• blog 2011 mots
     

    JOUONS AVEC LES MOTS

     

    Taser : instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.

     

    Beauté intérieure : concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.

     

    Cellulite : couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes, mais emballe rarement les hommes.

     

    Alcoolique : quelqu’un que vous n’aimez pas et qui boit autant que vous (Coluche).

     

    Voiture : invention ingénieuse permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.

     

    Marée noire : quand les poissons sont habillés par Total.

     

    Le carré : un triangle réussi ou une circonférence qui a mal tourné.

     

    Porte-clefs : invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d’un coup au lieu de les perdre une par une.

     

    Cravate : accessoire servant à indiquer la direction de ce qui sert de cerveau à l’homme.

     

    Masochisme : concept proche de la politesse–frapper avant d’entrer.

     

    Archéologue : le meilleur mari qu’une femme puisse espérer : plus elle vieillît, plus il s’intéresse à elle (Agatha Christie).

     

    Auto-stoppeuse : jeune femme généralement jolie et court vêtue qui se trouve sur votre route quand vous êtes avec votre femme (Woody Allen).

     

    Quelques phrases bien « françaises » :

    ·        Nous portions nos portions

    ·        Les poules du couvent couvent

    ·        Mes fils ont cassé mes fils

    ·        Il est de l’est

    ·        Cet homme est fier. Peut-on si fier ?

    ·        Nous relations ces intéressantes relations.

    ·        Nous acceptions ces diverses acceptions de mots

    ·        Nous inspections les inspections elles-mêmes

    ·        Nous exceptions ces exceptions

    ·        Je suis content qu’ils nous content cette histoire

    ·        Il convient qu’ils convient leurs amis

    ·        Ils ont un caractère violent et violent leurs promesses

    ·        Ces dames se parent de fleurs pour leur parent.

    ·        Ils expédient leurs lettres c’est un bon expédient

    ·        Nos intentions c’est que nous intentions un procès

    ·        Ils négligent leur devoir, moi, je suis moins négligent.

    ·        Ils résident à Paris chez le résident d’une ambassade étrangère

    ·        Les cuisiniers excellent à composer cet excellent plat

    ·        Les poissons affluent d’un affluent de la rivière.

     

                                                     Source Revue : LA VOIX DE L’ANR


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  • chavalon batiment vieux de trois siecle
     

    SAINT-CYR-DE-FAVIERES

     

    L’histoire de Chavalon éditée par les « Chemins du Passé »

     

    Le fascicule relatant l’histoire des bâtiments de l’actuelle Manufacture du Crin de Chavalon de l’Hôpital-sur-Rhins a été remis en mairie.

     

    Cet ouvrage a été dédicacé par la présidente de l’Association des « Chemins du Passé » de Saint-Symphorien-de-Lay, Isabelle Pignard, Bertrand Lacroix et Jean-Pierre Rey, en présence du maire, Paul Deloire, et des personnes ayant contribué aux recherches sur ce bâtiment historique.

     

    En 1668, sur ce lieu était édifié un moulin, avant l’établissement d’une féculerie. Ensuite, une usine de produits chimiques s’est implantée ; Puis, durant la Seconde guerre mondiale une usine de matière plastique.

     

    Changement d’exploitation dans les années 1960 lorsque des citernes en inox y étaient construites, avant sa destination en 2008 : La Manufacture Française du Crin.

     

    De nombreuses personnes y ont travaillé, contribuant à l’extension du hameau de l’Hôpital-sur-Rhins.

     

    Sous le titre « Du grain à moudre, en passant par le brun à poudre, jusqu’au crin à coudre, Chavalon, trois siècles d’histoire d’un patrimoine bâti sur l’Hôpital-sur-Rhins, commune de Saint-Cyr-de-Favières », cet ouvrage est en vente, disponible en mairie et à la Manufacture du Crin.

     

                                                                                    Progrès du 29 juillet 2011


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  • digue de pinay
     

    photographie 1873

    IMPORTANCE  DE LA DIGUE DE  PINAY

    Aujourd’hui disparue avec la construction du barrage de Villerest, la digue de Pinay fut pendant des siècles le seul rempart d’une grande partie de la France contre les crues dévastatrice du fleuve Loire.

    En effet pendant longtemps il s’agit de la richesse et la sécurité de plus de cinquante villes de Roanne à Nantes et de plus vingt départements qui sont en jeu.

    En 1702, la compagnie Lagardette fit sauter les rochers qui gênaient le passage des bateaux, triste opération car par la suite les moindres crues plus retenues firent des ravages. Les ingénieurs Poictevin et Mathieu sur ordre de Louis XIV pour mettre fin à cet état de chose proposèrent l’édification de trois digues,  à Pinay, au château de la Roche et à Saint-Maurice.

    Une première digue fut donc construite à Pinay sur l’emplacement  et les ruines d’un pont romain en juillet 1711. Oublié ce colossal rempart ne tarda pas à devenir une riche carrière où les habitants du voisinage venaient puiser.

    Les dalles en pierre de REGNY (s’agissait-il du célèbre « marbre noir » ?) qui recouvraient toute la digue disparurent ; les inondations firent des dégradations conséquentes, la crue de 1790 lui occasionna de graves dommages.

    En 1846, la digue considérablement diminué de son élévation primitive, laissa passer une quantité énorme d’eau.

    En 1847, M. Varinard, conseiller d’arrondissement, attire l’attention sur ce problème, sans  résultat. Interpellé sur l’utilité et de l’heureux effet de la digue de Pinay le ministre des travaux publics, M. Jayr demande un rapport (qui fut favorable)  à M. Boulangé, ingénieur en chef du département, une étude approfondie démarra, stoppée par les événements de février 1848.

    Quelques extraits du rapport (crue 1846) de M. Boulangé :

    « Le maximum de la crue a eu lieu à Roanne, beaucoup plus tôt qu’à la digue soit 33 kilomètres en amont de Roanne. A la digue la crue a duré 48 heures ; 98 heures à Roanne, tandis qu’au Pertuiset, elle n’ duré que 24 heures.

    Ces anomalies dans la marche des eaux proviennent des digues de Pinay et de la Roche. Ces deux digues ne laissant aux eaux qu’un passage de 20 mètres de largeur, ont arrêté leur écoulement et ont formé, dans la partie basse de la plaine du Forez, un vaste réservoir où les eaux se sont emmagasinées, non seulement pendant toute la période croissante de la crue, mais encore pendant une partie de la période décroissante. L’accumulation des eaux sur ce point y a abattu un certain nombre de maison, mais en même temps elle a déposé, sur les terrains inondés, une couche de limon assez épaisse pour que, tout compensé, il soit parfaitement admis aujourd’hui qu’entre Feurs et la digue de Pinay l’inondation a fait plus de bien que de mal.

    Il y a lieu de faire une étude particulière des localités pour savoir si les digues de Pinay et de la Roche diminuent réellement l’intensité des crues en aval ».

     

    Le volume des eaux retenu par la digue de Pinay, déduction faite de celui qui se serait trouvé entre Feurs et la digue, sans le remous occasionné par elle, a été calculé par M. Boulangé et trouvé : plus d’une centaine de millions de mètres cubes retenue en arrière pendant 16 h 30 mn

     

    Si l’on compare ce volume à celui passé à Roanne (crue maximum) de 7300 mètres cubes à la seconde, calculs faits par M. Vauthier (Ingénieur en chef de la navigation de la Loire), on voit que, sans les digues de Pinay et de la Roche, ce volume aurait pu être de moitié  supérieur de ce qu’il a été ;

    Dans ce cas, la crue aurait duré beaucoup moins longtemps ; mais comme les dommages proviennent surtout de la hauteur à laquelle les eaux d’élèvent, il est probable que toute la partie inférieure de la ville de Roanne aurait été complètement détruite, et que tout le littoral en aval aurait éprouvé des dommages beaucoup plus considérables encore que ceux à déplorer.

    Et cependant cette crue, ainsi réduite, a occasionné pour 40 millions de dommage !

    Après les conclusions du rapport de M. Boulangé, les réparations à la digue ne pouvaient plus rencontrer d’opposition. Elles furent effectuées en 1849 et 1850, la digue de la rive droite seule fut l’objet de ces réparations. On l’éleva d’une partie de ce que les crues et les propriétaires voisins lui avaient enlevé, et elle fut portée à la hauteur de 17 mètres au-dessus de l’étiage. La digue de la rive gauche fut délaissée.

    Hélas, les crues de 1852, de 1856 et surtout celle de 1866 ont achevé ce que 1790 et 1846 avaient si bien commencé ; à la suite de l’inondation de 1856, l’Empereur, instruit des excellents résultats produit par la digue de Pinay, publia une lettre fameuse sur les inondations et les effets de cette digue.

     

    Nous avons cru que cette fois, MM. Les ingénieurs se hâteraient de perfectionner à Pinay, le système vanté avec tant de raison et de sagesse par l’écrivain impérial. Mais non le digueron délaissé en 1849 fut complètement écarté malgré son utilité et fit augmenter de quelques 30 à 40 millions de plus les chiffres des dommages occasionnés par la Loire.

     

    Cette situation doit cesser. Que faut-il pour cela ? Sont-ce des crédits énormes, capables de détruire l’équilibre du budget ? Non, nous l’affirmons, 80 000 francs de travaux, tout au plus, suffisent pour mettre à l’abri complètement et à tout jamais, non seulement la ville de Roanne, mais encore tout le littoral de la basse Loire.

     

    Il importe que la digue de Pinay et le digueron soient élevés de 2 à 3 mètres. Il importe qu’une écluse inébranlable ne permette jamais à plus de  6 000 mètres cubes d’eau de s’échapper à la fois. Un immense réservoir de 40 à 50 kilomètres de superficie existe au-dessus de la digue pour emmagasiner les produits de l’inondation, il faut l’utiliser ; 2 ou 3 mètres de plus à la digue de Pinay élèveront peut-être les eaux dans la plaine de 20 ou 30 centimètres ? Ce sera augmenter encore la masse des limons fécondants qui s’y déposeront. Quant aux maisons, qui  sur les deux rives, pourraient être atteintes, que de justes indemnités leur soient accordées. Par ces travaux l’on préviendra des désastres qui, en vingt ans, ont détruit ou coûté en réparations plus de 100 millions. En face de pareils chiffres, que peuvent signifier les quelques indemnités qu’il faudrait accorder. En 1846, on se souvient que la malle-poste faisant le service de Lyon à Bordeaux fut surprise dans la plaine par l’inondation, qu’elle fut entrainée par un courant violent qui déracinait même les arbres. Si la digue eût été élevée de 2 ou 3 mètres, cet événement qui coûta la vie à plusieurs personnes ne se fût pas produit.

    Au lieu d’un courant dévastateur, la plaine eût été couverte d’une eau tranquille qui eût mouillé, mais rien de plus. Le pont suspendu de Balbigny est souvent recouvert de plusieurs mètres par l’inondation ; qu’en résulte-t-il ? Absolument rien, pas une seule planche n’est emportée; le pont prend un bain, voilà tout. Ces effets sont donc infiniment préférables à ceux que produirait le courant de la Loire.

    Sans la digue de Pinay, les Plaines de Balbigny ne seraient qu’une immense grève sablonneuse et stérile.

    Si le gouvernement pense aux incalculables services rendus par la digue de Pinay, il comprendra immédiatement ceux que les réparations que nous le prions de faire sont appelées à rendre.

              Francis POTHIER, Mars 1868 (extraits de l’ouvrage Le Pont de Roanne et les inondations de la Loire).


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  • blog 2011 lettre verte
     

    LA LETTRE VERTE

    Le 1° juillet, le timbre-poste aura augmenté. Il passe de 0,58 € à 0,60 € (+ 3,4%) pour la lettre prioritaire jusqu’à 20 grammes. (1)

    Le tarif Ecopli augmente de 3,8% et se situe ainsi à 0,55 € pour la lettre de 1er échelon de poids.

    Tous les tarifs changent sauf celui de la lettre recommandée (jusqu’à 20 grammes)

     

    Le 1° octobre une innovation majeure sera la création d’un troisième tarif, la Lettre verte,concept né des enquêtes d’opinion que La Poste mène auprès de ses clients. 63% des clients veulent une distribution le surlendemain pour les flux distants et 80 % d’entre attendent des engagements écologiques dont la réduction des émissions polluantes.

    La lettre verte(2)va dans ce sens ; une distribution à J+2, un tarif plus économique que celui de la Lettre prioritaire, 0,57 €, et un transport plus respectueux de l’environnement ne nécessitant pas l’utilisation de l’avion (hors Corse et DOM).

    La formule comprendra des timbres Lettre verte 20g, 50g, 100g et 250 g, un carnet de 12 timbres lettre verte 20g, un carnet DAB de 20 timbres lettre verte et autres produits comme les P-à-P. Pour distinguer facilement la lettre verte de l’Ecopli, le timbre pour l’affranchissement de celui-ci change de couleur et devient gris.(3)

    Par ailleurs, pour répondre au souhait des clients de la Poste qui veulent un dépôt plus tardif l’entreprise postale crée la lettre en ligne avec un tarif de base de 0,99 €. Le message saisi par internet (heure limite : 19 h) est transformé en message papier qui est distribué le lendemain.

    Dernière innovation : les timbres d’usage courant ne porteront plus de valeur faciale mais mentionneront le poids.

    (1) Justement, on constate un abaissement de la qualité de service en 2010. Pour la première fois depuis 2005, le délai d’acheminement à J+ 1 s’est dégradé : l’an passé, seules 83,4 % des lettres prioritaires sont bien arrivées le lendemain de leur envoi, contre 84,7 % en 2009. 12,6 % ont mis deux jours pour arriver et 4 % plus de deux jours.  

    (2) Autrement dit, une offre quasi similaire au tarif lent (l’Ecopli), mais 2 centimes plus cher. Certes, la Poste promet un délai d’acheminement en 48 heures, alors qu’il est annoncé à 3-4 jours en Ecopli. Mais le client qui n’est pas pressé voudra-t-il payer 2 centimes de plus ? Et ce d’autant qu’il ne bénéficie d’aucun dédommagement si le délai des 48 heures n’est pas tenu.

    (3) Philatéliste ouvre ton porte-monnaie pour tenir ta collection à jour.

    VU SUR INTERNET

    Vers la fin de J+1 ? : L’arrivéede ce nouveau tarif avec distribution en J+2 à grand renfort de communicationannoncerait-t-elle la fin du J+1 ? Durant toute la bataille sur la privatisation, nos dirigeants et le gouvernement n’ont cessé de marteler que celle-ci n’aurait aucune conséquence sur le service public (au contraire, sic) et que le J+1 resterait la norme !

     Pour la fédération SUD PTT, le travail de nuit (même s’il est reconnu nocif pour la santé) est indispensable aux missions de service public que sont le J+1 et la distribution du courrier 6 jours sur 7. L’aménagement du travail de nuit en 2 nuits sur 4 était le moins mauvais pour la santé des agents en terme de rythme et de récupération. Pourtant La Poste a fait le choix de supprimer ce rythme de travail au profit de brigades atypiques (22/6, 0/6, boulangères...), éprouvantes et dangereuses pour la santé des personnels, dans le seul but de faire des économies. Aujourd’hui les annonces dans les centres, avec l’arrivée de la « lettre verte », laissent présager de nouvelles restructurations en nuit, en faisant fi du choix de vie des personnels concernés et sans la moindre préoccupation pour leur vie privée et sociale.

     

    Elle a bon dos l’écologie !L’argument principal utilisé serait une prise de conscience écologique de nos dirigeants. Mais personne n’est dupe. La concentration de trafic, via la fermeture progressive des CTC, a mis plus de camions sur les routes ces dernières années. Pour exemple, la fermeture de deux CTC en Bretagne (pour concentrer principalement le trafic sur Rennes-Airlande) fera parcourir à chaque camion plus d’un million de kilomètres supplémentaires par an. De plus, l’affectation des agents sur les PIC nouvellement construites s’est traduite pour une majorité des personnels par une utilisation plus importante du véhicule (en terme de kilomètres parcourus). Enfin, la disparition des 2 nuits sur 4 et le passage en brigades atypiques ou de jour, augmentant le nombre de vacations annuelles (entre 40 et 60 vacations supplémentaires par an), est loin dêtre une mesure écologique !!!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • blog 2011 facteur rural 1830
     

    LA POSTE EN ROANNAIS (vacances 2011) : LA POLITIQUE DE L’AUTRUCHE

    Un nouveau statut, une nouvelle organisation, un financement conséquent et pourtant cette nouvelle POSTE, qui vient d’augmenter le prix des affranchissements ; ne fonctionne pas du tout  comme il faut et même plus mal qu’avant dans la région Roannaise.

    Interpellée par de élus  la directrice Loire, Drôme, Ardèche : Sophie Hertling, rappelle que pour elle : « la qualité de service n’a jamais été aussi élevée dans la Loire ».

    Cette qualité elle est bien la seule à la voir, partout et en particulier à la « distribution » les problèmes sont récurrents, les tournées sont souvent  « à découvert ». La distribution des lettres toujours en retard, et surtout jamais à J+1 et comment pourrait-il en être autrement quand  « plusieurs tournées postales ont été supprimées ponctuellement dans le Roannais : une sur St-Forgeux-Lespinasse/Noailly lundi 25 juillet, une sur St-Germain-Lespinasse le lendemain. Et cette semaine, ce sont les foyers de St-Jean-St-Maurice et Lentigny qui sont alternativement privés de courrier, afin de respecter l’engagement de La Poste de ne pas laisser une tournée à découvert deux jours de suite. » (Le Progrès de Lyon du 4.08.11)

    Sophie Hertling cautionne un retour en arrière de 180 ans

    Jusque dans la fin des années 1820, les campagnes ne sont pas desservies par les postes ! Cette carence cesse avec le vote, le 10 juin 1829, de la loi créant un service postal rural.

    La distribution a lieu un jour sur deux. Cinq mille facteurs couvrent 220 000 kilomètres de tournées (45 kilomètres en deux jours par facteur). Le « droit fixe rural » s’élève à dix centimes.

    En 1832, les tournées deviennent quotidiennes. Le facteur rural travaille sans uniforme, par souci d’économie. Cinq ans plus tard l’Administration lui impose, mais sans lui fournir, un uniforme spécifique : habit de drap bleu roi et parements bleus à boutons dorés, collet droit de couleur rouge, chapeau  haut de forme verni.

    Il peut aussi porter une blouse de toile bleue à condition que la plaque réglementaire portant les mots « Service rural » soit apparente.

    Les lettres à transporter sont contenues dans un portefeuille de cuir noir porté devant, accroché à la ceinture.


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