M. Barroso, vous n'êtes ni loyal ni respectueux !

LE MONDE | 18.06.2013

…M. Barroso, en revanche, semble avoir des visées beaucoup plus personnelles. Depuis huit ans, le président de la Commission s'est distingué par sa ductilité. Défenseur des petits Etats lorsqu'il était premier ministre du Portugal, libéral lors de sa nomination à Bruxelles avant la crise de 2008, sarkozyste sous la présidence de Nicolas Sarkozy, incapable, depuis, de la moindre initiative politique pour relancer l'Union, il a accompagné le déclin des institutions européennes.

Aujourd'hui, à 57 ans, ce caméléon se cherche un avenir. A la recherche d'un beau poste, à l'OTAN ou aux Nations unies – qui sait ? –, il a choisi de flatter ses partenaires anglo-saxons, le premier ministre britannique et le président américain. A la tête de la Commission, M. Barroso aura été un bon reflet de l'Europe : une décennie de régression.

Aujourd’hui mardi 18 juin 2013 le document ci-dessu est mis en vente à Drouot chez Delorme et Collin du Bocage.

Une proclamation du Vicomte Henri de Vougy nommé, Préfet de la Nièvre, en date du 1° avril 1853 ; Henri de Vougy né en 1808, fit une carrière administrative et politique. Il fut directeur des Télégraphes, Conseil général de la Pacaudière de 1860 à 1870. Il résidait à Saint-Germain-l’Espinasse et avait 60 000 francs de rentes. Il est enterré au cimetière de ce village. Le caveau de sa famille jouxte celui d’un autre personnage célèbre du Second empire : Victor Fialin, duc de Persigny (Ministre et Ambassadeur) qui est né lui aussi en 1808 dans ce même village. Victor était d’une longue lignée d’honorables bouchers, selliers ou hôtes, devenus notaires puis procureurs de Crémeaux, aussi dans la Loire.

 Eglise de  Saint-Symphorien-de-Lay le 4 juin 2013

     Au nom de l’Association « Les Chemins du Passé » nous voulons te remercier pour ton implication, ton engagement sans faille, ta disponibilité, ta ténacité, ton caractère.

      Lorsque tu es venu t’installer à St Symphorien de Lay dans les années 1980, notre président fondateur, Antonin BECAUD, a tout de suite jugé que tu étais une recrue de choix pour l’Association.

     Homme de parole, de service, tout de suite, ton engagement fut sans faille. Quand le besoin se faisait sentir et souvent à ton initiative, nous savions tous que nous pouvions compter sur toi pour monter une exposition et qu’elle serait parfaite.

     Ta disponibilité a toujours su surmonter les difficultés, la fatigue quand l’importance de la tâche s’avérait difficile à accomplir, ou le froid quand tu nous préparais les maquettes de la route dans des locaux sans chauffage, ou encore la solitude quand nous te laissions seul à ton travail, trop absorbés par nos propres occupations ou notre famille. Alors tu faisais preuve de ténacité en menant à bien l’engagement promis.

     Quel caractère tu nous as révélé. Si tu n’étais pas facile à mener, Gaby, président, avec nous,  disait que c’était ton tempérament espagnol bien trempé qui ressurgissait. Si tu nous annonçais ta démission, nous comprenions qu’il fallait emprunter un autre chemin avec toi. Une bonne discussion remettait tout en ordre et, à nouveau, nous pouvions compter sur toi.

     Quelles merveilleuses leçons de vie tu nous as données. Ne nous as – tu pas toujours dit que pour remercier les femmes, il fallait toujours leur offrir des fleurs. «  C’est ce qu’elles apprécient le plus », nous affirmais – tu. Tu avais raison. Alors, là-haut, offre aux créatures célestes féminines des fleurs. Elles apprécieront.

      Ton association « Les Chemins du Passé », ne peut que te remercier de tout le travail accompli.

Au revoir,  Enrique.