• Le facteur chance (1° partie)


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    Illustration : les « restes » de la <st1:metricconverter productid="4 L" w:st="on">4 L</st1:metricconverter> après l’explosion.

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    FACTEUR CHANCE POUR UN HABITANT DE ST-CYR-DE-FAVIERES<o:p></o:p>

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    « 1° partie »<o:p></o:p>

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    Jean-Jacques Rambaud, se souviendra pendant longtemps de cet après-midi du jeudi 25 août 1994. Employé comme facteur auxiliaire pour les vacances à la Poste du Coteau, il effectuait sa tournée comme tous les jours.

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    Il venait de déposer vers 10 h le courrier adressé au comte Alban de Brosses, au château d’Ailly, à Parigny, quand revenant près de sa <st1:metricconverter productid="4 L" w:st="on">4 L</st1:metricconverter> « fourgonnette jaune » fonctionnant au gaz, il apercevait de la fumée s’échappant du capot. Le préposé déplaçait alors son véhicule dont les clignotants avaient été pris de folie en un endroit dégagé au milieu de l’allée menant au château. Courageusement, il tentait d’étouffer l’incendie embrasant le moteur, en vain. Il décidait alors d’aller chercher du secours à la maison des gardiens, non sans avoir sorti avec sang froid le courrier.

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    Il n’avait heureusement pas le temps de revenir que la voiture explosait. Portières, réservoir, plancher…des débris seront retrouvés dans un rayon de <st1:metricconverter productid="100 m│tres" w:st="on">100 mètres</st1:metricconverter> alentour. Les arbres proches seront brûlés sur une hauteur de 15 à <st1:metricconverter productid="20 m" w:st="on">20 m</st1:metricconverter>.

    Il n’y eu pas de blessé. Seul M. Rambaud choqué, dut être hospitalisé. Mais dès le lendemain il reprenait sa tournée pour distribuer le courrier sauvé.

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    En arrivant sur place, les gendarmes et les secours pensèrent aussitôt avec une peur rétrospective à ce qui aurait pu arriver si une telle explosion s’était produite avenue de la Libération au Coteau par exemple.

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    La « 4 L » en cause venait de faire le plein de GPL, soit <st1:metricconverter productid="42 litres" w:st="on">42 litres</st1:metricconverter>. Mise en circulation en 88, elle avait subi le contrôle technique obligatoire pour les véhicules de plus de cinq ans « huit jours avant l’accident, comme tous les véhicules de « La Poste », cette voiture était révisée tous les <st1:metricconverter productid="15ᅠ000 kilom│tres" w:st="on">15 000 kilomètres</st1:metricconverter> en plus des interventions ponctuelles », indique Christian Chevalier, receveur au Coteau depuis le 1° Août, qui déclare s’être ému trois jours avant l’explosion du nombre de véhicule à gaz en service auprès de son directeur du matériel. 24 voitures GPL, sur les 570 que compte « La Poste » de la Loire étaient en fonctions jusque-là, don t 13 sur le Roannais (six à Roanne, sept au Coteau).

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    Dans l’après-midi du 25 août, la Direction départementale de « La Poste » faisait savoir qu’elle retirait ces véhicules de la circulation à des fin d’expertise ; une mesure qui aurait été étendue à tout le territoire national, en garantissant une distribution et un acheminement sans « aucune perturbation » du courrier grâce à ses moyens de réserve.

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    Selon les premiers résultats communiqués par la Direction régionale de l’industrie de la recherche et de l’environnement (D.R.I.R.E.) via la Direction départementale de « La Poste » de la Loire, l’incendie qui a provoqué l’explosion proviendrait d’un court-circuit électrique.

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    A la station « Shell » du Coteau, la seule à vendre du GPL sur le Roannais, on affirme que « La Poste » était la dernière administration à utiliser localement ce genre de véhicule, au demeurant peu prisés des particuliers.

    Chez « Shell » on indique ainsi passer 5 à <st1:metricconverter productid="6ᅠ000 litres" w:st="on">6 000 litres</st1:metricconverter> de GPL par mois pour 100 000 à <st1:metricconverter productid="150ᅠ000 litres" w:st="on">150 000 litres</st1:metricconverter> de gas-oil.

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