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    AVEC LES POMPIERS …LES CHEMINS DU PASSE<o:p>
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    La prochaine exposition des Chemins du Passé aura pour thème « Les Pompiers du Canton »

    Lors des prises de contact, l’accueil est toujours franc et chaleureux et nos sapeurs plein de bonne volonté.


    Ainsi avons-nous appris grâce à monsieur Patrice Pivot qu à Saint-Just-la-Pendue, c’est le 18 novembre 1906 que le maire de l’époque monsieur Bouvet fait créer une société de pompiers.

    J. Barras en sera le premier commandant.

    Autrefois, les incendies étaient fréquents dans les masures aux toits de chaume et aux pans de bois à colombages. Le marguillier sonnait le tocsin ; les habitants se précipitaient avec cruches, seilles et benons pour aller « faire chaîne » de la plus proche boutasse au lieu de l’incendie.

    Les temps ont bien changé mais il faudra attendre 1956 pour que la sirène remplace le tocsin.

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    Pour en connaître plus : de la pompe à bras au dernier camion bourré des technologies les plus modernes ; du casque avec plumet d’hier, à la tenue de (presque) cosmonaute d’aujourd’hui et bien d’autres choses encore…par exemple pourquoi les véhicules des pompiers sont peints en « rouge » ? L’illustration  représente deux véhicules bicéphales : le 2 CV de Cogolin et le  Janus  véhicule utilisé sous le tunnel du Mont Blanc.

    Venez lire, voir les photos et les magnifiques objets prêtés par nos sympathiques sapeurs-pompiers des différentes casernes du canton à l’exposition qui se déroulera fin août début septembre en la Chapelle Saint Charles de Saint-Symphorien-de-Lay.

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  • ST-SYMPHORIEN-DE-LAY, exposition : SOLDATS DU FEU<o:p></o:p>

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    La prochaine exposition annuelle des Chemins du Passé aura pour thème « Histoire des Pompiers du Canton de Saint-Symphorien-de-Lay ». Elle fait suite à une longue série d’expositions puisque  la première à l’initiative d’Antonin Bécaud Président Fondateur de notre groupe se déroula en 1966 ;

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    Lors des prises de contact, l’accueil est toujours franc et chaleureux et nos sapeurs des casernes de Saint-Just-la-Pendue, Neulise, Cordelle, Saint-Symphorien-de-Lay et Régny : plein de bonne volonté.

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    Autrefois, les incendies étaient fréquents dans les masures aux toits de chaume et aux pans de bois à colombages. Le marguillier sonnait le tocsin ; les habitants se précipitaient avec cruches, seilles et benons pour aller « faire chaîne » de la plus proche boutasse au lieu de l’incendie.

    Les temps ont bien changé mais il faudra attendre les années 1950 pour que la sirène remplace le tocsin.

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    Pour en connaître plus : de la pompe à bras au dernier camion bourré des technologies les plus modernes ; du casque avec plumet d’hier, à la tenue de (presque) cosmonaute d’aujourd’hui et bien d’autres choses encore ! Par exemple pourquoi les véhicules des pompiers sont peints en « rouge » ? Que sont les véhicules bicéphales comme la 2 CV utilisée à Cogolin ou le  Janus  camion servant dans le tunnel du Mont Blanc.

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    Venez lire, voir les photos et les magnifiques objets prêtés par nos sympathiques pompiers des différentes casernes du canton à l’exposition qui se déroulera le samedi et le dimanche du 23 août au 21 septembre. Chapelle Saint Charles de Saint-Symphorien-de-Lay.

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    ROANNE – ST-SYMPHORIEN-DE-LAY, exposition : SOLDATS DU FEU<o:p>
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    La prochaine exposition annuelle des Chemins du Passé aura pour thème « Histoire des Pompiers du Canton de Saint-Symphorien-de-Lay ». Elle fait suite à une longue série d’expositions puisque  la première à l’initiative d’Antonin Bécaud Président Fondateur de notre groupe se déroula en 1966 ;

    Lors des prises de contact, l’accueil est toujours franc et chaleureux et nos sapeurs des casernes de Saint-Just-la-Pendue, Neulise, Cordelle, Saint-Symphorien-de-Lay et Régny : plein de bonne volonté.

    Autrefois, les incendies étaient fréquents dans les masures aux toits de chaume et aux pans de bois à colombages. Le marguillier sonnait le tocsin ; les habitants se précipitaient avec cruches, seilles et benons pour aller « faire chaîne » de la plus proche boutasse au lieu de l’incendie.

    Les temps ont bien changé mais il faudra attendre les années 1950 pour que la sirène remplace le tocsin.

    Pour en connaître plus : de la pompe à bras au dernier camion bourré des technologies les plus modernes ; du casque avec plumet d’hier, à la tenue de (presque) cosmonaute d’aujourd’hui et bien d’autres choses encore ! Par exemple pourquoi les véhicules des pompiers sont peints en « rouge » ? Que sont les véhicules bicéphales comme la 2 CV utilisée à Cogolin ou le  Janus  camion servant dans le tunnel du Mont Blanc.

    Venez lire, voir les photos et les magnifiques objets prêtés par nos sympathiques pompiers des différentes casernes du canton à l’exposition qui se déroulera le samedi et le dimanche du 23 août au 21 septembre. Chapelle Saint Charles de Saint-Symphorien-de-Lay.

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    VICTOR DUPRE LE CHAMPION DE ROANNE<o:p></o:p>

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    Seconde partie<o:p></o:p>

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    En cette année où le tour de France fait étape à Roanne, il semble intéressant de reproduire ici un article de mon ami Guy Trévarin certainement un des meilleurs « historiens » du cyclisme à Roanne.<o:p></o:p>

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    La paix revenue, Victor Dupré s’installe commerçant place de <st1:PersonName productid="la Mairie" w:st="on">la Mairie</st1:PersonName> à Villeurbanne où il se marie le 27 avril 1922 avec Anne Montarde, née à Vougy le 20 novembre 1868.<o:p></o:p>

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    Le démon de la compétition étant vivace, il persiste en participant à l’âge de 38 ans à des courses sur piste ; entre autre un dernier six jours de Paris (où il abandonne) et le « Grand Prix des Clubs de France » organisé par le Vélo-Moto-Sportif, au vélodrome des Cerisiers le 10 septembre 1922.<o:p></o:p>

    Puis il met sa notoriété, sa sympathie et sa modestie au service des organisations sportives locales et sert d’exemple à ceux qui rêvent de devenir des champions.<o:p></o:p>

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    Lister tout le palmarès de la carrière du champion Roannais est chose impensable, tant la liste serait longue.<o:p></o:p>

    Après avoir raccroché définitivement le vélo, il se retire à Commelle-Vernay au lieu dit-les Granges, où il décédera le 9 juin 1938.<o:p></o:p>

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    Un mois après son décès, le 9 juillet, la municipalité d’Albert Sérol décide que le vélodrome municipal des Cerisiers s’appellera vélodrome Victor Dupré. Le 14 octobre 1949, le conseil municipal de Roanne décide que la petite rue des Cerisiers s’appellera désormais la rue Victor Dupré.<o:p></o:p>

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    A Vernay au centre du cimetière, sont inhumées quatre personnes de la famille Dupré :<o:p></o:p>

    ·        Jeanne Bargeon Vve J.P. Dupré 1850-1932 (sa mère)<o:p></o:p>

    ·        Anne Montarde, épouse Dupré 1863-1937 (sa femme)<o:p></o:p>

    ·        Victor Dupré 1884-1938<o:p></o:p>

    ·        Léa Dupré 1904-1973 (sa cousine née à Arfeuilles, décédée à Vichy, habitant Le Coteau)<o:p></o:p>

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    L’imposant monument funéraire au centre du cimetière semble abandonné, aucun vestige de recueillement ou de visite n’est présent.<o:p></o:p>

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    La rue qui jouxte le cimetière de Vernay porte le nom de :<o:p></o:p>

    « Victor Dupré 1884-1939 Champion du Monde 1909 » (2)<o:p></o:p>

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    Dernier hommage rendu au champion roannais.<o:p></o:p>

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    NOTES <o:p></o:p>

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    La biographie de Victor Dupré comporte de nombreuses anomalies :<o:p></o:p>

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    -         sur le « Gotha du cycle », sa date de naissance : 26 avril 1883 est fausse la date réelle est 11 mars 1884.<o:p></o:p>

    -         (1) l’année de décès sculptée sur la stèle au faubourg Clermont est erronée 1939 au lieu de 1938.<o:p></o:p>

    -         (2) Anomalie sur le marquage des plaques de rue de Commelle Vernay / 1939 au lieu de 1938.<o:p></o:p>

    -         Certains ouvrages indiquent que Dupré et Lapize furent premiers au Six jours de Paris, nous avons rappelé qu’ils ne furent que seconds. Nuance…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    SOURCES :<o:p></o:p>

    -         Mairies de : Roanne, Vougy, Le Coteau et Commelle-Vernay.<o:p></o:p>

    -         Archives de la médiathèque de Roanne<o:p></o:p>

    -         Documents personnels.<o:p></o:p>


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    VICTOR DUPRE LE CHAMPION DE ROANNE<o:p></o:p>

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    Première partie<o:p></o:p>

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    En cette année où le tour de France fait étape à Roanne, il semble intéressant de reproduire ici un article de mon ami Guy Trévarin certainement un des meilleurs « historiens » du cyclisme à Roanne.<o:p></o:p>

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    Les Roannais connaissent encore un peu le nom de Victor Dupré, car une rue et une impasse portent ce patronyme. Au faubourg Clermont, à l’emplacement de l’ancien vélodrome, sur une stèle souvenir sont gravé ces mots :<o:p></o:p>

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    « Victor Dupré 1884-1939 champion du monde de vitesse 1909 » (1)<o:p></o:p>

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    Claude-Victor Dupré est né impasse du Moulin Paillasson le 11 mars 1884, fils de Jean-Pierre menuisier et de Jeanne Bargeon sans profession. Jeune apprenti dans le commerce de gros en cotonnade, il était voué à empiler des balles et des rouleaux d’étoffe. Mais son frère aîné Henri, déjà coureur cycliste, est parti au service militaire en laissant sa précieuse bicyclette. Le jeune Dupré enfourche la machine et c’est le début d’une grande carrière amateur puis professionnelle.<o:p></o:p>

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    Il n’a que 16 ans en 1900 et gagne à Roanne le championnat des pupilles couvrant les <st1:metricconverter productid="100 km" w:st="on">100 km</st1:metricconverter> en 3 heures 20 minutes. Puis il participe à toutes les courses régionales. Un an après, tous les champions sont battus les uns après les autres au vélodrome des Cerisiers : Poulain, Jacquelin, Friol etc…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1902, il s’engage à Marseille-Paris (<st1:metricconverter productid="932 km" w:st="on">932 km</st1:metricconverter> en une seule étape), et se classe honorablement 14° de la catégorie des routiers. Cette même année, à 18 ans, à Charlieu il affronte Friol ; après une lutte terrible, Dupré battu et épuisé chute après l’arrivée se brise la clavicule.  Cet accident met un frein au restant de sa saison sportive.<o:p></o:p>

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    En 1903, il s’engage au premier tour de France, mais il doit abandonner. Il délaisse les courses sur routes et se spécialise sur piste et accomplit des progrès foudroyants en se mesurant à tous les champions de l’époque.<o:p></o:p>

    A 20 ans, en 1904 il monte et débute à Paris, où il sait se faire connaître et apprécier. Qu’on en juge par l’anecdote ci-dessous où l’on voit percer le futur « chouchou » du public parisien.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « Tenez, je vais vous confier un secret à propos de la première course à Paris de Victor Dupré : le Grand prix de Pâques au Parc des Princes. Poulain, qui redoutait  d’être battu comme à la piste des Cerisiers à Roanne, lui proposa un marché : 5 francs pour gagner. Dupré refusa, mais fut battu d’extrême justesse par Poulain. Le lendemain, Henri Desgranges, lui consacra dans « L’Auto » un premier grand article d’éloges. Ce fut le début de l’extraordinaire carrière de notre compatriote »<o:p></o:p>

    (Propos tenus par Pierre Pierrard, coureur et directeur sportif à l’époque).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1905, Dupré se classe second au championnat de France sur piste derrière Poulain et devant Friol. L’année suivante Friol est premier, Poulain troisième et notre roannais encore second. Le 24 février 1907, au Grand prix d’Hiver des professionnels sur 1 000mètres, Victor Dupré est cette fois-ci vainqueur, et va dès lors être considéré comme l’un des meilleurs sprinters mondiaux. Il décrochera le Record du monde de vitesse du km en tandem avec le Belge  Vanden Born, (coureur professionnel, qui sera 3° au Championnat du Monde de vitesse à Berlin en 1908).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il court et gagne sur toutes les pistes d’Europe. Aux Etats-Unis, il participe avec son équiper Léon Georget aux fameux « Six jours d’Amérique » ; où ils se classeront troisième.<o:p></o:p>

    Les six jours, créés en 1891 au Madison square, sont l’épreuve reine où les compétiteurs courent en individuel et se reposent quand ils le veulent tout en étant libre d’aller jusqu’à l’épuisement. En 1898, le vainqueur Miller couvre <st1:metricconverter productid="3ᅠ368 km" w:st="on">3 368 km</st1:metricconverter> en 144 heures, mais presque tous les concurrents terminent «  à demi-fous » et l’opinion publique s’émeut. Désormais ce sera par équipe de deux que les six jours seront courus. En 1955 l’équipe de trois verra le jour.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cette spécialité américaine, arrive en Europe en 1909 à Berlin, en 1912 à Bruxelles et en 1913 en France.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1908, on attribue la bagatelle de 33 victoires à Victor Dupré.<o:p></o:p>

    L’année suivante, celle de ses 25 ans, est aussi celle de l’apogée de sa gloire :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·        Champion du Monde de vitesse professionnel sur <st1:metricconverter productid="1 km" w:st="on">1 km</st1:metricconverter>, à Copenhague devant le français G. Poulain.<o:p></o:p>

    ·        Champion de France de vitesse professionnel sur <st1:metricconverter productid="1333 m│tres" w:st="on">1333 mètres</st1:metricconverter> au Parc des Princes à Paris.<o:p></o:p>

    ·        Sur 65 épreuves sur piste il en gagera 43, en record en son genre.<o:p></o:p>

    Le 15 août 1912, il inscrit à son palmarès deux records du monde, celui du kilomètre lancé, sans entraîneur, en 1mm 10 sec 3/10 et celui du kilomètre arrêté en <st1:metricconverter productid="1 mm" w:st="on">1 mm</st1:metricconverter> 14 sec 3/5 (à titre de comparaison, le français Trentin fait passer le record à <st1:metricconverter productid="1 mm" w:st="on">1 mm</st1:metricconverter> 07sec 29/100 en 1966).<o:p></o:p>

    Les six jours de Paris, cette « grande course à l’Américaine » arrive en France du 13 au 19 janvier 1913 au Vel d’ Hiv. Dupré et Lapize, deux forces de la nature, participent avec 16 autres équipes à cette première édition. Ils se classeront deuxièmes, derrière les spécialistes mondiaux de cette épreuve : A. Goullet (Australie) et J. Forgier (USA) qui parcourront <st1:metricconverter productid="4467 km" w:st="on">4467 km</st1:metricconverter> (record définitif de l’épreuve avec deux coureurs).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’employeur de Victor Dupré n’est autre que la société « <st1:PersonName productid="La Fran￧aise Diamant" w:st="on"><st1:PersonName productid="La Fran￧aise" w:st="on">La Française</st1:PersonName> Diamant</st1:PersonName> » ». Le catalogue de cette firme vante les mérites de ses cycles, de ses motocyclettes, de ses automobiles et présente son équipe de coureurs, dont Dupré bien sûr, entouré des meilleurs, tels que :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·        Octave Lapize : vainqueur de Paris-Roubaix en 1909, 1910, 1911. Vainqueur du Tour de France en 1910, Champion de France sur route en 1911, 1912, 1913. Champion de France des <st1:metricconverter productid="100 km" w:st="on">100 km</st1:metricconverter> sur piste en 1912 ; la liste complète de ses victoires est impressionnante. Il se tuera en combat aérien le 14 juillet 1917.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·        Emile Georget : Champion de France sur route en 1907, Champion de France pro des <st1:metricconverter productid="100 km" w:st="on">100 km</st1:metricconverter> sur piste en 1911, 1912 et 1913. Vainqueurs de Paris-Roubaix, Paris-Brest-Paris en 1911, Bordeaux-Paris en 1910 et 1912. Spécialiste des épreuves longues, premier au Tour de France 1904, mais sera déclassé.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·        Emile Friol : 5 fois Champion de France 1904, 1906, 1907, 1910, 1913. Champion du Monde de vitesse sur piste en 1907 et 1910. Il se tuera sur le front dans un accident de moto en 1916.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Sous le nom de Victor Dupré on peut lire :<o:p></o:p>

    « Quel est le sportsman français qui ne connaît pas le grand Dupré ? Quand il apparaît en piste, les yeux sont portés vers lui et chacun de se dire : quelle machine peut bien résister au poids et aux efforts de ce colosse ?<o:p></o:p>

    Quelle machine, mais il n’y  en a qu’une : la tricolore « La française-diamant », reine de la route, devait être impératrice du ciment. Pour clôturer sa saison, le brave roannais épingle à notre palmarès un beau record du monde, celui du kilomètre départ arrêté, que Jaap Edeen détenait depuis des éternités ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Puis c’est août 1914, la guerre mettra fin à la carrière cycliste professionnelle de Dupré.<o:p></o:p>

    Plusieurs de ses adversaires et de ses coéquipiers laisseront leur vie au combat…<o:p></o:p>

    Les épreuves mondiales sont arrêtées courant 1914 et elles reprendront en 1920.<o:p></o:p>

    Hourlier et Comès gagent les six jours de Paris en 1914 avant le début des hostilités.<o:p></o:p>

    Aux Etats-Unis, les grandes épreuves sur piste, telles six jours de New-York, se disputeront tous les ans, durant la période de guerre.<o:p></o:p>


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