Bernard PIVOT prend des nouvelles du Pays

Origines. Natif du Beaujolais, Bernard Pivot a des attaches dans la région roannaise. Son père était natif de Saint-Symphorien-de-Lay, où le jeune Bernard a passé de nombreux dimanche, chez son grand-père.

De passage à tarare vendredi pour son spectacle « SOUVENIRS D’UN GRATTEUR DE TÊTE », il n’a pas manqué de prendre des nouvelle du pays.

                                                                                    Le Pays Roannais du 17 janvier 2013

A SAINT SYMPHORIEN DE LAY (Loire)

• Format 210 x 297
• 29 pages, recto
• Photographies : une quinzaine, la majorité en couleurs
• Date de Parution : Janvier 2013
• Reliure : baguette

Avertissement : À la demande de nos lecteurs habituels, nous avons effectué le tirage de notre étude en photocopies « laser ».

En procédant ainsi les  prix de nos ouvrages sont calculés au plus juste afin qu’une personne au chômage, étudiante ou en retraite puisse les acheter.

La reliure est une baguette, mais toutes les pages sont agrafées en trois points.

Pour faciliter la lecture, les textes sont en pleine page (pas de colonne).

Compte tenu du grand nombre de renseignements et d’une mise en page rigoureuse nous avons exceptionnellement abandonné nos caractères de police habituels pour des plus petits, nous nous en excusons d’avance auprès de nos lecteurs qui portent des lunettes.

Rédaction et textes : Bertrand LACROIX

Photographies des tableaux : Gilles REY

Pour plus de renseignements écrire à Isabelle PIGNARD, Ratille, 42540 CROIZET-SUR-GAND

  Contact : 06.80.06.25.40

GALETTE DES CHEMINS DU PASSE

Samedi après-midi, le conseil d’administration des Chemins du passé était réuni pour échanger les vœux pour l’année 2013. La présidente Isabelle Pignard rappelait les projets réalisés en 2012. Elle présentait les objectifs pour cette année, en mars assemblée générale, en mai une conférence sur le Tour de France 1914, puis les origines de l’étang de la Roche. La parole était donnée au maire, Pierre Colombat, qui félicitait les membres de leur travail, et assurait l’association de son soutien.

Le quart d’heure culturel était consacré à l’origine des tableaux de l’église provenant de la collection du cardinal Fesch, oncle de Napoléon. Le cardinal possédait une collection de 17624 tableaux. En 1842, sept d’entre eux furent achetés par le curé Roux de Saint-Symphorien-de-Lay pour la somme de 3000 francs de l’époque.

La réunion se terminait par le partage de la galette des rois et de boissons pétillantes et fruitées.

                                                                                       Article du Progrès de Lyon

ARGENT POUR LE MAITRE DE POSTE DU PIN BOUCHAIN

Notre vice-président Bertrand Lacroix nous fait part du renseignement suivant :

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« En feuilletant le journal de l'Empire du mardi 25 février 1806, j'ai trouvé le décret du 21 frimaire qui accorde au sieur Claude Viallier, maître de la Poste aux Chevaux du relais de Pin Bouchain, commune de Chirassimont,  une pension de 600 francs et un secours de 400 francs. Est-ce pour les services rendus par sa fille? Ce n'est pas dit. On connait plutôt les circonstances du passage de Napoléon, le brevet de poste, le service offert par l'Empereur. J'avoue que j'ignorais les 600 + 400 francs. »

L’ART DU MARQUAGE DES FRUITS

La ville de Montreuil (Seine-Saint-Denis) est marquée par son passé horticole et ses fameux « murs à pêches ».

Le marquage des fruits fait partie de son patrimoine historique. Il connaît son apogée à la fin du 19° siècle : les fruits sont commandés par les cours d’Europe et marqués de leurs sceaux.

Le marquage se fait en utilisant des pochoirs en papier, appliqués sur les fruits avec une gélatine, pour occulter le soleil.
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Au préalable, les fruits auront été ensachés sur l’arbre pour qu’ils gardent leur couleur claire.

On enlève le sachet au moment du marquage.

A maturité, le fruit aura pris sa belle couleur vive, excepté sous le pochoir, révélant ainsi le motif.
 

Dans les années 2000, grâce aux archives laissées par les anciens, la SRHM (1) fait renaître cette tradition, en partenariat avec quelques horticulteurs de d’Ile-de-France.

1. La société régionale d'horticulture de Montreuil est l'association historique des cultivateurs des Murs à Pêches.

Créée en 1878, puis reconnue d'utilité publique, elle fait revivre les Murs à pêches...

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