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    JOHN GRISCOM (1774-1852) de passage à Roanne<o:p></o:p>

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    Voilà comment cet américain, membre actif de la secte des Quakers, professeur de chimie et de philosophie dans un établissement de New York décrivait son passage dans notre région, pendant son voyage en Europe entre 1818 et 1819.<o:p></o:p>

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    Par Roanne<o:p></o:p>

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    Une autre route pour aller de Paris à Lyon emprunte la vallée supérieure de la Loire et celle de l’Allier, avant de rejoindre celle de la Saône par Roanne. A Cosne comme à Moulins, les passagers des diligences sont assaillis par des hordes de femmes, jeunes et vieilles, qui les invitent avec les insistances les plus opiniâtres et les plus ingénieuses à acheter leurs produits : couteaux, rasoirs, ciseaux, de la fabrication la plus curieuse et délicate, et qui sont au double de leur valeur, avec l’intention d’obtenir le prix qui valent réellement.<o:p></o:p>

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    A Nevers ce sont des émaux qui sont offerts avec la même insistance.<o:p></o:p>

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    Entre Moulins et La Palisse le paysage rappelle, le paysage agricole américain, « en raison de la meilleures méthode de culture » ; la différence la plus sensible étant que l’on emploie des bœufs au lieu de chevaux, on en attelle trois paires là où en New Jersey on mettait un seul couple de chevaux. Le pays est aussi remarquable pour la beauté de ses femmes et le curieux aspect de leurs chapeaux de paille en forme de bateaux. Les paysans dans cette partie de France portent des chapeaux à très larges bords, quelques-uns d’un pied de diamètre. Ils paraissent être polis et civils.<o:p></o:p>

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    Aux environs de Roanne, une des plus belles villes qu’il ait vues, « les filles ont une espèce de rouet qui leur permet de filer tandis qu’elles marchent dans les rues et sur les routes… » Elles filent de cette façon du chanvre pendant qu’elles veillent sur leurs chèvres, leurs moutons, leurs vaches qui pâturent.<o:p></o:p>

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    Madame Bronson une autre voyageuse américaine passant par nos régions revenant d’Italie au mois de mai 1839 note aussi : les vastes chapeaux ronds des hommes et les chapeaux de femmes en formes de barques qui sont ornés de rubans rose.<o:p></o:p>

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    Le reste de leur vêtement est aussi singulier : certaines portent des habits écarlates d’une coupe très spéciales, d’autres avec des corsages rouges, des jupes de couleurs différentes et des tabliers grenats. Bien que ce costume ne soit pas très joli, il est pittoresque et tire un charme particulier de la singulière propreté de ses paysannes.<o:p></o:p>


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    « Noms de Noms » la rue Jean Jaurès à Roanne<o:p></o:p>

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    En 1750 l’Intendant de la généralité de Lyon, ayant failli périr avec sa famille en traversant la Loire, le Conseil du Roi jugea que le bac sur le fleuve était souvent dangereux et que les rues Sainte Elisabeth (actuelle rue Maréchal Foch) et des Minimes (aujourd’hui très raccourcie autrefois elle débouchait sur le port en passant devant la chapelle des Mariniers) ; étant insuffisamment larges pour la circulation des chars, des chaises de poste, des guimbardes et autres voitures, une nouvelle solution s’imposait.

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    Un ingénieur des Ponts et Chaussées, fut chargée de la construction d’un pont en bois sur le fleuve (ce pont fut détruit en 1790). Cette construction entraîna la création d’un chemin pour la traversée de Roanne. La rue fut ouverte dans l’axe de ce port  en droite ligne : la rue Jean Jaurès actuelle était née.

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    Après s’être nommée rue DUCALE, cette rue fut appelée en 1789 rue NATIONALE, ensuite rue de L’EGALITE, puis sous Napoléon I° rue IMPERIALE. En 1814 sous Louis XVIII elle prit le nom de rue ROYALE pour redevenir IMPERIALE pendant les 100 jours et de nouveau ROYALE à la seconde Restauration. En 1848, la République lui rendit le nom de rue NATIONALE, le second Empire lui rétablit le nom de rue IMPERIALE, puis de nouveau le 4 septembre 1870 rue NATIONALE, qu’elle gardera près d’un demi siècle.

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    En 1920, le Conseil municipal décide que la rue Nationale porterait le nom du socialiste JEAN JAURES.

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    La municipalité de 1941 lui attribua le nom de rue du MARECHAL PETAIN.

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    A la libération elle reprit le nom de rue JEAN JAURES.

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    En moins de 2 siècles elle changea 12 fois de noms

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                                      Tiré de LE SECTEUR DU BASSIN par Roger Revaillier 1972


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    Illustration : au première rang, assis, dernier à droite : Jean Mosnier.

    Il fut mon entraîneur à l’Association Sportive du Pontet (Riorges) de mes 11 ans à mon départ au service militaire. Avec lui j’ai appris certaines règles que j’ai toujours suivies : respect de ses éducateurs et dirigeants, de ses camarades de club, de l’arbitre, de ses adversaires, de son maillot que l’on doit savoir « mouiller » pendant les matchs. Toutes règles que j’applique encore dans ma vie d’homme. (Bernard)

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    Quand la Chorale (Basket) de Roanne Chantait Brassens<o:p></o:p>

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    La chorale du faubourg Mulsant avait abandonné depuis longtemps le kiosque de la place Victor Hugo et ses juvéniles interprétations vocales pour se consacrer avec succès au basket.

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    C’est  en 1960, si nos souvenirs sont exacts, que la Chorale de Roanne disputa sa première coupe d’Europe. Les participants, tout comme les dirigeants ne sont pas près d’oublier pareil évènement.

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    La première rencontre eut lieu au Luxembourg ou la bande à André Vacheresse comprenait alors son premier géant avec Jean-Baptiste Ré (<st1:metricconverter productid="2,02 m" w:st="on">2,02 m</st1:metricconverter>) pour 49 de pointure, par ailleurs boute-en-train remarquable, émule remarqué de Brassens aussi.

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    Si la victoire fut rapide et généreuse, la réception n’eut pas la cérémonie recherchée par les officiels. Ils ne savaient pas que la Chorale c’est avant tout un groupement vocal et ils allaient l’apprendre rapidement.

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    A la réception qui s’éternisait, au moment où, l’ambassadeur de France répondait au bourgmestre des lieux par un discours bien senti, Jean-Baptiste Ré, lassé des trop nombreux discours, sautant à pieds joints sur la table, où les coupes à champagne attendaient vainement d’êtres emplies, se mit en devoir  de faire chanter l’assistance. Avec beaucoup de réussite il faut le dire, interrompant avec brio les métaphores de Son Excellence, l’ambassadeur éberlué devant pareille incongruité. L’air entonné par J.B. Ré était bien connu et il fut repris avec délice par l’assistance toute entière, excepté l’ambassadeur. Il s’agissait en effet de la célèbre Margot dégrafant son corsage. Bref, tout le monde se piqua au jeu et, l’ambiance très collet monté devînt tout à fait débridée.

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    De toast en chanson, le crescendo alla s’amplifiant et la soirée fut une réussite, la chorale ayant prouvé amplement, qu’elle était aussi bonne ballon à la main que coupe en main.

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    De retour à Roanne, la chorale essuya cependant un blâme de la Fédération de Basket-ball à la suite de l’intervention de l’ambassade.

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    Qu’importe, la qualification valait bien un petit sermon. Toujours en Coupe d’Europe, la Chorale était allée gagner le tour suivant à Anvers d’un petit point alors qu’a la réception d’avant match, le président Flamand avait prévenu nos Roannais du carton qui les attendait. La sortie fut donc houleuse, mais nos choraliens qui avaient oublié à l’aller – par Bazus interposé – le sac de ballons, furent tout heureux de le retrouver au retour, constatant avec plaisir que dans le Trans-Europe-Express, rien ne se perdait.

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    Les déplacements de la Chorale en Coupe d’Europe allaient se compliquer dès lors avec un voyage mouvementé à Prague, contre le Slovan Orbis. Voyage en avion à bord d’un vieux Dakota, déniché dans les hangars de l’armée par le président des Ailes Roannaises C. Boissonnade (grand-père du basketteur Alain Gilles qui fut formé à la Chorale avant de rejoindre non sans remous les rangs de l’ASVEL club de Villeurbanne). Il fallait bien réduire les frais à une période où les subventions étaient minces.

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    Le départ s’effectuait depuis l’aérodrome de Vichy et, en voyant ce vétéran de la guerre, les Choraliens et leurs accompagnants ne furent guère rassurés. Il n’y avait qu'un pilote, mais deux hôtesses. Les sièges ressemblaient à des fauteuils de 2 CV usagés. A plein régime des moteurs les vibrations étaient telles que le président Rhodamel en avala son paquet entier de pilules contre le mal de l’air.

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    Privés de leurs militaires Lavaux et Ré  interdits de visa par l’armée pour des pays au-delà du rideau de fer. La Chorale s’inclina mais elle se rattrapa largement dans les boîtes de nuit, où le strip-tease ne fut pas toujours sur scène avec de joyeux drilles comme Roger Guillaume ou Villecourt….

    …Le voyage retour fut épique avec des trous d’air de trente à quarante mètres et quelques Choraliens à la limite de l’infarctus….

    L’aventure se terminait en quarts de finale.

    <o:p>    Gérard Décombe : Les Joyeux compères du Roannais
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  • CLAUDE ERIGNAC SOUS-PREFET DE ROANNE DE  81 à 84<o:p></o:p>

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    Vendredi 6 févier 1998, 21 h 15, Ajaccio : des coups de feu dans la nuit. Le préfet Erignac est abattu.<o:p></o:p>

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    Claude Erignac est mort de 3 balles tirées dans la nuque. L’arme du crime, un pistolet Beretta <st1:metricconverter productid="9 millim│tres" w:st="on">9 millimètres</st1:metricconverter> avait été volée lors de l’attaque d’une gendarmerie en septembre. Un acte qualifié de « stupide et intolérable » par le préfet Erignac lui-même.

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    Il a sans doute laissé une trace indélébile dans le cœur de nombreux roannais.

    Les foncions qu’ils a occupées à Roanne, l’auront amené tant bien que mal à régler à cette époque des conflits sociaux marquants pour la  vie économique régionale.

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    Sur les 3 000 suppressions de postes que le bassin a enregistrées en 1985, les ARCT resteront dans les annales avec 800 licenciements en juin 1985, 13 ans après le début du conflit et dix mois après la mutation de Claude Erignac dans le Gers.

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    Pourtant, tous gardent l’image d’un homme de conviction, ouvert au dialogue et à la concertation. Si sa mission première était celle d’être le représentant local de l’Etat. Claude Erignac, marié à Dominique, père de deux enfants scolarisés à l’école de Marengo, s’avérait être aussi un amateur de sport averti.

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    Licencié au club de tennis de l’Association sportive roannaise, il a été classé et a participé à de nombreux tournois locaux. Le cyclisme et le basket faisaient partie de ses loisirs. Il a même participé au Vélocio l’épreuve cycliste organisée par Saint-Etienne.

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    En quelques mots, Claude Erignac a non seulement marqué la vie économique mais aussi la vie associative et sportive de Roanne.

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    Georges Minot commandant l’Hôtel de Police de Roanne, inspecteur divisionnaire à Roanne en 1984, assurait à cette époque l'intérim après le départ du commissaire Vidalie «  C’était la période où Jean Auroux était ministre du Travail, donc il y avait beaucoup de visites ministérielles » . Il retient de Claude Erignac  « qu’il était un homme d’un très haut niveau de compétences professionnelles, de grande rigueur, de grande disponibilité, un homme de terrain, très méthodique ». Et de souligner au passage « qu’il était le seul sous-préfet à envoyer son emploi du temps heure par heure, on savait ou le trouver ».

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    Daniel Coste, secrétaire général, au nom de l’union locale de <st1:personname productid="la C.G" w:st="on">la C.G</st1:personname>.T. avoue garder du sous-préfet « le souvenir d’un homme droit, honnête et sincère, ouvert au dialogue avec tous. »

    Interlocuteur incontournable lors du conflit, entre autre avec les A.R.C.T. (Ateliers Roannais de Constructions Textiles) ; « il a su gérer la situation sociale difficile avec un sens de l’humain remarquable ».<o:p></o:p>

    L’ancien secrétaire de l’Union Locale considère que « cet acte inqualifiable dans une société dite civilisée doit amener les dirigeants politiques à prendre les bonnes décisions afin de ne pas voir la haine et les fanatismes gagner du terrain. »<o:p></o:p>

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    Le sous-préfet, un serviteur de l’Etat, conseiller et médiateur, il ne participe pas uniquement à des inaugurations et autres cérémonies. Si sa fonction première est celle de veiller à la bonne application des lois, il est aussi le conseiller privilégié de toutes les collectivités locales.  Tous les maires de l’arrondissement dont il a la charge trouvent en lui un guide. Ses connaissances juridiques et administratives, ainsi que les différentes compétences de ses services sont particulièrement appréciées dans l’élaboration de dossiers qui sont bien souvent de véritables parcours du combattant.

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    Ses fonctions le conduisent à apporter des réponses précises et concrètes aux préoccupations tant des élus que de toutes les collectivités concernées par des problèmes étatiques.

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    Le sous-préfet se doit, de par des solutions partenariales et consensuelles, maintenir la cohésion sociale. Pour le seconder dans sa tâche et ses missions, il est assisté d’un collaborateur en la personne du secrétaire général en chef de la sous-préfecture.

                          Articles de divers journaux

    Note de Bernard : Au terme d’une visite du « vieux de Roanne », dirigée par monsieur Jean  Caboste ; madame Dominique Erignac  offre à tous les participants un rafraîchissement dans les salons de réception de la sous-préfecture. Son mari présent, « trinque » avec nous. Il fait alors l’historique des lieux,  et nous invitent à finir nos boissons dans le magnifique jardin attenant au bâtiment.<o:p></o:p>

    Je sais aujourd’hui que cette visite restera « unique », mais son souvenir reste ancré dans ma mémoire.<o:p></o:p>


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    Illustration : Monsieur Gérard NEUDIN (aujourd’hui disparu) créateur de l’annuaire cartophile qui porte son nom en compagnie de Bernard (Exposition de Riorges en 1992).<o:p></o:p>

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    ROANNE, AUSSI TOUCHEE PAR L’EPIDEMIE  DE CARTOMANIE QUI SEVIT DANS <st1:PersonName productid="LA LOIRE" w:st="on">LA LOIRE</st1:PersonName><o:p></o:p>

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    Le numéro du 4 octobre 1908 de la « Loire Républicaine » signale :<o:p></o:p>

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    Nous avons eu la curiosité de nous renseigner sur les ravages que cette contagion exerce à Saint-Etienne, et à Roanne dans une moindre mesure.<o:p></o:p>

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    En semaine Saint-Etienne expédie de cinq à six mille cartes par jour.<o:p></o:p>

    Elle en reçoit le même nombre.<o:p></o:p>

    C’est déjà déconcertant, n’est-ce pas ?<o:p></o:p>

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    Eh bien ! Le dimanche, ces chiffres sont imperturbablement portés au double. <o:p></o:p>

    Le dimanche, les Stéphanois jettent dans les diverse boites aux lettres de la ville de dix à douze mille cartes postales.<o:p></o:p>

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    Les courriers de la soirée et de la nuit en apportent autant, qu’on leur distribue le lundi matin.<o:p></o:p>

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    Le moindre déplacement dominical est en effet, prétexte à envoi de carte.<o:p></o:p>

    Va-t-on passer la journée ou quelques heures à la campagne, on gave de cartes postales les pauvres boites aux lettres des bourgades environnantes.<o:p></o:p>

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    Certaines gens ne croient pas moins faire que d’envoyer d’un seul coup, et à eux seuls, trente, quarante et jusqu’à cinquante cartes postales !<o:p></o:p>

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    Au besoin – ceci n’est pas une invention plaisante ni une tarasconnade de circonstances – ils se les adressent eux-mêmes !<o:p></o:p>

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    Comme ce sont de bonnes natures – du moins nous nous plaisons à le croire – disons leur que le tri des cartes postales est, pour les agents chargé de ce service un labeur deux fois plus ingrat que le tri de plis ordinaires.<o:p></o:p>

    Le sachant ils s’efforceront probablement d’être plus discrets.<o:p></o:p>

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    A Roanne, le même phénomène s’exerce aussi, nous n’  avons pas un comptage précis, mais il semble que la station thermale de Saint-Alban-les-Eaux batte le record des envois de cartes postales de toute « <st1:PersonName productid="La C￴te Roannaise" w:st="on"><st1:PersonName productid="La C￴te" w:st="on">La Côte</st1:PersonName> Roannaise</st1:PersonName> ».<o:p></o:p>

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    Villégiaturez à votre gré dans la banlieue, mais pour Dieu, cessez d’y jeter, surtout à votre propre adresse, des liasses de cartes postales.<o:p></o:p>

    C’est assurément très drôle pour celui qui s’offre ce passe-temps d’écoliers, mais c’est une fort mauvaise plaisanterie à l’encontre des agents des postes.<o:p></o:p>

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    Note de Bernard : <o:p></o:p>

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    Heureuses initiatives prisent il y a 100 ans par nos anciens, qui nous permettent de collectionner encore aujourd’hui, de nombreuses cartes postales, mais aussi des « timbres » et des « marques postales » et de mieux connaître « la vie de l’époque ».<o:p></o:p>

    Pauvres facteurs, ils étaient vraiment à plaindre mais tous très consciencieux fort de leur statut de fonctionnaire.<o:p></o:p>


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