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    De passage dans la bonne ville du COTEAU pour l'inauguration de la Médiathèque. Le célèbre animateur de l'émission télévisée "Apostrophe", n'a pas hésité à acheter à notre vice-président Bertrand Lacroix, un exemplaire de notre Tome III de l'histoire de Saint-Symphorien-de-Lay. Il est vrai qu'enfant, il venait en vacances chez son grand-père qui habitait notre village.

     


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  •  <o:smarttagtype namespaceuri="urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" name="metricconverter"></o:smarttagtype>

    LE REPOS DU DIMANCHE (2° partie)<o:p></o:p>

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    Les députés de l’actuelle majorité du président Sarkozy veulent faire travailler le dimanche créant ainsi  « un retour en arrière d’avant Confucius » qui vivait pourtant 550 ans avant l’ère chrétienne.<o:p></o:p>

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    Les Statuts synodaux de saint Boniface (Archevêque de Mayence qui sacra Pépin le Bref) en747, contiennent au 23° canon une disposition remarquable. Il y est dit que « Homme libre qui labourera un champ le dimanche, verra confisquer le bœuf de droite », peine grave ! Le bœuf de droite étant d’ordinaire le plus vigoureux de l’attelage et aussi le mieux dressé.<o:p></o:p>

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    Un édit de Charlemagne interdit de se livrer à aucune œuvre, fût-ce dans sa maison (du 22 mars 789 « Diem diminicum colite, opus servile non faciatis… » Capitulaires, lib. VI.)<o:p></o:p>

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    En 813, défense fut faite d’exécuter le dimanche les condamnés : en un jour de joie et de résurrection, le sang d’expiation ne devait pas couler.<o:p></o:p>

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    Le concile de Szaboles, en Hongrie, réuni en 1092 par le roi Ladislas, adopta des résolutions analogues à celle des Statuts Synodaux de saint Boniface. « Si un laïque, dit le Concile, chasse un jour de dimanche ou de grande fête, il sera punie de la perte d’un cheval, ou bien donnera un bœuf à la place de ce cheval. Si un clerc vient chasser, il sera suspendu de ses fonctions jusqu’à ce qu’il donne satisfaction. Sera aussi punie de la perte d’un cheval toute personne quoi fera du commerce le jour du Seigneur. Quant au marchand qui, le dimanche, ouvrira son magasin, il sera condamné à détruire sa boutique ou au moins à payer <st1:metricconverter productid="55 livres" w:st="on">55 livres</st1:metricconverter>. Enfin si un juif travaille le dimanche, il perdra l’outil dont il se sera servi »<o:p></o:p>

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    A la fin de l’année 1559, les États généraux d’Orléans adressèrent au roi « leurs plaintes et remontrances au sujet du Dimanche » ; et Charles IX publia en 1560, l’Ordonnance dite d’Orléans, dont les articles 23, 24 et 25 contiennent l’énumération de ce qui ne peut être autorisé le jour saint.<o:p></o:p>

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    La loi s’adressait d’abord aux juges : elle leur recommandait de ne point tolérer « qu’aux jours des dimanches et fêtes aucunes foires ny marchez soient tenus, n’y danses publiques faicte ». Le roi défend ensuite « à tous joueurs de farces, basteleurs et autres semblables, jouer lès dits jours de dimanches et festes aux heures de service divin, ny se vêtir d’habits ecclésiastiques, ny jouer choses dissolues et de mauvais exemple, à peine de punition corporelle ». Nombre de sanctions plus au moins sévères, pour obtenir le repos dominical furent successivement décrétées jusqu’à la loi de 1814, abrogée par la suite.<o:p></o:p>

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    Parmi les anciens Règlements, il en est un qui mérite bien d’être reproduit ici : le Ban des barbiers de Douai ne permettait pas que l’on se fit raser le dimanche. Voici la formule textuelle de cette interdiction : « Que nuls barbieurs ou barbieresses ne rasent le dimanche, si ce n’est nouveau prestre ou nouvelle couronne, ou enfant nouveau-né ou personne, par nécessité commandant de le faire ; qu’ils ne soient si hardis barbyers ou barbieresses de jeter dans l’eau ou rivière de cette ville le sang des saignées par eux faites, mais le portent dans les champs avec les chaviaulx (cheveux) et rasures qu’ils auront, le plus loin de la ville qu’il sera possible, et qu’il les enfouissent ou fassent enfouir, à peine de dix livres d’amende et de bannissement de la ville. » (Archives de la ville de Douai. Cartulaire, f° 18, armoire 17. –M. Desmaze, Curio, des anc. Just.)<o:p></o:p>

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    Par suite d’une confusion souvent commise, on invoque contre la loi du dimanche une virulente diatribe de Voltaire.<o:p></o:p>

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    Assurément celui qui avait dit « Il faut au peuple un aiguillon et du foin » ne se préoccupait pas outre mesure de ceux-là que son aristocratie dédaigneuse qualifiait du nom de « canailles ». Cependant ce qui a provoqué le blâme du philosophe, ce n’est pas tant le repos dominical que la quantité des jours fériés tombant au cours de la semaine, et qui, de son temps montaient à 82, non compris les dimanches. «  Ce sont sans doute les cabaretiers, écrit Voltaire (Dictionnaire Philosophique), qui ont inventé ce prodigieux nombre de fêtes : la religion des paysans consiste à s’enivrer le jour d’un saint qu’il ne connaissent que par ce culte. C’est dans ces jours d’oisiveté et de débauche que se commettent tous les crimes. Ce sont les fêtes qui remplissent les prisons, qui font vivre les archers, les greffiers, les lieutenants, criminels et les bourreaux. C’est le travail qui est nécessaire ! Il y a plus, c’est lui qui sanctifie » (Hélas les conseilleurs ne sont pas les payeurs et autant qu’on sache M. de Voltaire n’a jamais beaucoup travaillé, manuellement ni dans les champs ni ailleurs).<o:p></o:p>

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    La critique est moins judicieuse qu’elle ne le parait de prime abord ; du moins elle doit être restreinte pour être juste. Voltaire n’a pas pris garde en effet, qu’en multipliant les dates pieuses, l’Église avait obéi à une pensée de charité envers les serfs, elle se conformait au vœu du Deutéronome qui voulait le repos, dans l’intérêt des serviteurs. <o:p></o:p>

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    L’institution des fêtes chômées fut d’abord un bienfait pour le peuple, et surtout pour l’habitant des campagnes. L’homme de la glèbe, attaché au sol, soumis au dur servage, travaillant non pour lui mais pour son maître, forcé de le suivre aux diverses guerres de château à château que les seigneurs se faisaient entre eux pendant l’anarchie de la féodalité, dut voir avec joie revenir fréquemment des fêtes qui étaient pour lui une occasion de délassement, et pendant lesquelles les seigneurs étaient forcés de suspendre leurs hostilités pour observer la trêve de Dieu.<o:p></o:p>

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    Mais quand le vassal eut été affranchi, quand il cultiva la terre pour son propre compte, alors seulement il se plaignit du nombre toujours croissant des fêtes chômées, qui, jusque-là avaient été un bonheur pour lui.<o:p></o:p>

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    La législation française relative à l’observance des dimanches et fêtes légales, étant manifestement fondée sur les prescriptions du catholicisme, les chefs de la Révolution eurent à cœur de remplacer le calendrier grégorien par le calendrier républicain, et le dimanche par le décaldi terminant une période de dix jours, appelée décale.<o:p></o:p>

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    Dans le nouveau calendrier (Un décret du 5 octobre 1792 « fixe l’ère des Français à partir du 22 septembre 1792 »), les jours ne furent plus désignés par des noms de saints, mais par les mots quelconques, pris dans chacun des trois règnes de la nature.<o:p></o:p>

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    Ainsi parmi les dénominations ratifiées par le Décret du 3 brumaire an II, nous lisons les appellations suivantes pour désigner les jours de l’année : cheval, âne, bœuf, oie, dindon, cochon, lapin, canard, mulet, écrevisse ; ou encore : carotte, potiron, citrouille, navet, salsifis, cresson, chicorée, chou-fleur, oseille, fumier, épinards, mouron, pissenlit, asperge, camomille, échalote, lentille ; enfin dans l’ordre minéral il y avait : ardoise, houille, granit, sel, fer, étain, plomb, zinc…<o:p></o:p>

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    Quant aux cinq derniers jours de l’année, ils s’appelaient sans-culottides, en l’honneur des sans-culottes, mot par lequel les révolutionnaires entendaient désigner les « bons citoyens » par opposition aux classes aristocratiques.<o:p></o:p>

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    (à suivre)<o:p></o:p>


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    LE REPOS DU DIMANCHE (1° partie)<o:p></o:p>

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    Les députés de l’actuelle majorité du président Sarkozy veulent faire travailler le dimanche créant ainsi  « un retour en arrière d’avant Confucius » qui vivait pourtant 550 ans avant l’ère chrétienne.<o:p></o:p>

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    En donnant à l’homme des forces mesurées, la Providence l’a mis dans la nécessité de refaire son organisme, non seulement par des heures bienfaisante d’un sommeil réparateur, mais encore par certains jours de répit, sous peine de voir son intelligence s’affaiblir, sa santé s’altérer, et une décrépitude prématurée l’envahir.<o:p></o:p>

    Non moins certes que le cheval et le bœuf, l’homme a besoin de « dételer » quelques fois ; aussi le chômage fut-il l’accessoire naturel des fêtes religieuses.<o:p></o:p>

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    D’autre part, le désir de se recréer, si instinctif chez l’homme l’a engagé à interrompre son travail, alors même qu’il y avait pour lui ni besoin physique ou intellectuel, ni devoir de piété. Il en résulte qu’on peut classer les jours de repos en deux catégories : d’une part ceux accompagnant les solennités religieuses ; et d’autre part, les jours de divertissements profanes, tel que, au moyen âge, les singulières fêtes balladoires.<o:p></o:p>

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    Or, dans les fêtes d’obligation religieuse, l’historique du repos hebdomadaire et de sa transformation provisoire en Décadi, occupe évidemment une place importante.<o:p></o:p>

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    Non seulement chez tous les peuples, les jours fériés ont été célébrés périodiquement par une suspension de travail, mais presque partout le repos revenait de sept jours en sept jours.<o:p></o:p>

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    Dans les livres sacrés antérieurs à Confucius (qui vivait 550 ans avant l’ère chrétienne), on voit que la Divinité devait être glorifiée à chaque septième lever de soleil : « Vous viendrez honorer de sept jours en sept jours le Tien (ou ciel suprême) ».<o:p></o:p>

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    Les Annales de la Chine de Sec-Masien, les textes du Chou-King et d’autres encore racontent que, de temps immémorial, les empereurs chinois offraient un sacrifice à la suprême Unité Tay-Y, tous les sept jours, et interdisaient le négoce en cette journée appelée le grand jour.<o:p></o:p>

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    Aristobule, philosophe péripatéticien, cite divers passages d’Homère et Hésiode qui signalaient ce jour comme saint pour l’univers entier.<o:p></o:p>

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    Platon, au livre II des Lois, fait cette étonnante déclaration : « Les dieux, touchés de compassion pour le genre humain condamné par sa nature au travail, nous ont ménagé des intervalles de repos dans la succession régulière des fêtes instituées en leur honneur, afin qu’avec leur secours, nous puissions raffermir notre éducation qui se relâche et se corrompt à bien des points de vue, dans le cours de la vie. »<o:p></o:p>

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    Impossible de mieux signaler le sens et la portée morale du repos périodique.<o:p></o:p>

    Les Indous, les Perses, Les Chaldéens, les Égyptiens, les Péruviens avaient en grande estime le septième jour ; les Athéniens et les Romain le célébraient aussi, et les Druides de Bretagne le tenaient pour sacré.<o:p></o:p>

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    Il est indubitable que, même avant que Moïse eût fait du repos du sabbat un précepte de législation, ce jour était fêté par le peuple. Ce qui le prouve, c’est la formule même dont le législateur sacré fait usage : « Souvenez-vous de sanctifier le jour du sabbat » (Mémento ut diem Sabbati sacrifice : Exode, XX, II).rappelant ainsi chacun à l’observance d’une institution préexistante.<o:p></o:p>

    Rappelons que le sabbat ou châbbath chez les Israélites  commence le vendredi soir pour finir le lendemain à la tombée de la nuit.<o:p></o:p>

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    L’usage de la célébration du dimanche, substitué par l’Église au sabbat des Juifs pour glorifier le jour de la Résurrection, fut sanctionné par les empereurs chrétiens. Un des premiers soins de Constantin fut d’interdire aux tribunaux de rendre la justice ce jour-là et les rudes labeurs furent défendus aux artisans, mais pas aux agriculteurs, le travail des champs semblant une nécessité. En décrétant le chômage dominical, Constantin s’adressait particulièrement aux païen, car les chrétiens, eux, avaient déjà pour règle la prescription religieuse que l’empereur voulait confirmer officiellement par une loi civile.<o:p></o:p>

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    Théodose maintint les mêmes prohibitions, tout en autorisant l’affranchissement des esclaves le dimanche, comme mesure louable et agréable à Dieu.<o:p></o:p>

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    Dans une intéressante loi de Léon I°, empereur d’Orient, en L’an 460, on lit ceci « Que dans le jour du Seigneur, éternellement digne d’honneur et de respect, on ne fasse aucun acte de procédure ; que le débiteur ne reçoive pas de sommation, et que l’on entende pas de plaidoirie ; que la rude voix de l’appariteur se taise ; que les plaideurs interrompent leurs disputes et jouissent d’un moment de trêve ; que les adversaires cherchent plutôt à se réconcilier, et que le repentir se glisse dans leur âmes ! Nous voulons que le dimanche soit une date de repos et non un jour de plaisirs vulgaires : que le dimanche donc on suspende les représentations théâtrales, les courses de l’hippodrome et les lamentables combats de bêtes féroces.<o:p></o:p>

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    Un décret de Childebert 1° tolère seulement, pour tout travail, de prépare les aliments nécessaires à la vie ; et par un second décret de 554 ce même prince défend l’ivresse, les bouffonneries et les chants pendant les nuits qui précèdent les fêtes, sous peine de cent coups de fouet.<o:p></o:p>

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     (à suivre…)<o:p></o:p>

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  • LA CARTE DU PÈRE NOEL 2008 de PHILAPOSTEL<o:p></o:p>

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    Chaque année PHILAPOSTEL propose à ses adhérents et aux collectionneurs, une carte postale évoquant Noël.


    L'objectif de cette initiative est de promouvoir la correspondance, la carte postale et la création artistique.


    La carte du Père Noël 2008, la 22 e de la série, est une création originale et exclusive du peintre Marc Ledogar.


    Sa création évoque un Père Noël qui s'est souvenu que La Poste avait utilisé la 2 CV Citroën pour la poste automobile rurale dès 1958 et qui a décidé en cette année du 60 e anniversaire de la mythique 2 CV de l'utiliser à nouveau !



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    Pour tous renseignements et commandes, contacter :
    PHILAPOSTEL Cartophilie
    142 avenue De Gaulle<o:p></o:p>

    33520 BRUGES<o:p></o:p>


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    CERCLE CARTOPHILE DE ROANNE<o:p></o:p>

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    Avant son absorption par l’Association Philatélique de Roanne, le Cercle Cartophile Roannais a fait paraître de nombreux bulletins très intéressants, sur les collections de ses adhérents.

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    Le principe était simple : un texte agrémenté de nombreuses reproductions de cartes postales sur un sujet  précis

    .

    Les moyens du Cercle étant plus que limités, il s’agit donc entièrement :

    ·        de photocopies en noir et blanc 

    ·         format 210X 297 

    ·         les feuilles reliées par de simples agrafes

    ·        seule la couverture est de couleur verte.

    ·        Le nombre de pages dépend évidement de l’importance du sujet traité.

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    Parmi les auteurs nous pouvons noter : DUCROUX R., Docteur Jean STORCH, CHAIZE J., JOMIN G., MONTERET P., M.C. BLANES, REVAILLIER, GIRARD D., MAUGER R. et A., MENAGER J., Abbé J. CANARD, MARCHAND G., BONNEFOND G., SZWANKOWSKI C., REY M., HUGUES B.

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    1        La série E.L.D. par R. DUCROUX  décembre 1978/ 22 pages.

    2        Histoire d’eau la Loire à Roanne par R. DUCROUX   janvier 1979/ 24 pages.

    3        Portraits de femmes par le docteur J. STORCH avril 1979/ 26 pages.

    4        La vie militaire à Roanne par R. DUCROUX  juin 1979/ 22 pages.

    5        Le Président Fallières par J. CHAISE  octobre 1979/ 34 pages

    6        Le tramway à Roanne par J. CHAISE   1980/ 36 pages.

    7        Le chemin de fer à Roanne par R. DUCROUX  avril 1980/ 40 pages.

    8        L’enfant et la carte postale par G.JOMAIN  juillet 1980/ 40 pages.

    9        Voyage à St-Just-en-Chevalet par le C.F.D.L. par R. DUCROUX octobre 1980/ 30 pages.

    10    Saint-Haon-le-Châtel  par P. MONTERET décembre 1980/ 54 pages.

    11    Scènes de la vie rurale par R. DUCROUX  février 1981/ 26 pages.

    12    Cartes postales pétitions par R. DUCROUX  avril 1981/ 80 pages.

    13    Régny par M. C. BLANES JUIN 1981 /26 pages

    14    Le bassin et le canal par R. REVAILLIER et  R. DUCROUX  septembre  1981/ 34 pages.

    15    Renaison par D. GIRARD  décembre 1981/ 46 pages.

    16    Paris curieux par R. et A. MAUGER  février 1982/ 34 pages.

    17    Flaches sur le passé de Cusset par J. MENAGER  avril 1982/ 54 pages.

    18    Histoire de l’aviation par le docteur J. STORCH juin 1982/ 72 pages.

    19    Roanne en 1904 par J. CHAIZE octobre 1982/ 42 pages.

    20    Le pont sur la Loire par R. DUCROUX  janvier 1983/ 32 pages.

    21    Cartes postales pétition par R. DUCROUX  mars 1983/ 48 pages.

    22    Notre dame du coffre fort (Affaire Himbert) par J. CHAISE mai 1983 / 46 pages.

    23    Saint-Alban-les-Eaux par l’abbé J. CANARD  juillet 1983/ 30 pages.

    24    Les Gorges de la Loire par G. MARCHAND   octobre1983/ 36 pages.

    25    Saint-Just-en-Chevalet par l’abbé J. CANARD  décembre 1983/ 56 pages.

    26    Le concours de la F.G.S.P.F en 1914 par R. DUCROUX  février 1984/ 16 pages.<o:p></o:p>

    27    Janvier 1906 par J. CHAIZE avril1984/ 34 pages.<o:p></o:p>

    28    Le château d’Aix avant l’oubli par G. BONNEFOND juin 1984/ 24 pages.<o:p></o:p>

    29    Février – mars 1906 par J. CHAIZE septembre 1984/ 46 pages.<o:p></o:p>

    30    Cartes postales d’avant 1889 par le docteur J. STORCH novembre 1984/ 36 pages.<o:p></o:p>

    31    Le concours musical de 1908 par R. DUCROUX  janvier 1985/ 16 pages<o:p></o:p>

    32    Le Faubourg Clermont par R. DUCROUX  mars 1985/ 36 pages<o:p></o:p>

    33    Gilles Coudour Illustrateur roannais par le docteur J. STORCH mai1985 /32 pages<o:p></o:p>

    34    Le Faubourg Mulsant  par R. DUCROUX  septembre1985/ 32 pages.<o:p></o:p>

    35    Saint-Etienne en 1900 par C. SZWANKOWSKI  novembre1985/ 30 pages.<o:p></o:p>

    36    Napoléon I° (I° partie) par R. REVAILLIER  janvier1986/ 32 pages.<o:p></o:p>

    37    Excursion à Chauffailles par M. REY  1986/ 28 pages.<o:p></o:p>

    38    Napoléon I° (2° partie) par R. REVAILLIER  1986/ 62 pages.<o:p></o:p>

    39    La Poste (les facteurs) par B. HUGUES  1986/ 36 pages.<o:p></o:p>

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    En 2005 sous l’impulsion de Paul Rifford, l’Association Philatélique et Cartophile du Roannais a réalisé un retirage de ces 39 titres parus.<o:p></o:p>

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    Le prix de vente était alors de 1 EURO pour chaque opuscule jusqu’à 36 pages<o:p></o:p>

    Et de 1,50  EURO à partir de 37 pages.<o:p></o:p>


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