•  

    AU TEMPS DES MAISONS FORTES<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ouvrage de 78 pages recto verso (noir et blanc)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Sur la page de gauche : carte, plan pour localiser la maison forte et illustration dessinée de celle-ci par G. Patay.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Sur la page de droite : historique de la maison forte.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    37 maisons fortes sont ainsi  décrites : Valfort, Vareilles, Le Verdier, Changy, Rilly, Ratille, Passinge, Le Plat Coupy, l’Aubépin, Sarron, Pesselay, la Verpillère, La Forest, Maison forte de Lay, Valorges, Lorgue, Le château de Pradines, Bourg fortifié de Régny, Cucurieux, Villars, Château de la Roche, Château de Saint-Priest-la-Roche, Tréfond, Ronfin, Maroilles, Montgaland, La Pinée, Peray, L’Orme, Buttery-La Cloître, Matoray, La Buffetiere, Servy, Péricard, Ronchevol, Fort de Saint-Victor, Eglise fortifiée de Vendranges.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’ouvrage est en vente 15 EURO pendant l’exposition, prévoir des frais de port en plus en cas d’envoi par la Poste.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le mot de la Présidente :<o:p></o:p>

       En plus des écrits et textes, notre Moyen Âge local, objet de notre exposition annuelle 2007, ne peut se vivre qu’a travers une rétrospective des habitats particuliers qui en ont gardé et conservé l’empreinte.<o:p></o:p>

       L’Association des Chemins du Passé a voulu publier un fascicule sur les maisons fortes locales pour en conserver le si riche souvenir. Résister si longtemps aux usures des siècles prouvent l’efficacité et la robustesse de certaines constructions toujours debout.<o:p></o:p>

       Aujourd’hui cette époque nous paraît si lointaine : 600 ou 700 ans en arrière ont peine à s’envisager avec nos yeux que plus rien n’étonne et avec la facilité que nous avons de voyager dans le monde entier en quelques « clics ».<o:p></o:p>

       A cette époque là, tout était autre. Si les maisons fortes ont été mises en place, c’est avant tout une question sécuritaire que nous somme loin d’envisager actuellement quand nous sommes en temps de paix. De hauts murs crénelés à la masse imposante et de robustes contreforts de base paraissent aujourd’hui d’un autre âge pour un lieu de refuge ou d’habitation. Mais c’était alors la seule façon qu’avaient les habitants apeurés de se protéger contre les invasions de pillards durant cette période et spécialement pendant la guerre de 100 ans qui ravagea notre belle région. Notre devoir d’Association culturelle est d’en assurer le souvenir.<o:p></o:p>

       Avec une certaine nostalgie d’un temps où il faisait peut-être bon de vivre, je vous invite à la lecture d’un ouvrage retraçant la vie de nos ancêtres dans leurs habitats et sur le sol que nous foulons après eux<o:p></o:p>

       Bonne lecture<o:p></o:p>

                                                                                             Isabelle PIGNARD<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>




    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique