• fin AIX ECHOS

     

    AIX-ECHOS…c’est fini ?...

     

    Aix-Echos est dans sa 24° année. Premier numéro sorti en juillet 1989.

    Nous étions 8 ou 10 personnes au départ…

    Certains collectant les informations, d’autres prenant en charge une rubrique (Vie associative, Histoire, Ecologie, Poèmes…) ou réalisant la mise en page, d’autres assurant des tâches administratives (comptabilité, fichier abonnés…) ou matérielles (tirage, assemblage, pliage, mise sous bandes, points de vente sur cantons…).

    Au fil des années, quelques-uns nous ont quittés, d’autres ont rejoint l’équipe. Avec l’évolution des techniques, les tâches matérielles se sont bien simplifiées. Actuellement nous nous retrouverons à six.

    A l’occasion du 20° anniversaire en 2009, nous espérions un renouvellement, un renforcement, un rajeunissement de notre groupe…

    Depuis des mois, l’un des deux qui restent de l’équipe de départ envisage de prendre «  sa retraite ». AIX-ECHOS ne pourra pas continuer avec une équipe encore plus réduite.

    Deux solutions :

    Ou des lecteurs, des animateurs d’associations locales, des personnes intéressées par l’information, conscientes de l’utilité d’AIX-ECHOS proposent de venir renforcer et rajeunir  le « Comité de rédaction » ce qui représente une réunion par trimestre, un mois avant la sortie du journal, pour en prévoir le contenu et se répartir les rubriques ou articles.

     

    Ou Aix-Echos cesse de paraître.

    Nous nous donnons jusqu’au numéro d’avril 2013 pour en fonction des réponses et propositions, prendre la décision et vous en informer. Nous souhaitons que des volontaires se manifestent pour qu’AIX-ECHOS puisse continuer, se développer, trouver une nouvelle jeunesse.

    A vous de jouer…d’inciter l’un ou l’autre de vos proche à d’engager…

                                              Marcel Régny

    AIX-ECHOS      Journal trimestriel du Canton de St-GERMAIN-LAVAL

    • B.P. 15                42260 St-GERMAIN-LAVAL
    • Tél et Fax : 04 77 65 43 65
    • Abonnement un an : à partir de 6 euros
    • CCP LYON 800 11 S

    Ce journal est édité par l’Association AIX-ECHOS, association sans but lucratif (loi 1901) qui a pour objet de favoriser l’information locale, de stimuler le dialogue, la vie démocratique, de contribuer au rapprochement et à la coopération entre collectivités, générations, à une meilleure connaissance de notre patrimoine, de notre Histoire.

    Rédaction :

    • Actuel : Marcel Régny
    • Aix-pression : Claire Burgos
    • Histoire locale : Marcel Régny
    • Points de vue : Christian Ferlin
    • Culture : F. Bonnard-Martinon, C. Ferlin
    • Dossiers : Marcel Régny
    • Météo : Christian Ferlin
    • Vie associative et locale : M. Régny, R. Tissier

    Autres tâches :

    • Correcteur : Jacqueline Peurière-Ferlin.
    • Mise en page : Christian Ferlin, Marcel Régny
    • Tirage, assemblage et expédition : C. Ferlin, M. Régny.

     

    Gageons que de nouvelles personnes viendront renforcer l’équipe actuelle. AIX-ECHOS est un trimestriel très intéressant qui ne mérite pas de disparaître. (Les Chemins du Passé)


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  • BLANCHIR ARGENT
     
     

    L’argent des riches (LA FRAUDE FISCALE)

    Les quelques estimations qui existent montrent toutes que la fraude fiscale est colossale : le Syndicat national Solidaires Finances Publiques (ex SNUI) l’évalue entre 42 à 51 milliards d’euros par an, tandis que la Commission européenne avance pour sa part une fourchette moyenne de 2 à 2,5 % du produit intérieur brut (PIB), soit 39 à 49 milliards d’euros pour la France. Tous, les travaux montrent qu’elle se développe se diversifie se complexifie et s’internationalise.

    Dans le même temps, les moyens humains alloués au contrôle fiscal diminuent. Pourtant, un rapide calcul montre que chaque personne, travaillant dans la sphère du contrôle fiscal, présente un niveau annuel de redressement moyen par agent d’environ 1,4 million d’euros.

    Autant dire que les missions de détection, de programmation du contrôle fiscal sont particulièrement rentables. Malgré tout, l’idée fausse selon laquelle il y aurait trop de fonctionnaires à Bercy, solidement ancrée dans l’esprit des responsables politiques, bloque toute possibilité de renforcement en emploi et, pire, a conduit à en supprimer près de 25 000 entre 2002 et 2012 au sein de la direction générale des finances publiques.

    Pourtant les enjeux sont immenses, mais le décalage entre la réalité économique et les moyens dont dispose le contrôle fiscal continue de s’accroître.

    Des sanctions plus importantes

    A noter toutefois que le budget correctif pour 2012 a renforcé l’arsenal anti-fraude de l’Etat. Les sanctions encourues par les fraudeurs sont désormais beaucoup plus lourdes : il s’agit par exemple de rendre la sanction proportionnelle au montant présent sur les comptes à l’étranger.

    Pour un montant total non déclaré supérieur ou égal à 50 000 euros l’amende par compte sera de 5% du solde de chaque compte.

    Bercy précise également que l’administration fiscale dépose environ mille plaintes pour fraude fiscale par an « dans des affaires très frauduleuse ». Il s’agit de fraudes pour lesquelles les sanctions administratives sont considérées comme insuffisantes : le gouvernement propose donc d’en changer l’échelle.

    Dans le projet de loi, l’amende pénale est portée de 37 500 euros à 500 000 euros. En cas de circonstances aggravantes, le montant passe de 75 000 euros à 750 000 euros.

    Une troisième innovation vise les montages internationaux : si la fraude a été « réalisée ou facilitée « via une banque établie dans un Etat « non coopératif », la sanction monte alors à 1 million d’euros, et la peine d’emprisonnement de cinq à sept ans

                             Revue « La Voix de l’ANR » octobre 2012

    P.S : Les sans-abris, les chômeurs, les emplois précaires, les petits salaires, les petits retraités apprécieront, eux que l’on traite de « profiteurs et d’assistés »…


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  • DANSE MACABRE
     

    C’est le pape Jean XVI qui institua, dit-on, la fête des morts vers le milieu du dixième siècle. De cela seul je conclus qu’on priait pour eux auparavant ; car, si on se mit à prier pour tous, il est à croire qu’on priait déjà pour quelques-uns d’entre eux, ne même qu’on inventa la fête de tous les saints que parce qu’on avait longtemps auparavant fêté plusieurs bienheureux. La différence entre la toussaint et la fête des morts, c’est qu’à la première nous invoquons, et à la seconde nous sommes invoqués ; à la première nous nous recommandons à tous les heureux, et à la seconde les malheureux se recommandent à nous.

    Les gens les plus ignorants savent comment cette fête fut instituée d’abord à Cluni, qui était alors terre de l’empire allemand. Faut-il redire « que saint Odilon, abbé de Cluni, était coutumier de délivrer beaucoup d’Ames du purgatoire par ses messe et par ses prières ; et qu’un jour un chevalier ou un moine revenant de la terre sainte, fut jeté par la tempête dans une petite ile où il rencontra un ermite, lequel lui dit qu’il y avait la auprès de grandes flammes et furieux incendies où les trépassés étaient tourmentés, et qu’il entendait souvent les diables se plaindre de, l’abbé Odilon, et de ses moines qui délivraient tous les jours quelques âmes ; qu’il fallait prier Odilon de continuer, afin d’accroître la joie des bienheureux au ciel, et la douleur des diables en enfer ».

    C’est ainsi que frère Girard jésuite raconte la chose dans sa  Fleur des Saints, d’après frère Ribadeneira. Fleury diffère un peu de cette légende, mais il en a conservé l’essentiel.

    Cette révélation engagea saint Odilon à instituer dans Cluni la fête des trépassés, qui ensuite fut adoptée par l’Eglise.

     

    C’est depuis ce temps que le purgatoire valut tant d’argent à ceux qui avaient le pouvoir d’en ouvrir les portes. C’est en vertu de ce pouvoir que le roi d’Angleterre Jean, ce grand terrien, surnommé sans terre, en se déclarant homme-lige du pape Innocent III, et en lui soumettant son royaume, obtint la délivrance d’une âme de ses parents qui était excommuniée : pro mortue excommunicato pro quo supplicant consanguinci.

    La chancellerie romaine eut même son tarif pour l’absolution des morts ; il y eut beaucoup d’autels privilégiés où chaque messe qu’on disait au  quatorzième siècle et au quinzième, pour six liards, délivrait une âme. Les hérétique avaient beau remontrer qu’à la vérité les apôtres avaient eu le droit de délier tout ce qui était lié sur terre, mais non pas sous terre, on leur courait sus comme à des scélérats qui osaient douter du pouvoir des clefs. Et en effet, il est à remarquer que, quand le pape veut bien vous remettre cinq ou six cents ans de purgatoire, il vous fait grâce de sa pleine puissance : Pro potestate à Deo accepta concedit.

                           

                                              Voltaire (Dictionnaire Philosophique)


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  • livre Fourneau
     

    LE TEXTILE A FOURNEAUX

     

    Petite (mais grande) histoire du textile de Fourneaux (Loire)

     

    Quand 3 usines de tissage avec 200 personnes fonctionnaient quotidiennement sur le village dans les années 1950, au son du « tiacapan » (les lyonnais disent « bistenclac) jusqu’à l’électronique au second millénaire…

    Mais tout est allé si vite en 50 ans.

    Aujourd’hui, en 2012, il reste une douzaine de tisseurs !!!

    Auteurs : Les Chemins du Passé,  sous la direction de Bertrand LACROIX   

    • Format 210 x 297
    • 156 pages, recto verso
    • 180 illustrations couleur et  noir et blanc
    • Parution : septembre 2012, ouvrage édité pour La fête de « La Groasse » (poule).
    • Prix de vente : 30 EURO plus port
    • Inprimeur : Multis Imprimerie, 69890 La Tour de Salvagny

     

    Pour plus de renseignements écrire à Isabelle PIGNARD, Ratille, 42540 CROIZET-SUR-GAND

    Contact : 06.80.06.25.40


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  • CHEMIN REUNION  AVRIL
     

    Je vous donne rendez-vous le vendredi 19 octobre 2012 à 20h, à notre local, 6 rue de l’Ancienne Poste à St Symphorien de Lay, pour aborder les sujets suivants :

     

    • Livre sur le textile à Fourneaux
    • Organisation de la conférence sur « le Tour de France en 1914 » (par Mr Bourgier)
    • Microtoponymie
    • Questions diverses
    • Quart d'heure culturel

    Nous comptons sur votre présence ce jour là.

     

                                                                                   La Présidente

     

                                                                                   Isabelle PIGNARD

     

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