Par TESTENOIRE
SAINT-NIZIER-SOUS-CHARLIEU<o:p>
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Une cinquantaine de personnes à la conférence sur<o:p></o:p>
<st1:PersonName productid="LA POSTE AUX" w:st="on">LA POSTE AUX</st1:PersonName> CHEVAUX<o:p>
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Le dimanche 12 novembre, Arcanson avait convié, à la salle des Boiseries du château de Carillon, Bernard Hugues, de lassociation : les « Chemins du Passé », pour présenter lhistoire étonnante du transport du courrier au pas des chevaux.<o:p></o:p>
Le récit est le fruit de plusieurs années de recherches et de passion.<o:p></o:p>
Les cinquante personnes présentes ont pu suivre, au travers du fil rouge de deux personnages, le trajet détaillé des premiers transports de courrier, de Paris à Lyon, en passant par Roanne.<o:p></o:p>
Le récit du voyage, au travers de la région de Tarare à <st1:PersonName productid="la Pacaudi│re" w:st="on">la Pacaudière</st1:PersonName>, en passant par Roanne et le Coteau, avec gestes, anecdotes et humour, a passionné le public présent.<o:p></o:p>
« De tout temps, il y eut des embouteillage sur les routes ! » a indiqué le conférencier. On a pu aussi apprendre que lorigine des hôtels restaurants dénommés Au Lion dor, venait de lexpression « Au lit, on dort », et que les premières bornes kilométriques dataient de 1830.<o:p></o:p>
Les relais furent remplacés, dès 1873, par le chemin de fer et ce fut la fin de la poste aux chevaux.<o:p></o:p>
Journal « Le Progrès »<o:p></o:p>
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