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    Bonjour à tous,



    Comme d’habitude ce petit courriel pour vous inviter à notre réunion mensuelle ce vendredi 18 Mars en notre local à 20 H.


    Ordre du jour :

    - Décision pour le carrelage de la salle de réunion de la chapelle
    - organisation du déménagement
    - préparation de l’AG
    - programme du printemps
    - temps culturel : les trouvailles de Serge et la période creuse entre cinquième et quatorzième siècle
    - questions diverses

    Cordialement

    Claude
     

    REUNION MENSUELLE DU MOIS DE MARS 2016

     


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  •  Native de Saint-Symphorien-de-Lay, Suzanne Aubert de son départ de Lyon en 1860 jusqu’à son rappel vers Dieu en 1926 ; laisse une trace impressionnante en Nouvelle-Zélande. « Il n’est pas étonnant que cette religieuse à la personnalité exceptionnelle ait été la première femme pour laquelle la Nouvelle-Zélande a décrété des obsèques nationales » Philippe Barbarin Cardinal de Lyon. 

    Missionnaire au caractère bien trempé, courageuse et non conformiste. Suzanne Aubert aura accompli pleinement la destinée que Dieu avait pour elle et que le Curé d’Ars lui avait partiellement révélée. Elle fut un être heureux, dynamique et rieur qui mettait toute sa force au service du plus petit d’entre ses frères.

     

    Dans la Nouvelle-Zélande hybride de la fin du XIX° siècle, qui passait de pays maori à État moderne, elle recueille les oubliés : vieux bûcherons ou chercheurs d’or inutiles, nouveau-nés ou enfants abandonnés. Les « Filles de Notre-Dame de la Compassion », la plus petite congrégation de religieuses catholiques au monde et là plus éloignée de Rome, continuent aujourd’hui le sacerdoce de leur fondatrice dans leur compassion pour les oubliés.

     


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  • QUE DE BONS MOMENTS PASSES A L’INTÉRIEUR DE CES DEUX CINÉMAS AUJOURD'HUI DISPARUS.

    Le cinéma Marivaux était intéressant avec son allée en ciment, son guichet dehors avec passage couvert pour entrer dans le hall. Une seule salle bien sur avec un balcon. A la fin de la séance les spectateurs du bas pouvaient sortir sous l'écran et en empruntant un petit "passage étroit" se retrouvaient dans la rue Bourgneuf. A cette époque la rue Jean Puy  n'existait pas d 'ailleurs elle fut construite sur la cour, le guichet extérie

    RETRO CINEMAS

    RETRO CINEMAS

    ur et l'allée en ciment bordée de fleurs du cinéma.


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