UN TOUR DU CADRAN
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Dans son roman « Un tour du Cadran » paru en 1987, Albert Oriol, sous le pseudonyme dAlbert Ma-Loire, choisi par sa fidélité à son département dorigine (Il est né à Saint-Etienne) réserve une large place à plusieurs régions qui lui sont familières.
Le Forez de son enfance, puis des combats de la Libération, Lyon où il fit ses études (Ecole normale Gerson). Le Massif Central enfin par ses grands-parents originaires dAmbert et de sa filiation avec le compositeur Emmanuel Chabrier
Albert Oriol-Maloire entend camper le visage de cette partie de France aux mille facettes, aussi attachantes que diverses.
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La première page, de son chapitre premier de cette nouvelle est la suivante :
« Hier soir vendredi vers 18 h 30, sans doute trompé par lépaisse couche de neige assez inhabituelle dans notre région, un automobiliste qui avait emprunté la nationale 82 venant de Saint-Etienne, a heurté de plein fouet, au bas de la descente de Vendranges, un arbre et une borne kilométrique au carrefour de la nationale 83 et départementale 504.<o:p></o:p>
Après les constatations dusage par la brigade de gendarmerie locale, dont ladjudant sétait rapidement porté sur le lieu de laccident, le conducteur qui a été lobjet de graves blessures et de contusions multiples, à été acheminé sur la clinique Saint-Joseph de Roanne pour y subir plusieurs interventions.<o:p></o:p>
Le chirurgien, le docteur Alexandre, n'a pu donner dautre détail sur les fractures et leurs conséquences, estimant létat du blessé assez préoccupant.<o:p></o:p>
Il sagit de <o:p></o:p>
LEcho du Roannais
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Bien sur les puristes ne sy retrouvent pas dans les routes ! Mais il ne sagit que dune « nouvelle ». Toutefois à la lecture de louvrage la clinique Saint-Joseph didentifie complètement à lancienne clinique Bellevue du faubourg Clermont à Roanne, aujourdhui maison de retraite.