Photographie : Bernard et Henri, juste avant la rencontre de rugby France-Argentine<o:p></o:p>

Lors de mon dernier séjour à l’hôpital, j’ai partagé ma chambre avec un délicieux monsieur de 87 ans : Henri RIU.

Jeune joueur de jeu à XIII en la bonne ville Catalane de Perpignan, à la fin de la seconde guerre mondiale, il est remarqué par monsieur Devernois, industriel du Coteau qui le fait venir à Roanne. En effet celui-ci vient de remonter une équipe et désire tout de suite des résultats probants.

Excellent joueur, Henri intègre, la toute nouvelle équipe de France de Jeu à XIII, il sera international à plusieurs reprises et en particulier contre : le Pays de Galle, l’Australie, la Nouvelle-Zélande etc.…Il sera également plusieurs fois champions de France et vainqueurs de la coupe, en particulier avec les équipes de Roanne et de Lyon.

Ayant trouvé l’âme sœur à Vougy, il s’installe définitivement dans la région roannaise (mais sans oublier sa bonne ville de Perpignan où il se rend souvent) et va travailler avec son épouse pendant de longues années, aux établissements Devernois du Coteau.

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<st1:PersonName productid="LA POSTE AUX" w:st="on">Nouveau succès de
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<st1:PersonName productid="LA POSTE AUX" w:st="on">LA POSTE AUX</st1:PersonName> CHEVAUX, conférence du 3 décembre 2006 à<o:p></o:p>

 SAINT HAON LE CHATEL<o:p></o:p>

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Bonjour mesdames, bonjour messieurs

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Je vous remercie de votre présence, je remercie également la société HISTOIRE et PATRIMOINE et son président Bernard MERIC, de bien vouloir m’accueillir dans ce bel hôtel PELLETIER de Saint-Haon-le-Châtel.

Je remercie également Jean Mathieu le généalogiste bien connu de son invitation

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La conférence se déroule en deux parties :<o:p></o:p>

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·        je vous parlerai de l’organisation de <st1:PersonName productid="LA POSTE" w:st="on">la Poste</st1:PersonName> aux Chevaux, des relais, des gens qui y travaillent, de la façon de voyager, mais aussi de la vie dans les auberges.

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·        Dans un second temps nous relayerons ensemble d’une façon plus précise entre  <st1:PersonName productid="LA PACAUDIERE" w:st="on">LA PACAUDIERE</st1:PersonName> et TARARE.

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En conclusion nous nous arrêtons quelques instants sur : L’AFFAIRE DU COURRIER DE LYON

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« Mais écouter ! Écouter ! Nous entendons dehors, les tintements des grelots, le piaffement des chevaux impatients de s’élancer, le bruit de leurs sabots grattant sur les pavés de la route.<o:p></o:p>

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Mes Amis je crois qu’il est temps de partir »……………<o:p></o:p>

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JE REMECIE MADAME CRETOUX PAULETTE DE M’AVOIR SI TALENTUEUSEMENT « CROQUEE » PENDANT <st1:PersonName productid="LA CONFERENCE." w:st="on">LA CONFERENCE.</st1:PersonName><o:p></o:p>

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SAINT-NIZIER-SOUS-CHARLIEU<o:p>
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Une cinquantaine de personnes à la conférence sur<o:p></o:p>

<st1:PersonName productid="LA POSTE AUX" w:st="on">LA POSTE AUX</st1:PersonName> CHEVAUX<o:p>

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Le dimanche 12 novembre, Arcanson avait convié, à la salle des Boiseries du château de Carillon, Bernard Hugues, de l’association : les « Chemins du Passé », pour présenter l’histoire étonnante du transport du courrier au pas des chevaux.<o:p></o:p>

Le récit est le fruit de plusieurs années de recherches et de passion.<o:p></o:p>

Les cinquante personnes présentes ont pu suivre, au travers du fil rouge de deux personnages, le trajet détaillé des premiers transports de courrier, de Paris à Lyon, en passant par Roanne.<o:p></o:p>

Le récit du voyage, au travers de la région de Tarare à <st1:PersonName productid="la Pacaudi￨re" w:st="on">la Pacaudière</st1:PersonName>, en passant par Roanne et le Coteau, avec gestes, anecdotes et humour, a passionné le public présent.<o:p></o:p>

« De tout temps, il y eut des embouteillage sur les routes ! » a indiqué le conférencier. On a pu aussi apprendre que l’origine des hôtels restaurants dénommés  Au Lion d’or, venait de l’expression  « Au lit, on dort », et que les premières bornes kilométriques dataient de 1830.<o:p></o:p>

Les relais furent remplacés, dès 1873, par le chemin de fer et ce fut la fin de la poste aux chevaux.<o:p></o:p>

                                                       Journal « Le Progrès »<o:p></o:p>

 

ET SI ON RESTAIT EN VIE ?<o:p></o:p>

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La RN7-RN82 depuis 1995, c’est :

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• 1233 accidents
• 206 morts
• 471 blessés graves
• 1251 blessés légers
• Un indice de gravité des accidents supérieur à 30 alors qu’il est de 11,2 sur l’ensemble du réseau français à 2 X 1 voie.

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La RN7-RN82 aujourd’hui, c’est :

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• Des communes rurales défigurées par le passage d’un axe de circulation inadapté au trafic moderne.
• Des centres-bourgs pollués par un flux de 16 000 véhicules par jour dont 40% de poids lourds
• Des nuisances sonores insupportables
• Des façades qui se noircissent
• Des habitations laissées à l’abandon

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L’inadaptation de la RN7-RN82 aux exigences des transports et relations modernes conduit à :

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• Des échanges économiques difficiles
• Une immense difficulté à renouveler notre tissu économique par l’arrivée de nouvelles entreprises, créatrices d’emploi
• 36 000 emplois perdus en 15 ans
• Un déclin démographique (70 000 habitants perdus depuis 1975) avec des conséquences dramatiques sur les services publics (écoles rurales, bureaux de poste…)
• Une dévalorisation de l’image de nos territoires
• Une montée en puissance des activités touristiques fortement pénalisées.

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NOTRE EXIGENCE, VOTRE EXIGENCE :<o:p></o:p>

La RN7-RN82 à 2 X 2 voies en 2013 !<o:p></o:p>

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Nous voulons que l’Etat mette en place, dans les plus brefs délais un PROGRAMME UNIQUE de réalisation des travaux de financement assorti d’un FINANCEMENT GARANTI<o:p></o:p>

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L’état a depuis longtemps reconnu l’importance de cet axe :<o:p></o:p>

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·        En 1979, il présentait la RN7 comme une « Grande liaison d’aménagement du territoire »<o:p></o:p>

·        En 1989, il mettait en place un Programme spécifique d’accélération (PSA) destiné à aménager, en 8 ans, une partie de l’itinéraire en 2 X 2 voies.<o:p></o:p>

·        En 1995, il promulguait un arrêté de déclaration d’utilité publique afin d’assurer la maîtrise foncière de l’ensemble de l’itinéraire.<o:p></o:p>

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Aujourd’hui, la réalisation des 243 kilomètres reliant l’A77 (au nord) à l’A89 (au sud) devrait être terminée !<o:p></o:p>

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C’est loin d’être le cas :<o:p></o:p>

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·        60 kilomètres n’en finissent pas d’être à l’étude ou en travaux<o:p></o:p>

·        83 kilomètres ne sont ni programmés ni financés.<o:p></o:p>

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OUI, je veux :<o:p></o:p>

LA N7 à 4 voies…VITE<o:p></o:p>

Nevers – Moulins – Roanne<o:p></o:p>

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Les partenaires : l’Union sacrée<o:p></o:p>

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Département de la Nièvre : Association Nivernaise RN7 – 2 X 2 voies, Chambre de commerce et d’industrie de la Nièvre, Chambre de métiers de la Nièvre, Chambre d’agriculture de la Nièvre, Interconsulaire de la Nièvre. <o:p></o:p>

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Département de l’Allier : Association RN7 – 2 X 2 voies Allier, Chambre de commerce et d’industrie de Montluçon-Gannat, Chambre de commerce et d’industrie de Moulins, Vichy, Chambre de métiers de l’Allier, Chambre d’agriculture de l’Allier, Interconsulaire de l’Allier. <o:p></o:p>

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Département de la Loire : Association sécurité RN7-RN82  2 X 2 voies Sud Allier-Loire Nord, Chambre de commerce et d’industrie du Roannais, Chambre de métiers de Roanne, Chambre d’agriculture de la Loire, Loireconsulaire<o:p></o:p>

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