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    LES BACS A TRAILLE

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    Photographie :  dessin d’un grand bac à traille tel celui de Roanne.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Les bacs déjà en usage dans le haut Moyen-Age furent contrôlés et réglementés à partir du XVIIème siècle.

    Combien mouvementé et passionnante serait l’histoire des passeurs de bacs qui, au cours des âges, transportèrent les voyageurs d’une rive à l’autre, alors que les eaux du fleuve, gonflées par les pluies, menaçaient à chaque instant d’engloutir les passant ou de les emporter à la dérive.

    Trois bacs permettaient de traverser la Loire sur le territoire de Cordelle.

    Ils avaient pour noms ceux des moulins à proximité desquels ils étaient installés, c’est à dire : le Moulin de Pizay, le Moulin de Presles, et le Moulin d’Allat.

    En 1856, ils faisaient partie des 15 bacs existants sur la Loire dans la traversée du département.

    Le bac du moulin Pizay ou du Port-Pizay :

    Est-ce par pure coïncidence mais il portait le nom d’un des propriétaires des deux moulins installés sur la rive gauche de la Loire et permettait de relier Saint-Paul-de-Vézelin à Cordelle.

    La plage esplanade dégagée où il était installé sur la rive gauche côté Saint-Paul était très ancienne puisque déjà citée en 1411. C’était le Port-Pizay.

    Le 1° janvier 1841, ce bac fut affermé au sieur Pierre Pizay pour 9 années d’exploitation à raison de 5 francs par an.

    En 1875, c’était toujours lui qui l’exploitait.

    Les habitants de la rive gauche, venus souvent d’assez loin, utilisaient ce bac pour changer de rive et ainsi aller à Roanne soit en suivant le fleuve, soit en passant par Cordelle et Saint-Cyr-de-Favières.

    Les mariniers faisaient également escale à ce port pour charger quelques marchandises. La plage d’embarquement utilisée par eux et par les usagers du bac portaient d’ailleurs le nom de « Place du Treuil » à cause du fameux treuil de ce bac à traille.

    Ajoutons à cela le tic-tac des deux moulins, les convois d’ânes chargés de « Bled-seigle » et de froment descendant de Saint-Paul, en empruntant le « Grand Chemin de Roanne », par les hameaux d’Arfeuilles, de la Bruyère et de Clivier et transportant ces précieux chargements jusqu’aux meules, sans oublier les cris des conducteurs et nous reconnaîtrons que ce lieu connut, certainement, une grande activité pendant de très nombreuses années.

    En 1876, l’exploitation de ce bac était confiée au fermier Jean Babe et ceci jusqu’en 1900. A partir de cette date et jusqu’en 1903,  elle fut assurée par ses héritiers.

    Puis de 1904 à 1908, le fermier Vassoille leur succèdera. Son dernier gérant sera Claude Poyet jusqu’au 2 juin 1911, date officielle de sa suppression.

    En effet, le bac de Port-Pizay était devenu de moins en moins utilisé et rentable depuis la mise en service du Pont de Presles en septembre 1889.

    Le bac du Moulin de Presles :

    Il reliait Cordelle à Bully mais permettait surtout aux habitants de Bully d’accéder au chemin de halage de la rive droite de la Loire.

    En février 1832, il était affermé à François Delorme pour 9 années (expiration au 31 décembre 1849) et pour 5 francs par an.

    En avril 1846, étant donné l’importance prise par le bac suite à l’exploitation des mines de houille de Bully, François Delorme, meunier et fermier du bac de Presles, demandait l’autorisation d’établir une « traille » qui devra être au moins de 2 mètres au-dessus des eaux les plus hautes  ainsi qu’une rampe d’abordage sur la rive gauche, en remontant le chemin d’abordage de 2 mètres.

    Cette rampe fut refusée.

    De 1859 à 1867, il fut géré par Germain Delorme, meunier, le fils cadet de François.

    « Le 20 octobre 1860, le sus-nommé, fermier du bac, est tenu, par les Ponts et Chaussées de remplacer, dans un délai de 15 jours le « pied de chèvre » servant d’amarre à la « traille » et ne présentant pas assez de solidité à cause des faibles dimensions des bois, par des bois ayant un équarissage de 0.15 m x 0.15 m »

    Le 28 juin 1866, un inventaire du matériel nous renseigne sur la composition d’un bac :<o:p></o:p>

    1° - un grand bateau en chêne et pin de 10 m de longueur sur 2.40 m de largeur.<o:p></o:p>

    2° - un batelet de 8.50 m de longueur sur 1.40 de largeur.<o:p></o:p>

    3° - une traille  en fer de 130 m de long<o:p></o:p>

    4° - trois arbres en chêne formant chèvre,<o:p></o:p>

    5° - un treuil en bois de chêne,<o:p></o:p>

    6° - deux traillons de 3 m de longueur,<o:p></o:p>

    7° - une poulie<o:p></o:p>

    Le règlement des bacs stipulait qu’un <o:p></o:p>

    Bac pouvait transporte en un seul voyage seulement 25 individus y compris les mariniers ou 5 chevaux, mulets, bœufs, vaches et qu’un batelet 10 individus.<o:p></o:p>

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    De 1868 à 1876, le propriétaire était Jean Marie Delorme, frère du précédent.<o:p></o:p>

    Le 8 septembre  1889, jour de la mise en service du Pont de Presles, le bac de Presles avait vécu.<o:p></o:p>

    Le bac d’Allat :<o:p></o:p>

    Il se situait à proximité immédiate du Moulin d’Allat, juste an-dessous de la chapelle du même nom et permettait aux habitants de Chenevet et de Changy, voir de Neulise, Vendranges, Saint-Cyr-de-Favières de traverser la Loire et d’aller à Saint-Maurice, Villerest, Saint-Polgues.<o:p></o:p>

    En 1840, l’abbé Pierre Pousset, aumônier de la Sainte Famille à Cordelle, déplorant les difficultés de passage sur la rive gauche de la Loire,, fit établir un  port au-dessus de la rive de la Sarre, avec une traille et une large sapine.<o:p></o:p>

    Il envisageait même de faire charger les fûts de vin qu’il récoltait, sur les bateaux qui descendaient le fleuve et ainsi expédier sur Paris où il était vendu. Déjà en 1807, son père, Pierre Pousset, important propriétaire vigneron, accompagnait ses vins par bateaux de Roanne jusqu’à Paris : le voyage durait 14 jours.<o:p></o:p>

    En octobre 1842, c’était Jean Giraud qui exploitait ce « nouveau passage d’eau qui a été établi là ou le chemin de halage change de rive » Il était vigneron de l’abbé Pousset, propriétaire du matériel du bac. <o:p></o:p>

    Malheureusement, la terrible crue de 1846 emporta toute l’installation. Découragé l’abbé Pousset décida le 31 décembre 1849 de cesser l’exploitation de ce moyen de passage de la Loire.<o:p></o:p>

    Il semblerait qu’il n’y ait plus eut de « bac officiel » jusqu’en 1853.<o:p></o:p>

    Cependant, au mois de janvier de cette année, Benoît Millet, meunier du Moulin d’Allat, demandait auprès des Ponts et Chaussées l’autorisation de pouvoir exploiter le bac au moyen d’un « bachot » utilisé seulement pour les gens à pieds et non pour les voitures à cheval, les charrettes, les tombereaux…<o:p></o:p>

    De 1859 à 1867, Antoine Millet lui succéda. <o:p></o:p>

    A cette époque, le tarif de passage était (pour n’importe quel bac sur la Loire) de 5 centimes par personne mais différents tarifs existaient suivant les animaux ou les véhicules accompagnant : chèvres, ânes, vaches, chars, tombereaux…<o:p></o:p>

    Par décision ministérielle, ce bac du Moulin d’Allat fut supprimé le 25 mai 1868.<o:p></o:p>

                                                                   D’après P. Magnin (Histoire de Cordelle)<o:p></o:p>

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    LES LAVOIRS

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    1       Lavoir de Croizet-sur-Gand<o:p></o:p>

    2       Lavoir de Lay<o:p></o:p>

    3       Lavoir de Neulise<o:p></o:p>

    4       Lavoir de Saint-Symphorien-de-Lay<o:p></o:p>

    Le nombre de lavoirs s’est multiplié au XIX° siècle avec l’amélioration des conditions de vie.

    Les plus simples sont des bassins rectangulaires, sans couverture, alimenté par un ruisseau, un cours d’eau ou une source.

    Les plus élaborés sont à deux bassins de pierre avec deux plans d’eau claire et courante, l’un pour le lavage, l’autre pour le rinçage, couverts d’un toit à un ou deux pans.

    Quand ils ne sont pas à l’intérieur des villages mais à proximité, ils tournent souvent le dos au chemin d’accès pour que les lavandières soient protégées de la poussière.

    Des pierres inclinées dites « cassées » habillent les bords des bassins.

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    LES PUITS DANS NOTRE REGION<o:p></o:p>


    1)      Fourneaux (Château de l’Aubépin)<o:p></o:p>

    2)      Saint-Symphorien-de-Lay (Chapelle de Montcizor)<o:p></o:p>

    3)      Saint-Cyr-de-Favières ( devant <st1:PersonName productid="la Mairie" w:st="on">la Mairie</st1:PersonName>)<o:p></o:p>

    4)    Lay (près du monument aux morts), il s’agit ici d’un puits enterré, transformé en puit cage pour l’embellissement du quartier, sa profondeur serait de <st1:metricconverter productid="70 mètres" w:st="on">70 mètres</st1:metricconverter>.<o:p></o:p>

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    Ils se trouvent le plus souvent à l’intérieur des propriétés.

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    Nous trouvons 4 sortes différentes de puits :<o:p></o:p>

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    ·        A « casquette » en pierre, parfois en basalte, toiture à une seule pente couverte de tuiles canal.<o:p></o:p>

    ·        Le puits « obus » en pierres appareillées, de forme circulaire, toiture en forme d’obus  en plaine, tandis que sur les coteaux la toiture s’apparente à une forme d’igloo plus pointue et en coupole.<o:p></o:p>

    ·        Le puits « cage » est le plus noble. Sa partie visible est formée d’un seul bloc de pierres taillées et parfois sculptées. Au-dessus une structure métallique supportant le treuil et la couverture.<o:p></o:p>

    ·        Le puits « enterré » ou  « semi-enterré » il s’intègre dans la surface du terrain et ne présente pas réellement de construction en surface, seule la porte d’accès en bois avec son encadrement en pierre est visible.<o:p></o:p>

    Dans les cours de fermes se trouvent des abreuvoirs isolés ou adossés à un bâtiment à l’abri d’un petit toit, les « bachats », taillés dans la pierre et plus précisément le granite. Leur forme est rectangulaire, parfois circulaire et leur dimensions varient selon leur usage, abreuvoirs pour volailles, ovins ou ovins.<o:p></o:p>

    (d’après l’ouvrage d’Annick Stein et Robert Maréchal « Maison et paysages du Forez »)

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    LE PETIT LOUVRE (au bourg de <st1:PersonName style="text-decoration: underline;" productid="La Pacaudière" w:st="on">La Pacaudière</st1:PersonName>)<o:p></o:p>

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    <st1:PersonName productid="La Pacaudière" w:st="on">La Pacaudière</st1:PersonName> doit son nom aux générations de PACAUD qui y ont tenu la poste.

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    Le Petit Louvre, construit fin XV° - début XVI° , comportant une des plus belles charpentes à longs chevrons, fut certainement au départ un bâtiment public lié au service des messagers et courriers du roi.

    Au XVII° et XVIII°, il sert alors d’hôtellerie, de relais de poste, et de Poste aux lettres : ainsi le 30 août 1632, Louis XIII couche au Petit Louvre.

    En juin 1673, c’est Marguerite Méquin, femme de Philippe Bonnard, qui tient le logis du Petit Louvre.

    En 1730, un Morin, écuyer, est maître de poste et sa veuve Morin-Dulignier, avec le titre de maîtresse de poste, entretien, à partir de 1736 et pour  6 ans ce service de la poste.

        Nous avons sous les yeux les reçus de diverses sommes, faits en 1737, par <st1:PersonName productid="la Maîtresse" w:st="on">la Maîtresse</st1:PersonName> de Poste, veuve Morin-Dulignier et par le brigadier de la maréchaussée dont le nom est Balthazard Xavier de <st1:PersonName productid="la Fayolle. Ces" w:st="on">la Fayolle. Ces</st1:PersonName> sommes étaient fournies par les consuls assesseurs et collecteurs des tailles de Crozet et la direction de <st1:PersonName productid="la Poste" w:st="on">la Poste</st1:PersonName> :

    "Pour lui donner moyen de soutenir le service de la poste, dont elle est chargée conformément à l'arrêt du conseil du 15 septembre 1733, et la soumission de la dite veuve Dulignier, d'entretenir la dite poste pendant 6 ans à compter du 30 octobre 1736 à peine d'en répondre en vos noms et au brigadier de la maréchaussée pour le loyer du Petit Louvre"

    Logement qu'occupait la brigade de la maréchaussée. La quittance de la poste porte la date du 5 janvier 1737 et celle du brigadier est datée du 20 octobre de la même année.

                                                         T. Ogier (<st1:PersonName productid="La France" w:st="on">La France</st1:PersonName> par canton, Arrondissement de Roanne).<o:p></o:p>

    En 1739, le bureau de <st1:PersonName productid="la Poste" w:st="on">la Poste</st1:PersonName> aux lettres y avait son siège.

    Ce bâtiment accueilli ou vit le passage de personnages illustres : Henri IV, Anne d’Autriche et Louis XIV, Madame de Grignan, Madame de Sévigné et bien d’autres…


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    LE CHEMIN ROYAL DU BOURBONNAIS
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    Autour de 1480, au Nord du comté de Forez, se constitue entre Lyon et Nevers un nouvel itinéraire qui va supplanter le chemin Lyonnais.

    Raccordant des tronçons d’autres chemins ou de voies romaines : Lyon à Bully –Bully à Tarare –Tarare à Roanne – le chemin Romanet de Roanne à Changy et Crozet – de Crozet à Saint-Martin-d’Estreaux puis Droiturier, <st1:PersonName productid="La Palisse" w:st="on">La Palisse</st1:PersonName>, Varennes, Moulins, se forme une nouvelle route : <st1:PersonName productid="la Route" w:st="on">la Route</st1:PersonName> du Bourbonnais ou « Grand Chemin Royal du Bourbonnais », sur laquelle va s’établir un trafic important au détriment de <st1:PersonName productid="la Voie Française" w:st="on">la Voie Française</st1:PersonName> passant par Charlieu.

    En dehors de l’utilisation commerciale, ces routes et relais servaient d’abord au transport du courrier officiel.

    En 1576,  Henri III crée les Messageries royales et <st1:PersonName productid="la Poste" w:st="on">la Poste</st1:PersonName> est mise à la disposition des particuliers en leur fournissant chevaux et transport du courrier privé, lettres et messages.

    En 1584, il fixe l’état des postes pour le service du roi : 9 grandes routes de poste sont à la charge du roi dont une qui nous intéresse particulièrement, celle de Paris à Lyon par Moulins, Roanne et Tarare, l’ensemble étant complété par des liaisons transversales permettant de gagner l’Auvergne ou la vallée de <st1:PersonName productid="la Saône." w:st="on">la Saône.</st1:PersonName>

    Il faut ajouter, au départ de Roanne, la navigation sur <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName> avec les sapinières ou les rambertes, les cabanes et les coches d’eau, et l’ouverture du canal de Briare (1642) facilitant  encore les voyage et les communications.

    <st1:PersonName productid="la Poste" w:st="on">La Poste</st1:PersonName> aux lettres continua à se développer sous Henri IV, Louis XIII, Richelieu, Louis XIV…

    Suite à la création du Corps des Ponts et Chaussées (1716) et de son école (1747), de nombreux chemins sont construits et les grandes routes aménagées, comme la route Roanne-Tarare.

    Notre route fut évidemment parcourue par quantité de grands personnages : François I°, Henri IV, Louis XIII qui coucha au Petit Louvre à <st1:PersonName productid="la Pacaudière" w:st="on">la Pacaudière</st1:PersonName>, le 30 août 1632, Louis XIV etc.

    En 1622, à <st1:PersonName productid="la Pacaudière" w:st="on">la Pacaudière</st1:PersonName>, par un courrier de M. de Marillac, M. de Richelieu qui accompagne la reine Marie de Médicis, apprend son élévation au cardinalat, et quelques jours plus tard, le 19 septembre, il appose sa première signature en tant que cardinal sur le registre paroissial de Tarare.

    En 1623 après avoir couché, à Saint-Symphorien-de-Lay, au logis de <st1:PersonName productid="la Teste Noire" w:st="on">la Teste Noire</st1:PersonName>, le prince de Condé franchit <st1:PersonName productid="la Loire" w:st="on">la Loire</st1:PersonName> à Roanne et dîne à <st1:PersonName productid="la Pacaudière" w:st="on">la Pacaudière</st1:PersonName>, à « L’image de Notre Dame. »

    En janvier 1715, passage de l’ambassadeur du shah de Perse qui se rend de Lyon à Paris par Moulin et Roanne.

    En 1729, Noël Michaud, homme de loi de la ville de Lay, nous apporte par une de ses lettres, une pratique des auberges :

       « A son arrivée à Roanne, notre voyageur remarqua dans la ville une animation extraordinaire. Comme il voulait loger au Loup « l’hôtel le plus réputé de la ville », il se rendit rue Mably à l’entrée de laquelle se trouvait ce logis. A son grand désappointement, il constata que l’enseigne avait été retirée et que le célèbre logis ne recevait personne, la maison étant réservée à un grand seigneur vénitien et sa suite, qui venaient de Paris et regagnaient leur pays »

    Même disposition citée par une dame Bonnard : «  Le 5 juillet 1742, je fus à Roanne pour voir passer l’ambassadeur turc qui revenait de Paris. Il fut logé au Loup, mais on ôta l’enseigne pour en faire un logis honorable. »

    Cette route fut n moyen de relations, de propagation et de beaucoup de diffusions : arts divers provenant d’Italie, elle fut parcourue par Léonard de Vinci, Benvenuto Cellini, artisan de la faïence pour Nevers par Lyon et Roanne ; transmissions écrites des messages, de l’information et des idées, de la pensée religieuse (Saint François de Sales) d’échanges intellectuels donnant ainsi à l’homme l’occasion d’améliorer sa condition.

                                       Georges Dubost (Amis de Crozet et <st1:PersonName productid="la Pacaudière" w:st="on">La Pacaudière</st1:PersonName>)


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