais. En particulier en 1563 ils s'opposèrent aux troupes protestantes de Poncenat , l'un des principaux officiers du Baron des Adrets.

    <o:p> </o:p>Après les guerre de <st1:PersonName productid="la Ligue" w:st="on">la Ligue</st1:PersonName>, le château du Verdier fut abandonné et, vers 1666, complètement ruiné.

    <o:p> </o:p>La mise en eau du barrage de Villerest a ramené sa base à quelques mètres au-dessus de <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName>, lui faisant perdre sa hauteur initiale.

     

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    Blason de Cordelle

    <o:p> </o:p>Jusqu'à la dernière guerre, les agriculteurs de la commune  pratiquaient en particulier la culture de la vigne, de 200 à <st1:metricconverter productid="400 hectares" w:st="on">400 hectares</st1:metricconverter> en 1908 sur les <st1:metricconverter productid="2200 hectares" w:st="on">2200 hectares</st1:metricconverter> de la commune et principalement dans les côtes dominant les <st1:metricconverter productid="12 kilomètres" w:st="on">12 kilomètres</st1:metricconverter> des gorges de <st1:PersonName productid="la Loire." w:st="on">la Loire.</st1:PersonName>

    <o:p> </o:p>Sur le blason les grappes de raisin rappellent ce souvenir.

    La ligne bleue représente le fleuve Loire.

    La tour est celle de l’ancien château du Verdier, une puissante seigneurie autrefois.

    <o:p> </o:p>


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