Par TESTENOIRE
Gravure : le lit nuptial, symbole de fécondité, monument de la famille, est béni par le prêtre. LÉglise étend ainsi son contrôle à la vie privée (B. Picart, musée des Arts et Traditions populaires.)
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A LEPOQUE, ON BENISSAIT BEAUCOUP DE CHOSES<o:p></o:p>
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Venue de loin, cette tradition sest perpétuée jusquau milieu du XXème siècle.<o:p></o:p>
Foi ou superstition Il nest pas question dapporter un jugement sur les coutumes de nos ancêtres, mais de dire simplement ce qui se faisait.<o:p></o:p>
Nous avons eu en main dans les archives paroissiales de Sainte-Colombe-sur-Gand, un petit livret imprimé sur lequel se trouvaient 51 textes et prières en latin relatif à 51 bénédictions dobjets ou de personnes différentes.<o:p></o:p>
Entre autres, les anciens de la génération précédente se rappelaient des bénédictions :<o:p></o:p>
Et les fidèles eux-mêmes étaient « aspergés » deau bénite au début de chaque grandmesse, tandis que les chantres avaient entonné l »Asperge me »<o:p></o:p>
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