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    RAPPORT SUR <st1:PersonName productid="LA SITUATION DES" w:st="on">LA SITUATION DES</st1:PersonName> TRAVAUX DU<o:p></o:p>

    CHEMIN DE FER DE <st1:PersonName style="text-decoration: underline;" productid="LA LOIRE" w:st="on">LA LOIRE</st1:PersonName> (extraits)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Adressé au Conseil d’Administration par les commissaires nommés pour les visiter

    (Commissaires : Monsieur Leduc et Baron de Cool)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Paris le 20 mai 1830 :<o:p></o:p>

     Le 7 mai, nous nous mîmes en route pour aller visiter les travaux sur la ligne.

    La section de Roanne n’en à point encore commencé ; comme elle est en plaine, ces travaux marcheront rapidement dès que ceux de la montagne seront plus avancés, car il y aura très peu d’ouvrage d’art.

    Nous étions venus à cheval jusqu’au hameau de l’Hôpital, mais là, ils nous fallut mettre pied à terre, pour suivre pas à pas les travaux importants des sections de Neaux, Nullise (Neulise) et Saint-Marcel (Saint-Marcel-de-Féline).

    Le plan joint au rapport général de messieurs Mellet et Henri, fait connaître la direction de ces travaux. Après avoir passé le ruisseau du grand Val, ils remontent la vallée du Gand jusqu’au point de sa jonction avec celle du grand Ris, pour, au-delà, suivre cette vallée supérieure jusqu’en son point culminant d’où, par un plateau habilement mis à profit, on va chercher l’un des affluents le ruisseau Berneton, qu’on quitte plus qu’auprès du pont de <st1:PersonName productid="la Revoute" w:st="on">la Revoute</st1:PersonName>, un peu au-dessous de Saint-Marcel.

    Nous ne pourrions rien ajouter au détail des motifs énoncés dans le rapport de messieurs Mellet et Henri et qui, les ont déterminés à l’adoption de leur tracé ; mais ce que nous devons dire, c’est que l’examen attentif des lieux nous a de plus en plus confirmé dans le jugement favorable que nous étions disposés à porter sur la direction adoptée et dans la confiance qui doit inspirer pour l’ensemble des opérations de messieurs les Directeurs, habilité avec laquelle ils ont triomphé des difficultés dont cette partie du tracé était hérissée.

    Les travaux d’arts, tel que ponts et ponteaux, sont aussi indiqués, dans le rapport général de ces messieurs ; nous joignons ici les plans et devis les plus importants de ces ouvrages sur toute la ligne, ainsi que le tarif des prix payés aux entrepreneurs pour les terrassements et la maçonnerie. Les conditions doivent être considérées comme d’autant plus avantageuses que la conséquence immédiate des grands travaux qui s’exécutent presque simultanément dans le département de <st1:PersonName productid="LA LOIRE" w:st="on">la Loire</st1:PersonName>, a été d’y faire hausser le prix de la main d’œuvre. D’ailleurs, tous les renseignements que nous avons pris à ce sujet dans le pays, nous donnent le droit de croire que les intérêts de <st1:PersonName productid="la Compagnie" w:st="on">la Compagnie</st1:PersonName> ont été bien soignés dans tous ces marchés.

    Les ponts et ponteaux des sections de Neaux et de Nullise se poursuivent avec beaucoup d’activité, et au fur et à mesure on travaille aux remblais. Cette dernière opération, dont les 25 premiers pas seulement se commencent à la brouette, s’exécute au moyen de rails posés provisoirement sur des traverses de bois qui reçoivent elles-même les coussinets dans lesquels s’encastrent les rails. <st1:PersonName productid="la Compagnie" w:st="on">La Compagnie</st1:PersonName> fournit tous ces objets en compte aux entrepreneurs, qui en sont responsables ; elle fournit en outre aux même conditions des chariots de terrassement de diverses dimensions, selon qu’ils doivent être manœuvrés à la main ou par un cheval. Le chariot se charge au lieu de l’excavation, et se conduit facilement sur les rails, jusqu’au remblai, dans lequel il est versé par un mouvement de bascule. C’est ce mode qui a permit d’obtenir les conditions que vous avez déjà été à même d’apprécier, il offre en outre le seul moyen de célérité qui puisse nous garantir l’achèvement des travaux dans le temps fixé. Cette pose et cet usage d’un chemin provisoire à encore l’avantage de hâter le tassement des terres remuées, quand le terrassement aura fait tout son effet, les traverses en bois seront levées, et l’on procédera à la pose sur dé qui doit être définitive.

    Bien que la double voie ne doive pas être établie dans le principe dans toute la longueur du chemin, nous avons recommandé à messieurs les directeurs de tenir la main à ce que tous les déblais et remblais de la plaine fussent calculés et exécutés de dimensions à pouvoir la recevoir sans nouveaux terrassements, lorsque <st1:PersonName productid="la Compagnie" w:st="on">la Compagnie</st1:PersonName> jugera à propos de l’exécuter, nous avons également recommandé qu’on conservât en outre en dehors des deux voies, l’espace nécessaire à l’emplacement des banquettes qui doivent séparer ces voies du fossé. Quant à la crainte de voir verser un chariot qui s’échapperait de la voie, outre qu’il ne paraît pas que cet incident soit fort à redouter, en raison de la dimension du rayon de nos courbes, messieurs les ingénieurs nous ont encore fait observer que, par son seul poids la roue du chariot entrant dans le sol, entre les deux rails le mouvement serait bientôt arrêté.

    La fin de notre journée du 7 fut consacrée à l’examen le plus attentif de la section de Saint-Marcel, il est à regretter que les agents de monsieur le marquis de Talaru aient suspendu les bons effets de l’intérêt, qu’il avait témoigné lui-même, prendre dès le principe à l’entreprise, qui le compte au nombre de ses fondateurs. Cette mauvaise volonté subalterne, que nous aimons à penser que monsieur de Talaru ne tardera point à faire cesser à sans doute eu l’inconvénient d’encourager d’autres résistances ; mais  heureusement nous pouvons ajouter que si elle a contribué à retarder, elle n’a au moins pas empêchée les adhésions récentes de propriétaires voisins de cette localité.

    C’est ici sans doute, messieurs, le lieu de vous tranquilliser sur les procès nombreux qu’on nous avez annoncé que messieurs Mellet et Henri avaient eu à soutenir pour <st1:PersonName productid="la Compagnie. Tous" w:st="on">la Compagnie. Tous</st1:PersonName> ces procès se réduisent à deux perdus, il est vrai, en première instance mais pleinement gagnés en appel à <st1:PersonName productid="la Cour" w:st="on">la Cour</st1:PersonName> royale de Lyon, dont la jurisprudence a été aussi positive que l’exigeait la matière, en tout ce qui tient aux difficultés que quelques propriétaires faisaient éprouver, soit pour occupation temporaire des terrains par chemin provisoire ou dépôt de matériaux. Il n’est guère probable que de semblables difficultés se renouvellent, elles étaient d’autant moins fondées, que <st1:PersonName productid="la Compagnie" w:st="on">la Compagnie</st1:PersonName> n’en a jamais élevé sur le droit d’indemnité que les propriétaires pourraient revendiquer.

    Le huit, nous partîmes pour Saint-Marcel, et visitâmes le reste des travaux qui se poursuivent au-delà des terrains de monsieur le marquis de Talaru. Nous trouvâmes la grande route au point où  notre tracé exige la construction d’une arche de dimension à ne point obstruer la voie publique. On travaillait à la fondation d’une des culées de ce pont. Cet ouvrage s’exécute dans l’arrondissement de monsieur Pascal, ingénieur ordinaire du département, à qui tous les plans en ont été remis. Il était venu avec nous depuis Roanne jusqu’à Saint-Symphorien. Nous avons regretté qu’il n’eût pas pu nous accompagner jusque là, mais des occupations nombreuses l’avaient forcé de rétrogradé sur Roanne.

    Au reste ces travaux auront été vus le 16 juillet par monsieur l’Ingénieur en Chef du département qui ce même jour devait se rendre avec monsieur le Préfet de <st1:PersonName productid="LA LOIRE" w:st="on">la Loire</st1:PersonName> de Montbrison à Roanne.

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    Une Chapelle disparue : <st1:PersonName productid="la Chapelle" w:st="on">la Chapelle</st1:PersonName> d’Allat à Cordelle

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    Cette chapelle fut construite en 1832 dans les circonstances suivantes :

    <o:p> </o:p>  La petite propriété d’Allat appartenait alors en co- propriété aux deux abbés Pousset. L’aîné, Pierre Pousset, curé de Saint-Bruno-les-Chartreux à Lyon et fondateur de l’ordre des Religieuses de <st1:PersonName productid="la Sainte Famille" w:st="on">la Sainte Famille</st1:PersonName> de Fourvière ; le plus jeune prénommé également Pierre, car frère et filleul de son aîné, et aumônier des religieuses de <st1:PersonName productid="la Sainte Famille" w:st="on">la Sainte Famille</st1:PersonName> à Cordelle. Tous deux aimaient aller se recueillir et inviter leurs amis dans ce merveilleux site des gorges de <st1:PersonName productid="la Loire." w:st="on">la Loire.</st1:PersonName>

    L’abbé Pousset de Cordelle songea d’abord y élever une croix, puis réflexion faite, il pensa qu’une petite chapelle toute simple serait bien en ces lieux.

    La construction d’inspiration gothique fut exécutée rapidement : plan polygonal, fenêtres en ogive, couverture en coupole élancée faite de plâtre sur lattes de bois, toiture pointue à cinq pans. Posée sur cette pointe, fut placée une statue de <st1:PersonName productid="la Vierge" w:st="on">la Vierge</st1:PersonName> protégeant la maison familiale et les champs.

    La première statue fut foudroyée et remplacée par une seconde qui le fût à son tour mais resta debout : en terre cuite, elle est datée de 1846 et fut exécutée par le sculpteur Pierre Bonnaire (Lyon 1813-1882).

    Le sol fut couvert d’une mosaïque : en effet parmi les ouvriers qui travaillaient à la construction se trouvait un italien mosaïste qui s’offrit pour remplacer ainsi le carrelage prévu. On plaça aussi des vitraux, mais l’intérieur ne fut jamais garni, pas même d’un autel.

    Comme cette chapelle était érigée près du ruisseau nommé <st1:PersonName productid="la Sarre" w:st="on">la Sarre</st1:PersonName>, on lui donna le nom de Notre Dame de <st1:PersonName productid="la Sarre" w:st="on">la Sarre</st1:PersonName> ; mais elle était souvent le lieu de réunions de famille ou d’amis et qu’elle recevait de nombreuses visites, telle celle du Sous-Préfet, on l’appela Notre Dame de Bon accueil. Elle fut bénite par Monseigneur Plantier, évêque de Nîmes, ami des deux prêtres.

    Cette chapelle fut détruite en 1982 peu avant la mise en eau du barrage de Villerest. La statue de <st1:PersonName productid="la Vierge" w:st="on">la Vierge</st1:PersonName> a été conservée, ainsi que la plaque commémorative e deux vitraux par la famille Pousset-Carcel à Terre-Noire (Cordelle).

    Un  morceau d’un autre vitrail à fait l’objet d’un don récent au Musée Joseph Déchelette de Roanne.


                                                                 Mme Carcel (Bulletin  du GRAHR, groupe de recherches archéologiques  et historiques du roannais  année : 1987.)


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    PÊLE-MÊLE de 1200<o:p></o:p>

    Reproductions de photos  – cartes – dessins

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    De 7 villages de chez nous :

    ·        Chirassimont

    ·        Les Sauvages

    ·        Machézal

    ·        Sainte-Colombe-sur-Gand

    ·        Saint-Just-la-Pendue

    ·        Saint-Symphorien-de-Lay

    ·        Saint-Victor-sur-Rhins

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    Auteur : Gabriel FOUILLANT

    Dessins : Germain  Patay.<o:p></o:p>

    Format 210 x 297<o:p></o:p>

    310 pages <o:p></o:p>

    Parution Mars 2006<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cet ouvrage est en vente (dans la limite des stocks disponibles) à la :<o:p></o:p>

    LIBRAIRIE-THOMASSET<o:p></o:p>

    13, rue Tête Noire<o:p></o:p>

    42470 – Saint-Symphorien-de-Lay


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    </o:p>

    La préface :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un très grand merci<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

                               Je rends un hommage particulier à notre ami Germain Patay disparu. Il m’accompagnait dans la plupart de mes expéditions, emportant avec lui ses cayons et feuilles de papier à dessin ; tandis que je partais à la chasse aux documents, il « croquait » habilement les contours d’un paysage, un profil de rue, une architecture de masure. Ensuite, avec l’aide des photos, il perfectionnait son travail avec cet étonnant réalisme qu’on lui connaissait. Il a ainsi réalisé plus de 500 dessins qui resteront de précieux témoins pour les générations à venir.<o:p></o:p>

                                En plus d’un travail personnel passionnant pour photographier nos villages et leurs sites remarquables, j’ai eu la très grande chance de bénéficier de l’apport important de documents illustrés confiés par des amis. Je tiens à les en remercier très vivement. Grâce à eux, nous avons pu enrichir nos textes de clichés anciens jalousement conservés<o:p></o:p>

       Nous disons notre profonde reconnaissance, et celle des lecteurs, à Mesdames et Messieurs :<o:p></o:p>

    ANDRE O. – BECAUD A. – BISSUEL P. – BRECHIGNAC P. – BARBEYS A. – CANARD J. – CHEVILLARD E. – CHARTIER M. – CHAMBRIARD M.T. – CHIRAT L. – CHAUMETTE J. – DEVIS A. – DENIS M.- DUCHAMP H. – DUPIN M. – DE SAINT VICTOR B. - DU POUGET M. – DUTEL P. – FABRE G. – GUICHERD M. – IMBERT P. – JUSSELME N. – JACQUET T. – JACQUET M. – JUSSELME C. – HUGUES B. – LACROIX A. – LACROIX B. – LAPALUS D. – LAURIAC S. – MAYERE J-F. – MIGNARD L. – PLANUS L. – PONTILLE R. – PONTILLE  Y. – PERRIN J.C. –PARDON M. – POIZAT J. – PIVOT M. – ROBERTON J. – RAFIN P. –SIMON P ; - ROBERTON J. – THIMONIER G. – THOMAS J. –TERRY R.<o:p></o:p>

                                                                              Gabriel Fouillant<o:p></o:p>
    <o:p></o:p><o:p>
    </o:p>
                                           

    Avertissement : A la demande de nos lecteurs habituels, nous avons effectué le tirage de notre étude en photocopies « laser » en pages recto. Ainsi  peut-on utiliser pratiquement les versos pour y inscrire ou placer des notes complémentaires et personnelles, des photos, cartes et autres documents.<o:p></o:p>

    En procédant ainsi les  prix de nos ouvrages sont calculés au plus juste afin qu’une personne au chômage, étudiante ou en retraite puisse les acheter.<o:p></o:p>

    Une expédition par <st1:personname productid="la Poste" w:st="on">la Poste</st1:personname> est un peu plus onéreuse surtout si l’ouvrage comporte un grand nombre de pages.<o:p></o:p>

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    VENDRANGES<o:p></o:p>

    (15 personnes)<o:p></o:p>

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    Nom<o:p></o:p>

    Prénom<o:p></o:p>

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    BALZAT  <o:p></o:p>

    Rollin  <o:p></o:p>

     21-05-1915  Aix <st1:PersonName productid="la Noulette" w:st="on">la Noulette</st1:PersonName> (Pas-de-Calais) 23 ans 158° RI  <o:p></o:p>

    COLOMBAT  <o:p></o:p>

    François-Joseph  <o:p></o:p>

     07-05-1917  Chalons/Marne  20 ans 241° RI <o:p></o:p>

    COLOMBAT  <o:p></o:p>

     François-Jean  <o:p></o:p>

     22-07-1915  Barrenkopf  (Alsace) 26 ans 114° Bataillon Chasseurs  <o:p></o:p>

    DENIS  <o:p></o:p>

    Jean Marie  <o:p></o:p>

     31-08-1918  Lezully (Aisne) 21 ans 27° Bataillon Chasseurs à pied <o:p></o:p>

    FOULTIER  <o:p></o:p>

    Pierre  <o:p></o:p>

     31-10-1914  Fontenay (Aisne)  39 ans 305° RI <o:p></o:p>

    GARDET  <o:p></o:p>

    Antonin  <o:p></o:p>

     Inscrit aussi sur le monument de Saint-Priest-la-Roche<o:p></o:p>

    GARDET  <o:p></o:p>

    Baptiste  <o:p></o:p>

     Inscrit aussi sur le monument de Saint-Priest-la-Roche                   <o:p></o:p>

    GONINDARD  <o:p></o:p>

    Antoine-Michel  <o:p></o:p>

     22-09-1914 Cambrai (Nord) 29 ans 298° RI<o:p></o:p>

    MOLLON  <o:p></o:p>

    Jean-Baptiste  <o:p></o:p>

     05-05-1914  Bourges 27 ans 6° RI Coloniale <o:p></o:p>

    PERRICHON  <o:p></o:p>

    Pierre  <o:p></o:p>

     23-06-1916  Thiamont (Meuse) 32 ans 297° RI  <o:p></o:p>

    RAY  <o:p></o:p>

    Jean  <o:p></o:p>

     30-07-1916  Hein (Somme) 25 ans 23° RI  <o:p></o:p>

    RECORBET  <o:p></o:p>

    Louis  <o:p></o:p>

     15-06-1915  Metzeral (Alsace) cote 830 133° RI <o:p></o:p>

    SIRVEAU  <o:p></o:p>

    Louis-Jean-Claude  <o:p></o:p>

     23-08-1914   Buhl  ard. De Seerburf 24 ans<o:p></o:p>

    TRABACH  <o:p></o:p>

    Alphonse  <o:p></o:p>

     Inscrit   sur le monument de Saint-Priest-la-Roche                    <o:p></o:p>

    VERNAY  <o:p></o:p>

    Jacques  <o:p></o:p>

     15-07-1918   Thuizy (Marne) 42 ans 104° Territorial  <o:p></o:p>

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    Remerciements aux membres des Chemins du Passé pour le travail de recherche effectué dans les archives des mairies – Photographies de M.H. Dozières – P. Martinez – A. et B. Hugues


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    LES CHEMINS DU PASSE

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    Exposition 1988

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    Article du Président Antonin BECAUD  dans la revue « LES AMIS DU MUSEE DECHELETTE » Groupe de Recherches Archéologiques et Historiques du Roannais

       L ‘église paroissiale de Saint-Symphorien-de-Lay s’enorgueillit de posséder des tableaux de première importance pour l’Histoire de l’Art et le Patrimoine National.

    Ainsi en a-t-il été jugé lors d’une visite effectuée en 1985 par M. Eric Moinet, conservateur du Musée Joseph Déchelette de Roanne, et M. Gilles Chomer, membre du C.N.R.S. attaché à l’Université de Lyon II, s’appuyant sur les études des historiens d’art : M. Daniel Ternois de l’Université de Lyon II, et M. Antoine Schnapper de Paris.

    Ces tableaux, légués par le Cardinal Fesch, sont depuis peu mis en valeur grâce à un éclairage halogène installé par les soins de la commune. Ils font l’objet de projets de restauration dus aux efforts conjugués de <st1:PersonName productid="la Municipalité" w:st="on">la Municipalité</st1:PersonName> et du Conseil Général de <st1:PersonName productid="la Loire." w:st="on">la Loire.</st1:PersonName>

    Cette collection sera visitée et commentée en la circonstance, lors de l’ouverture :

    <o:p> </o:p>

    Le samedi 16 juillet après-midi

    De la

    21° EXPOSITION DES CHEMINS DU PASSE

    <o:p> </o:p>

    dans leurs nouveaux locaux de l’ex chapelle Saint Charles, route de St-Just, à quelques pas de l’église.

    Ainsi sera inauguré le nouvel espace acquis et rénové par les soins de notre cité, qui, pour l’ouverture présentera un ensemble d’art religieux régional, non seulement autour de l’époque XVIII° - XIX° siècles, mais des meilleurs témoins de l’orfèvrerie, de la sculpture, de la décoration et des ornements des églises des alentours, En outre, les chapelles de nos champs et de nos campagnes seront présentées par M. Gabriel Fouillant et M. Germain Patay dont le talent, les études et les illustrations sont brillamment reconnus.

    Enfin, en écho au récent passage de <st1:PersonName productid="la Randonnée" w:st="on">la Randonnée</st1:PersonName> de Compostelle ( à Saint-Symphorien les 28 et 29 mai) une évocation de ce célèbre pèlerinage figurera en annexe de cette manifestation qui sera prolongée chaque semaine jusqu’à la mi-septembre.


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