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    MOYENS DE DETRUIRE LES RATS<o:p></o:p>

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    Ayez une douzaine de rats vivants, enfermez-les dans quelque vaisseau de bois ou de terre dont ils ne puissent sortir, et laissez-les y ensemble sans aucune nourriture ; on verra au bout de quelques jours qu’ils commenceront à se manger les uns les autres ; le plus vigoureux restera enfin seul, on le lâchera dans la maison ; il sera habitué de manger ses semblables, il ne cherchera plus d’autre nourriture, et les détruira ainsi jusqu’au dernier (Encycl. Méth.)

    Des exemples que nous avons eus sous les yeux nous ont prouvé que ce moyen était infaillible.

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    Autre moyen : quand les rats dévorent un jardin, on coupe une  barrique en deux ; on en enterre moitié qu’on remplit de <st1:metricconverter productid="6 pouces" w:st="on">6 pouces</st1:metricconverter> d’eau ; on recouvre avec des planches jointes, et on met sur la couverture un fil de fer placé verticalement, et recourbé à l’extrémité supérieure. On y suspend un morceau de lard rôti, une noix grillée, un fruit ou tout autre appât au-dessus d’une bascule établie dans la couverture par où le rat tombe dans l’eau.

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    Autre moyen : prenez 24  noix épluchées, et un peu rissolées sur une pelle, avec une demi-livre de fromage d’Auvergne, et 6 noix vomiques râpées à la lime. Pilez le tout dans un mortier pour en former une espèce de pâte que vous partagerez en plusieurs morceaux de la grosseur d’un œuf de pigeon, et que vous placerez dans les endroits infestés par les rats et les souris.

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    Moyen  d’éloigner les rats : une caisse de sel succin, mise dans un  magasin ou dans u n appartement, en éloigne bientôt tous les rats qui ne peuvent supporter les exhalaisons de ce sel (Bibl. phys. Econo.)

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    Tous ces bons conseils sont consignés dans :<o:p></o:p>

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    ENCYCLOPEDIE<o:p></o:p>

    DOMESTIQUE<o:p></o:p>

    RECUEIL<o:p></o:p>

    DE PROCEDES ET DE RECETTES<o:p></o:p>

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    CONCERNANT<o:p></o:p>

    LES ARTS ET METIERS, L’ECONOMIE RURALE ET DOMESTIQUE<o:p></o:p>

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    Et applicable à tous les états<o:p></o:p>

    ET DANS TOUTES LES CIRCONSTANCES DE <st1:PersonName productid="LA V IE" w:st="on"><st1:PersonName productid="LA V" w:st="on">LA V</st1:PersonName> IE</st1:PersonName><o:p></o:p>

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    PARIS 1822<o:p></o:p>

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    Sur cette photo de janvier 1956, prise au cabaret « Chez Gilles » nous pouvons reconnaître : … Françoise Dorin, Claude Piéplu, Henri Garcin, Jean Poiret, Cora Vaucaire, Jacques Brel, Michel Serrault…<o:p></o:p>

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    SERRAULT  Michel<o:p></o:p>

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    Né à Brunoy en 1928, venu du cabaret comme son complice Jean Poiret, il débute dans un film avec Robert Dhéry : Ah ! Les belles bacchantes (Jean Loubignac, 1954) une carrière d’amuseur qui culminera avec la cage aux folles (E. Molinaro, 1980). A côté de dizaines de pochades anodines, il révèle un côté plus grinçant dans plusieurs films de Jean Pierre Mocky : les Compagnons de <st1:PersonName productid="la Marguerite" w:st="on">la Marguerite</st1:PersonName> (1966) ; Un linceul n’a pas de poche (1974) ; l’Ibis rouge (1975)  avant de faire surgir le malaise ou la folie dans les ambiances policières de Bertrand Blier : Buffet froid (1979), Claude Chabrol : les Fantômes du chapelier (1982) et surtout Claude Miller : Garde à vue (1981) ; Mortelle Randonnée (1983).<o:p></o:p>

    Il a également interprété : Bébert et l’omnibus (Yves Robert 1963), Le Roi de cœur (Ph. De Broca 1967) ; Moi, y’en a vouloir des sous (J. Yanne, 1973), Préparez vos mouchoirs (Bertrand Blier, 1977), l’Argent des autres (Ch. De Chalonge, 1978), les Quarantièmes rugissants (Ch. De Chalonge, 1982), Le Bon Plaisir (F. Girot 1984), A mort l’arbitre (Jean Pierre Mocky 1984), Les Rois du gag (Claude Zidi, 1985), On ne meurent que deux fois (J. Deray 1985), Mon beau-frère a tué ma sœur (J. Rouffio, 1986), Le Miraculé (Jean Pierre Mocky 1987)…… et la liste est longue encore.<o:p></o:p>

    Dictionnaire du cinéma français (France Loisirs 1988)<o:p></o:p>

    MERCI MONSIEUR SERRAULT DE SI BIEN NOUS DIVERTIR<o:p></o:p>


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    AU TEMPS DES MAISONS FORTES<o:p></o:p>

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    Ouvrage de 78 pages recto verso (noir et blanc)<o:p></o:p>

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    Sur la page de gauche : carte, plan pour localiser la maison forte et illustration dessinée de celle-ci par G. Patay.<o:p></o:p>

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    Sur la page de droite : historique de la maison forte.<o:p></o:p>

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    37 maisons fortes sont ainsi  décrites : Valfort, Vareilles, Le Verdier, Changy, Rilly, Ratille, Passinge, Le Plat Coupy, l’Aubépin, Sarron, Pesselay, la Verpillère, La Forest, Maison forte de Lay, Valorges, Lorgue, Le château de Pradines, Bourg fortifié de Régny, Cucurieux, Villars, Château de la Roche, Château de Saint-Priest-la-Roche, Tréfond, Ronfin, Maroilles, Montgaland, La Pinée, Peray, L’Orme, Buttery-La Cloître, Matoray, La Buffetiere, Servy, Péricard, Ronchevol, Fort de Saint-Victor, Eglise fortifiée de Vendranges.<o:p></o:p>

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    L’ouvrage est en vente 15 EURO pendant l’exposition, prévoir des frais de port en plus en cas d’envoi par la Poste.<o:p></o:p>

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    Le mot de la Présidente :<o:p></o:p>

       En plus des écrits et textes, notre Moyen Âge local, objet de notre exposition annuelle 2007, ne peut se vivre qu’a travers une rétrospective des habitats particuliers qui en ont gardé et conservé l’empreinte.<o:p></o:p>

       L’Association des Chemins du Passé a voulu publier un fascicule sur les maisons fortes locales pour en conserver le si riche souvenir. Résister si longtemps aux usures des siècles prouvent l’efficacité et la robustesse de certaines constructions toujours debout.<o:p></o:p>

       Aujourd’hui cette époque nous paraît si lointaine : 600 ou 700 ans en arrière ont peine à s’envisager avec nos yeux que plus rien n’étonne et avec la facilité que nous avons de voyager dans le monde entier en quelques « clics ».<o:p></o:p>

       A cette époque là, tout était autre. Si les maisons fortes ont été mises en place, c’est avant tout une question sécuritaire que nous somme loin d’envisager actuellement quand nous sommes en temps de paix. De hauts murs crénelés à la masse imposante et de robustes contreforts de base paraissent aujourd’hui d’un autre âge pour un lieu de refuge ou d’habitation. Mais c’était alors la seule façon qu’avaient les habitants apeurés de se protéger contre les invasions de pillards durant cette période et spécialement pendant la guerre de 100 ans qui ravagea notre belle région. Notre devoir d’Association culturelle est d’en assurer le souvenir.<o:p></o:p>

       Avec une certaine nostalgie d’un temps où il faisait peut-être bon de vivre, je vous invite à la lecture d’un ouvrage retraçant la vie de nos ancêtres dans leurs habitats et sur le sol que nous foulons après eux<o:p></o:p>

       Bonne lecture<o:p></o:p>

                                                                                             Isabelle PIGNARD<o:p></o:p>

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  • Mars 1977, l'A.S.S.E. commence à construire sa légende en Coupe d'Europe, la BD TRIO et les PIEDS NICKELES ne manquent pas le départ de cette grande aventure.

    ALLEZ LES VERTS


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    LA HIERACHIE DES ALIMENTS<o:p></o:p>

    Dans un univers que les philosophes conçoivent comme ordonné verticalement, les aliments sont hiérarchisés selon leur plus ou moindre grande proximité à Dieu. Tout en haut de cette échelle de valeur figurent les oiseaux qui se meuvent dans l'air, le plus élevé des quatre éléments. Tout en bas, on trouve les plantes qui viennent de la terre. Encore faut-il bien distinguer entre les feuilles poussant sur une tige, tels choux ou pois, et celles qui partent de la racine (épinards, salades). Les racines elles-mêmes, comme carottes et raves, viennent seulement ensuite car elles poussent sous la terre, ainsi que les bulbes – oignon, poireau et ail – qui sont de loin les aliments les plus méprisés. Cette hiérarchie se vérifie dans les comptes alimentaires et est justifiée par les médecins. Les élites consomment ainsi beaucoup de volatiles et aussi des fruits, qui poussent sur des arbres en hauteur et conviennent donc parfaitement aux classes élevées de la société. En revanche, elles s'abstiennent à peu près complètement de légumes, laissés aux paysans. Pour les cas délicats, tels la fraise ou le melon, les médecins recommandent la plus grande prudence.<o:p></o:p>

    (B.N.F.)<o:p></o:p>

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