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    Auteur : Bertrand LACROIX

    ·        Format 210 x 297

    ·        44 pages, recto verso

    • nombreuses photographies : 17 en couleurs, les autres en noir et blanc
    • nombreux documents originaux : 18  en couleurs le reste en noir et blanc

          ·        Janvier 2010

    ·        Prix de vente : 12   EURO  plus port

    ·        Reliure : baguette 

    Avertissement : À la demande de nos lecteurs habituels, nous avons effectué le tirage de notre étude en photocopies « laser » avec des pages recto verso.

    En procédant ainsi les  prix de nos ouvrages sont calculés au plus juste afin quune personne au chômage, étudiante ou en retraite puisse les acheter.

    La reliure est une baguette, mais toutes les pages sont agrafées en trois points.

    Pour faciliter la lecture, les textes sont en pleine page (pas de colonne).

    Compte tenu du grand nombre de renseignements et dune mise en page rigoureuse nous avons exceptionnellement abandonné nos caractères de police habituels pour des plus petits, nous nous en excusons davance auprès de nos lecteurs qui portent des lunettes.

    Un envoi par la Poste est un peu plus onéreux surtout si louvrage comporte un grand nombre de pages.

    Pour plus de renseignements écrire à Isabelle PIGNARD, Ratille, 42540 CROIZET-SUR-GAND

                                                                        Contact : 06.80.06.25.40

    Cet ouvrage est également en vente : à la librairie Thomasset rue Tête-Noire à Saint-Symphorien-de-Lay

    Téléphone 04.77.64.75.52.

     


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    ROUTE ROANNE-LYON : Conseil Général de la Loire : Séance du 26 août 1836.

     


    RoutesRoyales.

     

    Le Conseil signale de nouveau à l'attention de M. le Directeur général des ponts et chaussées, l'énorme fréquentation de quelques unes des routes royales du département qui exigent par conséquent des allocations extraordinaires, parce que peu de routes en France se trouvent dans des circonstances pareilles. Si ces routes laissent encore beaucoup à désirer, il faut s'en prendre non pas aux soins apportés à l'entretien, mais au manque de fonds pour terminer les travaux indispensables. Le Conseil réclame avec instance des fonds pour l'élargissement de la traversée de Saint-Chamond, route royale n° 88, de Lyon à Toulouse, Celte traversée, qui est très longue et tellement étroite que dans plusieurs endroits deux voitures ne peuvent pas se croiser, ce qui occasionne souvent des accidents et interrompt fréquemment la circulation.Le Conseil sollicite la prompte exécution de la grande rectification entre l'Hôpital et le col du Pin-Bouchain, route n° 7. Cette rectification est d'une nécessité urgente. Le Conseil voit avec peine que l'on songe à en faire l'objet d'une concession moyennant péage. Plusieurs autres
    rectifications aussi dispendieuses ont été faites sur cette route dans d'autres départements sans qu'on leur ait fait subir la charge si gênante d'un péage. Le Conseil ne comprend pas par quelmotifil ne jouirait pas de la même faveur.



    Le Conseil sollicite aussi la prompte exécution de la rectification entre Rive-de-Gier et Saint-Etienne, Toute royale n° 88. Cette rectification est tellement urgente que le Conseil malgré sa répugnance à voir établir des péages sur ces routes croit devoir recommander le projet qui consisterait à faire faire cette rectification par une compagnie qui s'en chargerait moyennant péage : on espère qu'en considérant combien la route n° 88 est fréquentée dans les points qu'il s'agit de rectifier, la compagnie qui se présenterait pourrait entreprendre le travail qui lui serait concédé avec un tarif très modéré. Si une compagnie ne voulait pas s'en charger le Conseil insiste pour que le gouvernement veuille bien s'occuper des moyens de faire lui-même une rectification aussi nécessaire.

     

    Toutes les années le Conseil reconnaît la justice de la réclamation de Saint-Just-en-Chevalet, pour la rectification à faire dans cette ville à la route n° 81, de Roanne à Clermont. Le passage en ce point est tellement difficile, donne lieu à de nombreux accidents que le Conseil revient à la charge avec toute l'insistance qu'il peut y mettre pour qu'il y soit fait le plutôt possible quelques travaux d'amélioration.

     

    Navigation. — Chemin de Hallage

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    Le Conseil Général regarde comme une chose éminemment utile le chemin de hallage projeté sur les bords de la Loire entre Roanne et Balbigny, et pénétré du grand avantage qu'il y aurait de faire de ce chemin de hallage un chemin de roulagele Conseil invite M. le Préfet à s'entendre avec M. le Directeur général, pour savoir quelle allocation il faudrait offrir pour qu'il fût donné au chemin dont il s'agit une largeur suffisante.

     

     

    Signé : Le chevalier de Villeneuve, Goyne, Recorbet, Cucherat-
    Malfarat, Gubian, J. d'Assier, Sigean, P. M. Deprandière,
    Cosle, Bouchetal-Laroche, Jouvencel, Meaudre, Courbon,
    Comte de Bastard, Guillien, Lachèze fils, De Cadore, L^qns,
    D'Espagny, Durozier, Dulac, Ardaillon, Heurlier, Romain
    Deprandière, Coste, Peyret-Lallier, Robichon,

     

     

    Séancedu 27 août 1837.

    Jury spécial pour le règlement des indemnités de terrains.
    Le Conseil Général, conformément à l'article 29 de la loi du 7 juillet 1S33, arrête ainsi qu'il suit la liste des personnes qui doivent former le jury spécial appelé, le cas échéant, à régler les indemnités dues par suite d'expropriation pour cause d'utilité publique :

     

    Cantonde Saint-Symphorien-de-Lay.
    Jouvencel, juge de paix St-Symphorien-de-Lay
    Gros, Jean-Baptiste-Alfred, notaire idem.
    Mottin-Montroussi, Claude, propriétaire Régny.
    Dalléry, Michel, idem S.-Cyr-de-Favières.
    Chirat-Dumoulin, François, idem Régny.

    Dechatellus, Claude-Marie, notaire S.-Just-la-Pendue

     

     

     

     Cheminde Roanne à Thizy, par l'Hôpital et Régny.


    Partant de la route royale n° 7, au hameau de l'Hôpital, traversant la rivière de Rhins, se développant sur le coteau de la rive droite de celte rivière, en passant au couvent de Pradines, à Nacone, dans la ville de Régny et sur la commune de Saint-Victor, pour entrer ensuite dans le département du Rhône. Communes qui devront concourir à la dépense : Saint-Cyr-de-Favières, Notre-Dame-de-Boisset, Pradines Régny et Saint-Victor.


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    RECUEIL DE LEGENDES LOCALES

     

    43 légendes de notre canton et des alentours

     

    Auteurs : Collectif sous la direction de Bertrand LACROIX

    ·        Format 210 x 297

    ·        58 pages, recto verso nombreuses illustrations en noir et blanc

          ·        Juin 2009 (ouvrage édité pour Le Salon de l’Ecrit de Pradines des 3 et 4 octobre)

    ·        Prix de vente : 15   EURO  plus port

    ·        Reliure : baguette 

    Avertissement : À la demande de nos lecteurs habituels, nous avons effectué le tirage de notre étude en photocopies « laser » avec des pages recto verso.

    En procédant ainsi les  prix de nos ouvrages sont calculés au plus juste afin quune personne au chômage, étudiante ou en retraite puisse les acheter.

    La reliure est une baguette, mais toutes les pages sont agrafées en trois points.

    Pour faciliter la lecture, les textes sont en pleine page (pas de colonne).

    Compte tenu du grand nombre de renseignements et dune mise en page rigoureuse nous avons exceptionnellement abandonné nos caractères de police habituels pour des plus petits, nous nous en excusons davance auprès de nos lecteurs qui portent des lunettes.

    Un envoi par la Poste est un peu plus onéreux surtout si louvrage comporte un grand nombre de pages.

    Pour plus de renseignements écrire à Isabelle PIGNARD, Ratille, 42540 CROIZET-SUR-GAND

                                                                        Contact : 06.80.06.25.40

     

    Cet ouvrage est également en vente :à la librairie Thomasset rue Tête-Noire à Saint-Symphorien-de-Lay

    Téléphone 04.77.64.75.52.

     

     

     

                                                                                    


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    LE COUVENT DE CROIZET-SUR-GAND

     

    Le couvent de Croizet est composé d’une chapelle, d’une bâtisse, d’une cours et d’une croix, le tout ceint d’un mur en pierres.

     

    Érigé sur un mamelon au sud-ouest du bourg de Croizet en direction de St-Symphorien-de-Lay, la chapelle du couvent a gardé son appellation d’origine. La 1ère construction de la chapelle daterait de 1405 et ferait partie des derniers couvents qui ont été fondés par les premiers moines venant d’abbayes du Lyonnais ou du Mâconnais entre le 11ème et 13ème siècles. Le prieuré correspondait à la grande bâtisse et la chapelle servait d’église. Il est fort probable que ce fut la première église du village, ces moines dépendaient de l’abbaye bénédictine de Saint-Rigaud dans le Beaujolais.

    A ses côtés, à quelques pas de l’entrée de la chapelle, s’élève une croix de fer forgé portant la date de 1526. C’est sans doute la plus ancienne croix de nos collines. Elle fût amputée à la Révolution.

     

    Si la construction de la chapelle date probablement de 1405, elle a subit de nombreuses rénovations au cours des siècles. La plus importante commença en 1739. On peut même parler de reconstruction entreprise par Pierre Marie Bouchetal, curé de Croizet, son fondateur, qui financera en grande partie son ornement. Il la placera sous le vocable de Notre Dame de Piété. Ces travaux se termineront en 1740 et le 25 février 1741, il pourra y célébrer son 1er office. Désormais, « le 1er dimanche de novembre après la fête de tous les saints, jour de l’établissement de la confrérie de la Bonne Mort en ladite paroisse », un office aura lieu. Il sera enterré dans la chapelle le 13 juin 1764.

     

    Après la révolution française, la chapelle a de nouveau besoin de réparations. Ainsi, le 29 Juillet 1807, le curé Giroudon de Croizet demande à l’archevêché de Lyon « la permission de réparer la chapelle rurale ». Permission qu’il obtint.

     

    En 1918, la commune vend le couvent aux enchères et c’est Claude Michel Galichet, un habitant de Croizet, qui s’en trouve l’acquéreur. Il hérite d’une chapelle en ruine ainsi que d’une bâtisse insalubre en très mauvais état. Par la suite, la bâtisse sera revendue plusieurs fois mais la chapelle restera dans la famille Galichet, qui la remettra en état. Dès lors, chaque année, une messe est célébrée le 15 août.

     

    Cette chapelle est surmontée d’un campanile contenant une cloche. Ses murs sont très épais et les portes sont basses et voûtées. Une longue nef conduit au chœur. Son plafond est bas et en bois. Au milieu du chœur trône un autel composé de 4 variétés de marbres italiens. Au-dessus de celui-ci, il y avait une magnifique Piéta en Bois du 18ème siècle qui a été volé il y a une dizaine d’année avec d’autres statues polychromées et en bois dorés. Cet autel vient de l’ancienne église de Croizet. Il a été transféré en 1856 lors de la démolition de celle-ci.

     

    Concernant la bâtisse du prieuré, son histoire et sa construction se mélangent à celle de la chapelle.Il faut attendre le 19ème siècle pour que leur histoire se différencie.

    Tout d’abord, en 1803, se sont les sœurs des écoles chrétiennes qui s’y installent et enseignent aux garçons de la commune : l’ancien prieuré devient une école. Le bâtiment est alors en très mauvais état. Ensuite, en 1856, Hélène André supérieure des sœurs de Croizet, en fait don à la congrégation des sœurs de St Jean, qui viennent s’y établir et donnent à leur tour cet établissement à la commune en 1857. Les sœurs enseigneront aux filles de Croizet jusqu’en 1892, date à laquelle la dernière religieuse, Marie Rose Gery, se retire pour raison de santé. L’école est alors laïcisée. Mais le bâtiment se dégrade, à un tel point qu’en 1903, l’institutrice demande de loger au bourg. En effet, le bâtiment « menace ruine et est d’un danger perpétuel pour la maîtresse et les élève ». Les réparations sont considérables si bien que l’administration demande à la commune de le vendre et d’utiliser cet argent à la construction d’une nouvelle école de filles.

     

    Ainsi, en 1918, ne pouvant faire face aux travaux trop importants de rénovation, la commune vend la bâtisse. Elle est alors dans un état complet de délabrement et inhabitable.

    A partir de 1950, date à laquelle la famille Galichet se séparera de cet ancien prieuré en ruine, sa bâtisse fut vendue plusieurs fois et servira tour à tour d’auberge et de maison d’habitation.

     

    A l’origine, elle était composée de 10 pièces, dont certaines ont gardé aujourd’hui encore les traces de ce qui a du servir de cellules aux anciens moines qui l’ont habité.


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    RETOUR SUR L’ANNEE ECOULEE<o:p></o:p>

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    Cher(e)s adhérent(e)s et ami(e)s<o:p></o:p>

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    Les Chemins du Passé ne sont pas restés inactifs en cette année 2009 qui se termine.<o:p></o:p>

    Le tirage de la traditionnelle galette des rois le 17 janvier est suivit le  23 janvier par la réception d’une délégation de « Maoris » conduite par Madame l’Ambassadrice de Nouvelle-Zélande en France, ce pays désirant acquérir la maison de Suzanne Aubert. Notre Assemblée générale du 6 mars fort goûtée par les participants se termine par une projection de photographies de notre exposition 2008 : Soldats du feu.<o:p></o:p>

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    Nos dernières publications connaissent un franc succès : le tome III de l’Histoire de Saint-Symphorien-de-Lay se vend bien avec souvent l’achat des tomes I et II. Notre dernier ouvrage sur les Contes et Légendes du canton, mis en vente début octobre 2009  démarre très fort puisque 35 exemplaires sont déjà vendus. L’ouvrage sur les Maisons fortes est aussi souvent demandé.<o:p></o:p>

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    Belle réussite aussi pour notre sortie d’une journée très ensoleillée dans le Brionnais le 30 mai, avec plus d’une vingtaine de participants. Au programme visite du Musée d’Iguerande et de son église, de celle de Saint-Julien-de-Jonzy avec repas au restaurant dans une belle ambiance. Puis arrêt dans le village médiéval de Semur-en-Brionnais, direction ensuite l’église d’Anzy-le-Duc et celle de Montceau-l’Etoile.<o:p></o:p>

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    Deux conférences données : une sur « la Poste aux chevaux » à la bibliothèque « l’Étincelle » à Lay. L’autre sur les « Greniers à sel » à la médiathèque de Roanne.<o:p></o:p>

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    Le 13 juillet pose déjeuner à Neulise du Rallye international « RN7 et Route Bleue ». Avec une belle animation et dans le cadre d’un joli marché animé les spectateurs purent admirer les 18 voitures des « années 60 » inscrites à cette épreuve.<o:p></o:p>

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    Participation aux journées du patrimoine les 19 et 20 septembre<o:p></o:p>

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    Participation les 4 et 5 octobre AU SALON DE L’ECRIT de Pradines dans une organisation parfaite et une ambiance joyeuse. Plusieurs contacts pris, et vente d’anciens ouvrages.<o:p></o:p>

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    Au mois de novembre à la Chapelle Saint Charles, nous  avons reçu l’exposition itinérante du Conseil général sur les Sites Clunisiens de la Loire, dans le cadre du 1100° anniversaires  de la fondation de cette Abbaye. <o:p></o:p>

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    La réunion mensuelle de décembre décentralisée à Régny, malgré la neige fut une réussite.<o:p></o:p>

    La participation au marché de Noël de Saint-Symphorien dans la neige et le froid fut également une satisfaction (vente de plusieurs ouvrages.<o:p></o:p>

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    Notre exposition  en 2010 sera consacrée aux chemins de fer dans notre canton.<o:p></o:p>

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                                                                                                  Le secrétaire<o:p></o:p>

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